Autonomie De La Responsabilité Administrative

Par ses institutions administratives, l’Etat se définit négativement, par rapport à l’ensemble du système social et du libre jeu d’initiatives privées qui l’animent. Elles sont attachées à la satisfaction des activités prises en charge par la collectivité et placées au service de fin qui les dépassent, supposant une distinction entre le privé et le public. Ces dernières sont inhérentes à l’intérêt général ou au bien commun : constitue le fondement idéologique de leur raison d’être. Mais à la différence

délégation de compétences, mais à des agents ou organismes locaux appartenant à l’administration d’État. À la différence des collectivités territoriales, ils sont soumis à l’autorité de l’État et ne disposent d’aucune autonomie. Les collectivités territoriales bénéficient d’une certaine autonomie de décision et de leur propre budget (principe de libre administration) sous la surveillance d’un représentant de l’État (l’autorité de tutelle : le préfet). Ce n’est pas un supérieur hiérarchique, il veille simplement

| |Mission : assurer la gestion administrative et la gestion du personnel, et seconder le Directeur des Ressources Humaines | |Activités : | |Gestion administrative : |

 phénomènes  qui  ne  sauraient  être  confondus : la déconcentration et la décentralisation. La déconcentration La déconcentration désigne le processus par lequel l'Etat central va permettre à des agents locaux d'exercer certaines compétences administratives, étant précisé que ces agents agissent au nom de l'Etat et sous son contrôle. Selon la formule consacrée, « c'est le même marteau qui frappe, mais on en a raccourci le manche » (O. Barrot). Ainsi en France, ce sont les Préfets de département

|Etablissement (cachet) : lycée BERTENE JUMINER Académie : Guadeloupe | |INTITULE DE L’ACTIVITE : |Activité administrative à caractère | | |(Organisationnel | |Rangement de différentes factures

bas mais le pouvoir d’en haut ». Afin d’arriver à une telle situation, les préfets, les conseillers généraux, les conseillers municipaux et les maires étaient nommés par le pouvoir central. Il n’y avait donc pas à proprement parler d’autorités administratives locales mais seulement des représentants locaux du pouvoir central. Vision reprise par Louis Napoléon Bonaparte après 1851… La déconcentration a depuis été toujours consacrée même sous la 5ème République. Parmi les autorités déconcentrées actuelles

trouve des secrétaires dans tous les secteurs : services, industrie, fonction publique, grandes ou petites entreprises. Avec l'introduction massive de l'informatique dans l'entreprise, la tâche des secrétaires a gagné en responsabilités. Aux traditionnelles tâches administratives et de frappe, que l'ordinateur a permis de gérer avec plus de souplesse et de rapidité, se sont ajoutées des fonctions plus élevées. Plus proches de leurs supérieurs hiérarchiques, les secrétaires sont de plus en plus devenues

elle-même, avec ses propres moyens. Le service n’a aucune autonomie financière, ni d’organe de gestion, ni de personnalité juridique propre. En cas de litige avec un tiers, c’est la responsabilité de la collectivité qui est engagée. La comptabilité de la collectivité retrace les différentes opérations du service de manière individualisée. . La régie autonome Les régies dotées de la seule autonomie financière sont créées, et leur organisation administrative et financière est déterminée par délibération du conseil

certains sont plus centralisé que d’autres. 3 formes d’Etats unitaire : · L’Etat unitaire centralisé Toutes les décisions sont prises par le pouvoir centrale, toutes les normes y sont issus comme la constitution, les lois et l’ensemble des règles administratives (réglementaire). Dans un tel système si on a tout qui est pris par le centre, cela peut fonctionner que dans un Etat petit. Un système est difficilement compatible avec la démocratie, donc aucun partage de pouvoir. Les Etats centralisé s’ils veulent

médico-sociaux, socio-éducatifs. Il travaille en grande proximité avec les professionnels de la santé, les travailleurs sociaux, les partenaires institutionnels. Il inscrit son activité dans une logique de réseau. Il met ses compétences techniques, administratives et relationnelles au service de publics demandeurs de soins, de services, de prestations sociales…Dans son cadre d’intervention, grâce à une connaissance précise des offres de service et des publics, il procède à l’analyse des besoins, il permet