Autoportrait Morale De Michel Leiris

avons lus Groupement de textes : - L’âge d’homme, de Michel Leiris - Les confessions, de Rousseau - Lucien, de Claude Bourgeyx - Enfance, de Sarraute - W ou le souvenir d’enfance, de Perec Lecture - Les caractéristiques de l’autobiographie - Ses formes - Ses enjeux : mémoire, humour, distance, impossible autoportrait, le pacte autobiographique Lecture de l’image - Dessin de Sergueï (manuel p125) - Triple autoportrait, de Norman Rockwell - Persepolis Ecriture - Raconter

stature ou corpulence qu'il n'aime pas. Elle n'est pas pratique, elle n'est pas idéale pour commander. 2ème partie du texte : sa mentalité. Son état d'esprit moral, il se plaint de vieillir. Il ne supporte pas sa vieillesse parce qu'il ne se reconnaît plus. Conclusion : cet autoportrait n'est pas mélioratif (positif), l'auteur ne cherche pas à se valoriser mais il n'est pas péjoratif non plus (sa santé le contente), c'est donc un jugement lucide sur lui-même

physique et psychologique • Déterminer les enjeux d’un autoportrait • Comprendre les accords dans les descriptions • Analyser les procédés d’écriture de la description • Ecrire un portrait DEROULEMENT DE LA SEQUENCE SEANCE NO1 : LECTURE Le portrait dans le récit Texte : L’éducation sentimentale G Flaubert. SEANCE NO2 : LECTURE Se décrire soi – même : Qu’est ce qu’un autoportrait ? Textes : Biffures M Leiris + Attentat A Nothomb SEANCE NO3 : ORTHOGRAPHE Les accords

Montaigne, Essais, Semprun, L'Ecriture ou la vie) Séance 3: L'accord du participe passé (langue) Séance 4: L'énonciation dans le texte autobiographique (lecture, L-F Céline, Mort à crédit) Séance 5: Les modalités d'écriture (lecture + langue, M. Leiris, L'âge d'homme – le vocabulaire des émotions) Séance 6: Les différentes formes de l'autobiographie (lecture, Extraits C. Pozzi, G. Forestier, Général de Gaulle, M. Duras, Marivaux, J-J Rousseau) Séance 7: Les différentes valeurs du présent (langue)

journal permet au jour le jour noter impressions, faits anodins, rencontres quotidienne avec exactitude >< autobio recompose le moi à partir de souvenir plus ou moins diffus : bcp autobiographes ont peur pas exprimer au plus près vérité (Rousseau, Leiris, Stendhal, Sarraute), que ce soit vérité des actes ou vérité de l’être, elle se constitue comme horizon de l’écriture, lieu sans lieu vers quoi tend effort écriture - Si question exactitude = pb , c’est / question destinataire : projet initial =

depuis les errances de sa jeunesse jusqu’à sa conversion et la sagesse de la maturité. Le genre reste toutefois peu prati- qué jusqu’au XVIe siècle, où se développe l’idée de personne. Les Essais de Montaigne paraissent alors : il s’agit d’un autoportrait où se mêlent confidences, récits d’expériences et méditations. On considère que c’est Rousseau, au XVIIIe siècle, qui a fondé l’autobiographie moderne. Reprenant le titre de saint Augustin, il entreprend d’écrire son histoire avec un objectif bien

De Rousseau à Annie Ernaux : mobiles, modèles et mutations de l’autobiographie « AUTOPORTRAIT. (1928). Portrait d’un dessinateur, d’un peintre exécuté par lui-même. Autoportraits de Rembrandt, de Van Gogh » (définition et exemples du Petit Robert). Dans le cours de cet article, les théoriques distinctions génériques (entre les mémoires, l’autoportrait proprement dit1, l’autobiographie, le roman autobiographique, l’autofiction…), sans pertinence pour mon propos qui interroge surtout les présupposés

LIRE LEIRIS, AUTOBIOGRAPHIE ET LANGAGE TABLE DES MATIÈRES PRÉLUDE                               CHAPITRE I : NUMÉRO ZÉRO 1. L’ordre du texte                           2. Autoportrait (pp. 25-29)                       3. Métaphysique de mon enfance (pp. 30-40)          4. La lacune                          5. Bifurcation                          6. L’ordre du texte (pp. 40-42)                  7. Numéro zéro                          CHAPITRE II : TRAGIQUES 1. Faust

sens de lecture très précis au tableau. Les lignes étant un élément revenant presque irrémédiablement dans le thème de la chute, il pourrait être le moyen principal que F.Bacon ait utilisé pour faire ressentir cette chute ( ici, aussi bien morale que physique) car les lignes sont un excellent fil conducteur du regard que l’on retrouve dans toute œuvre aussi bien photographiques que peintes, et plus ou moins évidentes comme par exemple dans « la parabole des aveugles » de Bruegel où la ligne

photos… - dimension publique fondamentale : Gide fait une autobiographie pour qu’on ne puisse pas lui reprocher d’avoir caché son homosexualité. Pour Gide, difficultés de son moi à être cerné. Comprend l’acte fondateur de l’autobiographie comme un aveu. Leiris veut « faire un livre qui soit un acte » : l’acte autobiographique est un acte performatif qui transforme les bases de son rapport à autrui. - importance de l’intertextualité : les auteurs sont conscients de leurs prédécesseurs et se situent par