Atténuation Principe De Légalité

personne, si la personne en question n’a pas commis une infraction qui ne soit prévue et référencée par un texte. L’acte doit être prévu et puni par la loi. C’est ce que l’on appelle le principe de Légalité. Il n’en fut cependant pas toujours ainsi. Sous l’Ancien Régime, ce principe de punir s’inscrivait dans la logique du pouvoir royal. Il était arbitraire dans l’incrimination et dans la peine. Le droit de punir s’inscrivait dans la logique du droit royale. A cette

instituant le service ne l’on pas qualifié. Un service public n’est industriel et commercial que si eu égard à son objet, à l’origine de ces ressources et à son mode de fonctionnement il s’apparente à une entreprise privée. Ces trois critères sont en principe cumulatifs, à défaut le service sera qualifié d’administratif (CE ass 16 nov 1956 USIA). A. L’objet du service La mission se rattache-t-elle aux missions « normales » de l’administration ou au contraire recherchent-elles le profit ? Si la

l'obligation de réparer ce dommage, responsabilité pénale c'est-à-dire l'obligation de répondre devant la justice et envers la société des infractions commises et l'obligation de subir la peine (peine prévue par le texte qui les réprime, c'est le principe de légalité). Exemple : -- responsabilité pénale sans responsabilité civile : une infraction au code de la route sans qu'il y ait accident -- responsabilité civile sans qu'il y ait responsabilité pénale : loi du 10/07/2000 “ Fauchon ”

parle alors de tentative si une personne tente de la commettre mais qu'il n'a pas atteint le résultat. Si parvient pas il y a quand même tentative . Les règles sont rattaché au principe de la responsabilité pénale On parle aussi de complicité quand une personne est associé à un projet criminel, c'est aussi un principe de DP lorsque l'on aide quelqu'un à commettre un acte Action tentative complicité . Il y a aussi l'hypothèse de la légitime défense c'est à dire lorsque l'on se défend

sommes face à un problème de hiérarchie des normes. On ne peut pas dire que le texte qui interdit un comportement est plus important que celui qui l'autorise, pour peu que ces textes soient de même niveau. On pourrait éventuellement recourrir au principe général du droit selon lequel « le spécial déroge au général » (specialia generalibus derogant). L'article 122-4 clarifie la situation. Un exemple commun d'application de cet alinéa 1er est en couple avec l'article 73 du Code de procédure pénale

| A) Les aspects nationaux Il existe plusieurs disciplines juridiques du droit pénal a / Le droit pénal général Il regroupe l’ensemble des principes communs applicables aux différentes infractions. Exemples : Règles relatives à la nature et fixation des peines, application de la loi pénale dans le temps et dans l’espace… Ce principe est définit par les articles 111-1 à 131-36 du code pénal pour les infractions et les articles R131-1 à R131-36 pour les contraventions. b/ Le droit

spécifique, qui est le juge administratif. Principe de la liaison, de la compétence et du fond : principe consacré dans la décision Blanco de 1873. Ce principe est le lien entre la compétence du juge et le fond du droit. Raison : traditionnellement il y avait peu de textes qui concernaient l’administration, or dès qu’ils étaient saisis, le juge administratif devait rendre des décisions de justice. SEANCE 2 : LA SOUMISSION DE L’ADMINISTRATION AU DROIT : LE PRINCIPE DE JURIDICE L’Etat de droit c’est l’Etat

acteurs ici , administrés qui sont titulaires de droit qui peuvent opposés des règles à l'état . Les rapports entre l'état et les administrés est un rapport juridictionallisé ( par l'intermédiaire d'un juge ) . Idée de l'état de droit qui vient des principes de démocratie libérale émis dans la DDHC de 1789 ( égalité , liberté , fraternité ) . Il y a une disposition essentielle dans celle-ci : toute société dans laquellela garantie des droits n'est pas assuré ni la séparation des pouvoirs .... article

Républicaine. Il y a deux procédures différentes : • comitiale • juris permanent A. Comitiale. Au début de la République (environ au 6ème siècle avant JC). Elle était de type inquisitoire, ce qui est étonnant car en principe, c’est la procédure accusatoire qui se développe. Le premier type a trois caractères : • Secrète (non public) • Ecrite (beaucoup d’écrit dans son enquête. Ex : déposition) • Non contradictoire. L’accusé ne peut pas présenter

l’administration est soumise à un certain nombre de règles qui soit sont faites par elle ou viennent d’un milieu extérieur. Et, cette soumission de l’administration de droit est le “principe de légalité” qui traduit l’obligation pour l’administration de se conformer à la loi et au bloc de légalité, et l’effectivité de ce principe est assuré par les juridictions et notamment par la juridiction administrative qui est compétente pour annuler les actes de l’administration qui lui sont déférés et qui s’avèrent