Auto Conscience Hegel

rousseauiste - p. 63 - Les inégalités physiques sont naturelles - L’inégalité politique est acceptée par les hommes sous forme de convention - L’homme à l’état de nature (Physique) - Anthropomorphisme actuel (Ressemble à celui d’aujourd’hui) - Auto-suffisant - Ressources abondantes - Tempérament robuste, vigoureux et fort - Puisqu’il n’a pas d’outils - Pas de notion de propriété - Paisible - Ne connait pas la maladie - Connait la mort, mais ne l’anticipe pas - Solitaire

liberté et la loi 3 1. Etat de nature et Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens

remarquer une particularité importante du désir: si le désir vise la satisfaction, son propre assouvissement , alors il cherche au fond sa propre disparition, car la satisfaction met fin au désir. Le désir semble avoir une structure essentiellement auto-négatrice, suicidaire. Car en cherchant à se satisfaire, il veut disparaître.Quel que soit l’objet cherché, le but est toujours la fin du désir. Le désir est une tension qui aspire à la détente, au repos. Or le repos suprême, c’est la mort. De plus

d’une nature humaine contradictoire comme l’exprime plusieurs philosophes : « L’homme ne devient libre que par la contrainte » Kant ; « Le droit sans la force serait vain » Pascal ; « Le droit de punir est d’abord le droit à la dignité du criminel » Hegel. Le droit s’identifie aux lois réelles (droit romain, droit germanique, droit islamique.). Le droit constitue le domaine politique, en définissant la constitution des lois. Le droit est garanti par l’Etat, et peut être changé par les citoyens (qui

B. La liberté et la loi 1. Etat de nature et Etat social 2. Liberté négative et liberté positive 3. L’esclave et l’enfant 4. La liberté d’expression C. Travail et liberté 1. La libération par le salaire 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 3. La libération par la technique (Marx) 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) II. La liberté intérieure A. L’origine du concept de liberté intérieure B. La liberté de vouloir 1. La liberté des Stoïciens

..........................................................26 b – L’exemple de l’utilisation de Milne-Edwards..........................................................................................27 c – Smith et Darwin : la société comme système auto-régulé........................................................................27 5 – Le primat de l’individu............................................................................................................................... 27 a – Modèle

et toute présupposition quant à cela même qui reçoit le nom de philosophie et les rassemble dans une communauté soi-disant philosophique. Le soi- du soi-disant, comme de l'auto-juridiction, n'est même pas assuré, du moins avant la performance de son auto-institution verticale; et chacun (mot sous lequel le nom de sujet constituerait déjà une thèse philosophique discutable dans un horizon très étroitement déterminé) a en principe le droit de questionner, outre tous les modes de discours (dont la discussion

qui suis appelé à l’interpréter avec d’autres, ne serait-ce que pour valider les « propositions de sens » qu’elle véhicule. Mais défendre les droits de l’interprétation, c’est défendre du même coup ce que Pierre Bayle appelait « les droits de la conscience errante », donc les usages plus ou moins déviants que l’on fait des traditions. Pourquoi un tel plaidoyer, sinon parce qu’il faut compter avec l’activité de la mémoire, faculté d’appropriation et non de simple enregistrement ? Pas d’appropriation

(amende, prison, etc.). 1. Etat de nature et Etat social Il semble donc que la loi constitue un obstacle à notre liberté, car elle nous interdit de commettre certains actes. Mais si la liberté que la loi me fait perdre est évidente, il faut avoir conscience aussi de la liberté que me donne la loi. La loi m’empêche par exemple de nuire à autrui, ce qui est une restriction de ma liberté, mais elle empêche aussi (en tout cas si elle est juste) à autrui de me nuire. Je perds en liberté, mais je gagne en

(amende, prison, etc.). 1. Etat de nature et Etat social Il semble donc que la loi constitue un obstacle à notre liberté, car elle nous interdit de commettre certains actes. Mais si la liberté que la loi me fait perdre est évidente, il faut avoir conscience aussi de la liberté que me donne la loi. La loi m’empêche par exemple de nuire à autrui, ce qui est une restriction de ma liberté, mais elle empêche aussi (en tout cas si elle est juste) à autrui de me nuire. Je perds en liberté, mais je gagne