Augustin d'Hippone

Une telle règle, si communément admise, prouve que nul n'a pu déterminer la justice universelle, celle qui se serait imposée à tous les peuples avec l'évidence de la vérité. Si une telle vérité existait, elle aurait soumis tous les peuples, non par la contrainte qu'imposent les guerres, mais par la seule force de la reconnaissance « de la véritable équité ». Celle-ci se serait imposée d'elle-même, enracinée (« plantée ») dans le coeur des hommes et dans leurs États, en tout lieu et en tout temps

Je suis surtout là pour consulter les textes déjà mis en ligne, moi. Je disserterai sur l'anthropologie et autres grands sujets lorsque j'aurai de l'expérience et un vocable plus adapté... Ah tiens, j'apprends à l'instant qu'il me faut remplir cette case d'au minimum deux cent cinquante mots. L'expérience, le savoir, la connaissance. Telles sont les clés pour être à même de disserter de quoi que ce soit. Hélas, ce sont là trois notions qui me font bien défaut. Et cela justifierait pourquoi

semestre la réception du platonisme au Moyen Age en étudiant le cas du Ménon. Traduit vers 1156 en latin, ce texte n’a exercé qu’une influence indirecte. En effet, c’est par la médiation d’Aristote (Seconds Analytiques), Cicéron (Tusculanes), et Augustin (Le Maître, La Trinité) que les médiévaux ont pris connaissance de l’argument de l’impossibilité d’acquérir un savoir. De ce fait, le dialogue platonicien devient une pièce centrale dans la reconstruction médiévale du scepticisme en obligeant à s’interroger

religieuse et morale du XVIIe siècle qui doit son nom à l'évêque d'Ypres, Cornélius Jansenius (1585-1638). Son ouvrage, l'Augustinus, publié en 1640, provoque un grave débat entre les jansénistes, partisans de cette doctrine inspirée de celle de saint Augustin (354-430), et les Jésuites. Jansénius prétend que le péché originel a fait perdre à l'homme sa liberté, et que la grâce est uniquement accordée par la volonté de Dieu selon une prédétermination "gratuite", donnant ainsi peu de part au libre arbitre

récit est écrit à la première personne, il faut toujours se demander s'il s'agit d'un récit autobiographique (vrai, ou présenté ainsi par l'auteur) ou bien d'une fiction (un récit inventé). 5- Les auteurs de référencea) SAINT AUGUSTINC'est Saint Augustin qui, au V°siècle, donnera le premier un véritable récit autobiographique avec ses Confessions, histoire de sa conversion au christianisme. Rousseau lui empruntera le titre de son œuvre. b) MONTAIGNEAu XVI° siècle, dans ses Essais, Montaigne

interprétation plus morale et philosophique de ce combat. C’est un combat entre le corps et l’esprit, la raison et la passion, la moralité et l’animalité. Dans une certaine conception philosophique notamment développée par Platon ou encore Saint Augustin l’homme qui est soumis à ses passions retourne à l’animalité. L’homme se définit en tant que tel car il possède la raison ce qui lui permet une maîtrise de ses désirs contrairement à l’animal. C’est donc la double nature de l’homme qui livre un combat

de St Pouange, tout en restant conforme aux règles de l'Eglise. Critique du discours mensonger des Jésuites. 3/ Utilisation de l'euphémisme*(= mot agréable pour dire quelque chose qui ne l'est pas) - Dans le récit de l'histoire rapporté par St Augustin, le péché de la femme est désigné par « sa généreuse résignation » Elle n'a pas accepté de gaieté de cœur mais s'est tout de même donnée. Conclusion partielle : Voltaire à travers ce discours met en scène une religion qui utilise des moyens de

que changer de folie. " La Chaussée Retour liste des thèmes Aimer " Aimer, c'est jouir, tandis que ce n'est pas jouir que d'être aimé. " Aristote " Quand on aime, ou bien l'on n'a point de peine, ou bien l'on aime jusqu'à sa peine. " Saint Augustin " On est aisément dupé par ce qu'on aime. " Molière " Qui aime l'arbre aime aussi les branches. " Cité par Molière " On n'offense personne en l'aimant. " Florian " Il faut aimer les gens, non pour soi, mais pour eux. " Collin d'Harleville

Lecture analytique N°1 sur Le bonheur désespérement de COMTE-SPONVILLE Comment l’auteur pose-t-il le problème initial de son essai ? 1) le recours à la définition a) le présent de vérité générale qui appuie les définitions convaincre (poids argumentatif) b) Definition : cadre du paragraphe : l’unité du paragraphe est au service de la définition §1 : def du bonheur « but de la philo » §2 : def de la sagesse §3 : la sagesse §4 : « but », « norme » c) Les définitions s’appuient

entre ensuite à l'École française de Rome, où il travaille sur saint Augustin. Admirateur de Teilhard de Chardin et de Charles Péguy, il rencontre Emmanuel Mounier, avec qui il collaborera à la revue Esprit à partir de 1935. Il est également le fondateur des Études augustiniennes. Il voyage ensuite en Italie (Naples) et en Égypte (Le Caire) avant d'enseigner à Nancy, puis Montpellier. Il obtient en 1937 sa thèse sur Saint Augustin et la fin de la culture antique. Amateur de musique, il deviendra