Autogestion

leurs limites, de déterminer leur indépendance ou leur rattachement à une autre autorité politique ; ce principe permet à ces entités de se doter de règles constitutives de fonctionnement, permet de gérer l’économie de l’entité, … Il s’agit d’une autogestion, d’une autodétermination et d’une auto-organisation ce qui représente les principes mêmes de l’autonomie. Le principe de subsidiarité permet de modeler et de répartir les compétences en fonction de l’efficacité de chaque ordre juridique. Cette

des syndicats. Ces théories sont par ailleurs souvent difficiles à mettre en œuvre pratiquement ou peuvent être détournées. Concepts parfois vagues, peu propices aux prescriptions pratiques, coûteux. Des applications concrètes cependant (autogestion, participation financière, gestion participative, gestion des carrières, techniques de motivation). Risques de manipulations de l’individu (investissement sans rapport avec le salaire, promesses de promotion, …). Aucun effet direct sur la

de Guinée. fitude préparée par le Ministère de l’éducation et a de la cuiture SOUE les auspices de la Commission nationale guinéeme pour l’Unesco La politique culturelle en Sierra Leone,par Arthur Abraham La politique culturelle en Yougoslavie. Autogestion et culture,par Stevan Majstorovib La pelitique culturelle en Australie,par Jean Battersby La politique culturelle en France,par le S e m c e des études et recherches du Ministère de la culture et de la communication Quebues aspects de l politique

Énergie et enthousiasme, mais aussi autogestion L’énergie et l’enthousiasme déployés par les dirigeants étudiés étaient tout à fait évidents, et étaient étroitement liés à leur engagement à servir, et donc de leur volonté. Comme nous l’avons vu, la plupart d’entre eux avaient des horaires exceptionnellement longs. Cet engagement soulève la question de l’autogestion, qui se dégage de la phase de cadrage de l’étude comme étant une qualité importante. Par autogestion il faut entendre l’aptitude du dirigeant

Énergie et enthousiasme, mais aussi autogestion L’énergie et l’enthousiasme déployés par les dirigeants étudiés étaient tout à fait évidents, et étaient étroitement liés à leur engagement à servir, et donc de leur volonté. Comme nous l’avons vu, la plupart d’entre eux avaient des horaires exceptionnellement longs. Cet engagement soulève la question de l’autogestion, qui se dégage de la phase de cadrage de l’étude comme étant une qualité importante. Par autogestion il faut entendre l’aptitude du dirigeant

leurs limites, de déterminer leur indépendance ou leur rattachement à une autre autorité politique ; ce principe permet à ces entités de se doter de règles constitutives de fonctionnement, permet de gérer l’économie de l’entité, … Il s’agit d’une autogestion, d’une autodétermination et d’une auto-organisation ce qui représente les principes mêmes de l’autonomie. Le principe de subsidiarité permet de modeler et de répartir les compétences en fonction de l’efficacité de chaque ordre juridique. Cette

démocratiser la vie politique : 1) Associer les travailleurs au sein de l’entreprise. On peut avoir une consultation obligatoire des syndicats. On peut mettre en place une Cogestion (entre dirigeants et salariés). On peut mettre en place une autogestion, ce qui signifie que la direction de l’entreprise est transférée aux travailleurs par l’élection des dirigeants par les salariés 2) Créer des organismes nationaux de concertation entre partenaires économiques et partenaires sociaux. En France et

président de la république s’il l ne venait pas il y a avait le garde des sceaux et ensuite les magistrats qui avaient d’autres fonctions. La réforme du CSM doublé de ce mécanisme qui donnait un poids particulier aux élus s’est traduite par une autogestion des magistrats. Toute fois une différence doit être faite en fonction du siège ou du parquet. Le pouvoir du conseil n’est pas le même dans les deux cas : il y a une formation compétence à l’égard du siège fait des propositions ou donne un avis conforme

n’a pas eu le temps d’atteindre la Yougoslavie, Tito avait déjà réussi à libérer le pays. Il entend conduire une expérience originale du socialisme : par l’autogestion (un collectif ouvrier se voit attribuer la direction d’une entreprise). Cette autogestion est prolongée par une planification indicative et non coercitive. Tito s’attire les foudres de Staline lorsqu’il refuse d’intégrer pleinement le bloc soviétique (malgré son attachement aux idéaux communistes). Progressivement, si le CAEM est

les logements, l’éducation, pour la législation du travail (notamment à cause de l’OIT), ... Des modèles de négociation collective se développent : les partenaires sont autour d’une table avec l’Etat qui joue l’arbitre, c’est le modèle allemand (Autogestion en allemand), ce sont des accords par entreprise / branche. 3.2. Et maintien des modèles nationaux L’Etat est beaucoup plus fort en France (pas de salaire minimum en Allemagne/Suisse car négocié par branche). S’il y a des modèles communs,