Au Nom De Quoi Respecter Autrui

de la Pensée judaïque. Cette dernière, par l’intermédiaire de Lévinas, prône une nouvelle approche de l’homme et de son identité, mais sous la très haute autorité de l’Autre, qui serait en tout être l’image, le Visage de Dieu et qui garantirait le respect de toute humanité. Cette approche qui marque de manière très forte le retour à l’éthique et à une possibilité de morale pratique, signe par bien des aspects un regain métaphysique, qui sera considéré parfois comme plus proche de la religion que de

Moussa Fall Introduction S`il est admis que les hommes peuvent vivre en société, cela pose immédiatement le problème de la coordination d’action et de l` existence d’un type d’action mené au nom de la collectivité toute entière. Ce domaine est celui de la politique. La politique désigne l’organisation et la gestion des affaires de la Cite. Elle est liée au désir de maintenir l’ordre au sien des cites qui très tôt créent des institutions spécifiques dans ce but. La politique

ce soit à titre individuel ou au sein d’un groupement ; sur les 2281 articles du Code Civil, 507 sont consacrés aux personnes et à la famille. Une personne existe en droit parce qu’elle a la personnalité juridique (elle est individualisée par son nom, son domicile, son sexe – mais aujourd’hui des questions se posent à ce sujet par rapport au changement de sexe et sa transcription dans le registre d’état civil)… => le droit des personnes est un droit évolutif. > Ce cours permet également de se

ainsi accroître la protection des personnes contre les agissements des tiers qui risquent de causer un préjudice difficilement réparable par le seul jeu de l’article 1382 du Code Civil qui dispose que « Tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. » Ces agissements étaient le plus souvent ceux des journalistes. Il existe entre le développement de la presse (liberté de la presse juillet 1981) et celui de la protection des

Identités dans exemples traditionnels mais aussi dans évolutions récentes. a) Les exemples traditionnels Droit pénal : 5ème commandement du décalogue = « Tu ne tueras pas ». art. L.221-1 C.p. = « Le fait de donner volontairement la mort à autrui constitue un meurtre. Il est puni de trente ans de réclusion criminelle ». Le Code poursuit jusque L.221-5 selon les types d’atteinte à la vie. Évolution de l’appréhension de l’adultère. 9ème commandement = « Tu ne commettras pas d’adultère »

A quel besoin cela rpond trange besoin des humains fabriquer un pouvoir auquel ils se soumettent et regle comportement et relation. Qui a besoin de ca (ncessit, lgitimit). Autre problme quel est le but du pouvoir, a quoi sert il quels sont ses fonctions et ses dysfonction a quoi il sert, comment il fonctionne Enfin Quels sont les idaux, principe qui dfinissent, dterminent les relations entre les individus, quelle place/ quel sens on accorde la notion dgalit pour def les rapport entre les individus

visée de la vie bonne, avec et pour autrui, dans des institutions justes ». (in Soi-même comme un autre, Paris, Seuil, 1990, p.202). Même sans autres explications, on pressent déjà le lien avec le droit. Qu’il s’agisse de promulguer de nouvelles lois ou qu’il s’agisse d’appliquer la loi, dans les deux cas, on s’attend à ce qu’au moins idéalement, le législateur comme le juge exercent leur métier en étant animés par une certaine « visée » du bien commun. Sans quoi la loi devient inacceptable, ce qui

sur le droit, elle n’en sera pénalement responsable. Nous sommes en présence ici, d’une contradiction indéniable. Qu’en est-il alors de cet adage de nos jours ? La connaissance du droit dans son intégralité n’est-elle devenue qu’une fiction ? En quoi peut-on parle de « maladie du droit »( M.Bredin) Dans un premier temps, il sera justifié que la connaissance de la loi est une présomption nécessaire et assurée due à son inflexibilité et à l’impératif de préserver l’efficacité de la règle de droit

d’autrui. 2°) Aliénation de la liberté initiale exigée par le Contrat social Dès que les premiers groupes sociaux se constituent, la cohabitation entraine nécessairement une transformation de cette liberté naturelle. On ne peut plus vivre comme si autrui n’existait pas. Ma liberté naturelle se heurte alors avec celle d’autrui. Si la vie en société est nécessaire ; s’il est nécessaire d’ériger un pacte, un contrat social, il est donc nécessaire également d’aliéner sa liberté initiale. On ne vit collectivement

exercé directement sur une chose et permettant d’en retirer tout ou partie de ces utilités économiques. Les choses sont d’ailleurs diverses comme sont divers aussi les droits que l’on peut avoir sur elles. Les choses qualifiées par le droit prennent le nom de biens en raison des avantages qu’elles procurent à l’homme. Le code civil s’en occupe pour les classer (article 516 du CC) en deux grandes catégories : les meubles et les immeubles. Cette division sous-tend encore aujourd’hui une certaine diversité