Autonomie Des Banques Centrales

change fixes ou du ciblage de l’agrégat monétaire. Les économistes s’accordent aujourd’hui sur le fait que la stabilité des prix est une condition impérative à la bonne conduite d’une économie. A cet égard, on a revu les buts poursuivis par les banques centrales. Il est désormais couramment admis qu’une bonne politique monétaire poursuit l’objectif d’une inflation stable et peu élevée. Dans beaucoup de pays industrialisés, le ciblage d’inflation en tant que politique monétaire a donc remplacé les régimes

distribuent entre deux extrêmes : changes fixes et changes flexibles. Définitions Un régime de change fixe suppose la définition d'une parité de référence entre la monnaie du pays considéré et une devise (ou un panier de devises), à laquelle la banque centrale s'engage à échanger sa monnaie. Lorsque le marché des changes est libéralisé, le respect de cet engagement lui impose d'intervenir sur le marché des changes dès que le taux de change s'éloigne de la parité établie, par l'achat de la monnaie nationale

BCE) de modifier le cours de change puisque la compétitivité prix des 2 zones est équivalente. Si P ≠ P*, si on observe un différentiel d’inflation entre la zone domestique et le RDM, alors S≠1  Ṡ≠0, autrement dit la nécessité pour une des 2 banques centrales de modifier le cours de change à l’incertain afin de restaurer la compétitivité prix de la zone concerné. Cas 1 : Si P>P* : l’inflation domestique > à l’inflation étrangère, il y a donc une perte de compétitivité prix de l’économie domestique

qui sont importées. ➢ Dès 1780, en Angleterre, ils réclament le libéralisme économique et le libre-échange entre les nations. L’expansion financière Diversification bancaire ➢ Dès le milieu du XIXe siècle, un nouveau type de banque, la banque de dépôts, se développe, elles reçoivent l’argent de dizaines de milliers de clients qui peuvent aller retirer leur argent quand ils le désirent. Elles mettent à la disposition du marché financier des sommes considérables, qui répondent aux besoins

L’inflation a baissé à mesure que les États se préparaient à l’introduction de l’euro, et depuis elle s’est stabilisée aux alentours de 2 % dans la zone euro. [pic] ➢ Emprunter plus facilement et à faibles taux d’intérêts : Comme la Banque centrale européenne assure le maintien d’une inflation à un niveau très bas, les taux d’intérêt sont eux-mêmes moins élevés. Par conséquent, les consommateurs peuvent emprunter plus facilement et à moindre coût, par exemple pour acheter une maison ou s’offrir

Il y a seulement plusieurs années, la Banque mondiale a adopté un nouveau plan de stratégies à suivre pendant le 21e siècle. Il s’agit d'un trias composé de trois mots clés : « décentralisation, urbanisation et mondialisation ». Il faut remarquer que la décentralisation est évoquée en première lieu. Dans son rapport, la banque mondiale explique l’importance de la décentralisation comme un cadre de la croissance économique et qui joue un rôle dans l’économie globale. En outre, elle mentionne explicitement

l’image de l’Indonésie, l’économie turque a connu un rebond au 1er trimestre 2011, avec une croissance de près de 12% en glissement annuel, plaçant ainsi l’économie au dessus de la moyenne de sa zone géographique (2% en moyenne dans les pays d’Europe Centrale). La Turquie comme l’Indonésie donnent l’image d’une économie solide au sein de leur zone géographique.  Un système bancaire solide, reconsolidé suite à une crise majeure La Turquie – tout comme l’Indonésie en 1997 avec la crise asiatique, connait

distribuent entre deux extrêmes : changes fixes et changes flexibles. Définitions Un régime de change fixe suppose la définition d'une parité de référence entre la monnaie du pays considéré et une devise (ou un panier de devises), à laquelle la banque centrale s'engage à échanger sa monnaie. Lorsque le marché des changes est libéralisé, le respect de cet engagement lui impose d'intervenir sur le marché des changes dès que le taux de change s'éloigne de la parité établie, par l'achat de la monnaie nationale

5 5 • Part relative de marché : A l’image du secteur bancaire, la structure des ressources de la BMCI est caractérisée par une prépondérance des dépôts à vue (plus de 60% des ressources de la Banque). Les comptes à échéance continuent cependant d’afficher une progression notable, malgré le relatif abaissement affiché en 1998. Ils représentent néanmoins 7.4% de part de marché en 1999 contre 6.8% et 6.3% respectivement pour les années 1997 et

dématérialisées: La monnaie divisionnaire, ce sont des pièces émises par le trésor public dont la valeur est indépendante de leur contenu en métal. La pièce n'a pas de valeur mais représente en valeur. La monnaie fiduciaire: il s'agie des billets de banques, la monnaie n'a plus de valeur en elle-même, sa valeur provient de métaux auquelles il fait référence. Au cours du XXème, la monnaie va se dématérialisée. Au début du XXème, l'Etat met en place le cour légal des billets (obligation de les accepter