Au Sujet D Un Enfant Monstrueux

OROU. Quel monstrueux tissu d'extravagances tu m'exposes là! et encore tu ne me dis pas tout: car aussitôt qu'on s'est permis de disposer à son gré des idées de justice et de propriété; d'ôter ou de donner un caractère arbitraire aux choses; d'unir aux actions ou d'en séparer le bien et le mal, sans consulter que le caprice, on se blâme, on s'accuse, on se suspecte, on se tyrannise, on est envieux, on est jaloux, on se trompe, on s'afflige, on se cache, on dissimule, on s'épie, on se surprend, on

L’Aumônier - Le jeune homme s’appelle un lâche séducteur. Orou - Un lâche ! un séducteur ! et pourquoi ? L’Aumônier - Le père, la mère et l’enfant son désolés. L’époux volage est un libertin ; l’époux trahi partage la honte de sa femme. Orou - Quel monstrueux tissu d’extravagances tu m’exposes là ! et encore tu ne me dis pas tout : car aussitôt qu’on s’est permis de disposer à son gré des idées de justice et de propriété ; d’ôter ou de donner un caractère arbitraire aux choses, d’unir aux actions ou

- Le jeune homme s'appelle un lâche séducteur. OROU. - Un lâche ! un séducteur ! et pourquoi ? L'AUMÔNIER. - Le père, la mère et l'enfant sont désolés. L'époux volage est un libertin ; l'époux trahi partage la honte de sa femme. OROU. - Quel monstrueux tissu d'extravagances tu m'exposes là ! et encore tu ne me dis pas tout : car aussitôt qu'on s'est permis de disposer à son gré des idées de justice et de propriété ; d'ôter ou de donner un caractère arbitraire aux choses ; d'unir aux actions ou

CANDIDAT 2 Nom Bouabdallah Il y a un sujet que nous aimerions montrer à tous, c’est le viol comme arme de guerre. En effet aujourd’hui en 2013, dans plusieurs guerres comme au Congo, qui est une démocratie, les soldats violent les femmes pour intimider, déstabiliser et humilier l’ennemi. Nous aimerions aussi traiter le cas de l’ex-Yougoslavie qui subie les mêmes violences. Les soldats s’attaquent donc aux civils, aux femmes et depuis peu aux enfants, des nourrissons qui ont à peine 6 mois !

lâche ! un séducteur ! et pourquoi ? L’AUMONIER : Le père, la mère et l’enfant son désolés. L’époux volage est un liber- tin ; l’époux trahi partage la honte de sa femme. OROU : Quel monstrueux tissu d’extravagances tu m’exposes là ! et encore tu ne me dis pas tout ; car aussitôt qu’on s’est permis de disposer à son gré des idées de

e vis avant-hier un enfant que deux hommes et une nourrice, qui se disaient être le père, l’oncle et la tante, conduisaient pour le montrer à cause de son étrangeté et pour en tirer quelque sou. Il était pour tout le reste d’une forme ordinaire et il se soutenait sur ses pieds, marchait et gazouillait à peu près comme les autres enfants de même âge. […] ; ses cris semblaient bien avoir 5 quelque chose de particulier ; il était âgé de quatorze mois tout juste. Au-dessous de ses tétins, il

Texte 1. « Au sujet d'un enfant monstrueux » Auteur : Michel de Montaigne (1533-1592) philosophe et moraliste français, pilier (avec Rabelais) du mouvement humaniste. Œuvres: Les Essais, Journal de Voyage Pb : Comment l'auteur arrive-t-il a justifier l'existence de l'enfant de façon humaniste à travers une description objective ? I/ Evocation objective du monstre A. cadre spatio-temporel  « Je le vis avant hier »(l.1) → anecdote/pronom « je » → gage de vérité (livre de bonne foi) /3 personnes

sévérité. Elle chasse son enfant, la menace de l’empoisonner. Elle apparaît comme la marâtre des contes qui ourdit la mort de son enfant. D’ailleurs, elle apparaît dans un cauchemar, armée d’une trique. Prosopopée : la violence de son discours est signalée par l’allitération en V (l.29 à 33 : « Va-t-en, vieille enfant enceinte qui vieillira sans mari »). Le double oxymore « vieille enfant enceinte » indique la cause de sa colère et fait de sa fille un être quasiment monstrueux qui semble réunir en elle

leurs trois enfants et toute ma famille. Même après avoir réalisé que ça n’avait rien d’horrible je l’ai gardé pour moi. Parce que même si nous on savait que c’était normal, beaucoup trouvaient encore ça monstrueux. Paradoxalement, c’est quand je me suis retrouvée confrontée à cette homophobie pure et dure que j’ai décidé de sortir du placard de mes grands-mères. A la fin de mon exposé sur l’homoparentalité, en seconde, la classe est entrée dans un débat plus que virulent sur ce sujet, et je regrette

se débarrasser de quelque chose de gênant. A l'origine Ferrante convoque son fils pour lui demander de s'expliquer sur son attitude avec l'Infante : le texte s'ouvre sur ce sujet : « L'Infante m'a fait part des propos monstrueux que vous lui avez tenus. » Mais un terme hyperboliques pressent ce qui va suivre : «monstrueux» C'est un discours pathétique car le Roi cherche surtout à exprimer sa haine du fils sans culpabilité aucune. Son discours respire la cruauté : «éteint... médiocre... grossier»