Attentes Du Lecteur

qu’elle se dévoile, ou qu’elle se dénoue. Aussi, l’intrigue incite le lecteur à ressentir le sentiment d’appartenir au roman. Exemple ; La mort de monsieur de Clèves dans le roman de madame de la Fayette ; Le lecteur ne peut s’empêcher de ressentir de la compassion face aux reproches cruels de monsieur de Clèves à sa femme, mais aussi face a la souffrance émotionnelle qu’il endure. * Approfondis la connaissance qu’a le lecteur des personnages ; l’avantage d’un topos est qu’il en dit long sur

dans les Pensées, amène le lecteur à suivre son raisonnement grâce à une certaine logique et une continuité dans ses propos, qui force le lecteur à être de son avis. Le premier paragraphe est donc rédigé à la première personne du pluriel, pour généraliser le problème, et impliquer le lecteur autant que lui-même, et en faire donc une cause proche de l’homme. « Nous ne nous tenons jamais au temps présent », cette thèse qu’annonce Pascal dès le début du texte, permet au lecteur de se rendre compte qu’il

mais bien d'en trouver les réels enjeux: "c'est à partir de ce constat que nous nous demanderons si la lecture n'est qu'une question de passivité, une question d'attendre quelque chose, ou si elle n'est pas quelque chose d'actif, dans laquelle le lecteur devrait participer pour recevoir davantage qu'attendu. (c'est une problématique qui irait à votre devoir) 5) vient enfin le plan, qui est une réponse à votre problématique et non à la question du sujet. Il doit être annoncé de manière légère et pas

rapidité, lecteur qui pas présenté, pas le temps de se poser des questions, introduit tout suite dans univers Jeanne. Avec focalisation interne, on voit tout à travers yeux Jeanne (qui alterne avec omniscient quand même) voir plan texte avec élargissement champ vision en même temps que Jeanne. Mise en place rapide cadre spatio-temporel : " sortie la veille du couvent ", " année courante 1819 ", " 2mai ". Axe II : Les espoirs de Jeanne Durant tout passage on distingue déjà les attentes de Jeanne

l’histoire, il ne peut être affecté par les événements et nous les rapporte sans aucun sentiments, préférences pour les personnages. Le schéma narratif est logique et chronologie, il suit le cours de la vie des personnages avec ses réflexions. Le lecteur n’est pas perdu puisque l’histoire est continue sans un arrêt telle la vie, perturbée par des événement mais néanmoins sans interruptions. On ne s’attend absolument pas à la fin. On croirait que Frenhofer a créé un magnifique tableau ayant

........................... 37 Utiliser les fonctions avancées du répertoire ............................................ 39 Utiliser les fonctions de messagerie avancées ................................................. 41 Fonctions avancées du Lecteur MP3 ...... 42 Utiliser la technologie Bluetooth sans fil ...................................................... 46 Activer et envoyer un message SOS ....... 48 Outils et applications ........................... 46 Activer la fonction de traçage

LES DEUX COQS: Jean de la Fontaine Plan Détaillé I) L´Art du récit 1. Le schéma narratif : effets d´attente, effets d´annonce digressions. 2. Le rythme : cadence majeure, mineure, enjambement .Ton solennel 3. La dramatisation épique : parallélisme Troie, style sublime, champ lexical, guerre et mort. 4. Comique : parodie II) L´Argumentation 1. Fonctionnement argumentatif : induction de l´exemple au général 2. Les Morales : critique de l´orgueil, destin

ce qu’une bonne histoire ? qu’est ce qu’une bonne histoire ? Les critères qui peuvent la définir sont nombreux et différents pour chaque lecteur. Les gouts ne sont pas les mêmes, certains aimeront les livres policier d’autres , les livres fantastiques, mais il y a plusieurs * Avant toutes choses, une bonne histoire laisse des traces sur le lecteur .Elle à le pouvoir de relier nos émotions dés la première page à ce que l’auteur a voulu partager. On y ressent le rire, l’angoisse, la passion

domaine judiciaire. Ainsi la société actuelle semble être « reconfigurée par le médiatique ». Jean Claude Guillebaud parle « d’empire médiatique », dont la particularité est que les médias sont « sans empereur ». Selon lui, l’information qu’obtient un lecteur est la conséquence des « mécanismes et des automatismes » .sans que ce soit celle d’une réflexion. Les médias s’organisent par des effets de croyances et produisent des croyances continuellement, qui sont généralement « inconscientes d’elles-mêmes »

Etude de l’incipit de L’Assomoir de ZOLA INTRODUCTION L’extrait constitue l’incipit de L’Assommoir, il doit donc fournir les informations et les repères nécessaires au lecteur. On étudiera comment Zola met ici en œuvre les différentes règles de l’incipit romanesque. L’importance de procurer des indications au lecteur est aussi une exigence qui caractérise le roman naturaliste qui veut que le narrateur s’efface et donne l’impression que les faits sont livrés en toute objectivité. Cette ouverture