Autorégulation

langage ? Type, nature et objets des remédiations, des consignes et des feedbacks Signes de stéréotypes sexuels dans les situations ? Variables pédagogiques pour différencier les niveaux, besoins Ressources développées ? Degré d'autonomie et autorégulation (qui, comment et pourquoi) ? Mise en place d'outils permettant l'autoévaluation, l'autorégulation et l'autonomie de tous. Consignes collectives Niveau Répartition du temps de l'enseignant ? Sécurité Feedback individuel En fonction

Machiavélisme : Mesure dans laquelle un individu est pragmatique, conserve une distance émotionnelle et croit que la fin justifie les moyens. Estime de soi : Mesure dans laquelle un individu accepte ou au contraire dénigre sa propre personne. Autorégulation : Mesure dans laquelle un individu est capable d’adapter son comportement à des facteurs situationnels externes. Personnalité proactive : Désigne les personnes entreprenant volontiers des actions pour influencer leur environnement. Perception :

position  éthique  de  l’entreprise définit  dans  quelle  mesure  l’organisation  entend  excéder  les  obligations minimales qui la lient à ses parties prenantes et à la société dans son ensemble.  Au‐delà de la règlementation = autoréglementation, autorégulation (pour les annonceurs en pub).  4 types de position éthique :  1. Garantir les intérêts à CT  2. Défendre  les  intérêts  à  LT  des  actionnaires.  Egocentrisme  éclairé,  réputation,  actions  caritatives, nécessaire de se comporter de façon réfléchie dans les activités quotidiennes de 

objectifs propres (maximisation du profit, taux de croissance) distincts de ceux des ses membres (personnel, dirigeants). ✓ L’entreprise est un système régulé : elle s’adapte en permanence pour atteindre des objectifs précis, par autorégulation ou en raison de l’existence d’organes de commende (direction). ✓ L’entreprise est composée de sous-systèmes en interaction parmi lesquels on peut citer le système d’information (moyens et procédures qui représentent l’état

crises mais à terme on revient à l’équilibre. Si on cumule ces 2 analyses : Main invisible + loi des débouchés conduisent au « laissez faire, laissez passer » (c’est-à-dire au libéralisme économique). Principe de non intervention. Il y a une autorégulation par les prix (tous les marchés sont équilibrés). L’état ne doit pas intervenir dans la vie économique. Son seul rôle est de protéger la propriété privée des moyens de production et de favoriser le bon fonctionnement des mécanismes de marché

réglementation par les pouvoirs publics risquerait d’entraver le bon fonctionnement de systèmes privés dynamiques ». 21 Donc, même si les autorités publiques peuvent intervenir pour encadrer les systèmes mis en place, il s’agit bien d’une autorégulation privée. Mais celle-ci ne peut valablement fonctionner que si elle s’insère dans une démarche collective organisée qui lui donne visibilité et crédibilité. Il faut en particulier que le système soit en mesure d’éviter ce qu’il est convenu d’appeler

économique : o Recherche de l’intérêt général ? ou optimisation d’une trajectoire personnelle ? o Cf distinction économistes / Homme politique. Libéralisme vs keynésianisme. - Pensée dominante : pensée néoclassique Autorégulation des marchés (du travail, financiers…) - Mais économistes keynésiens (stiglitz, krugman…) Nécessaire intervention de l’Etat. Chapitre 1 : Les grands courants de la pensée économique. Fin 18ème : Développement de « véritables »

Europe (Angleterre et France) L’Etat est-il le produit de l’évolution de la conception du pouvoir ? Georges Burdeau 3 étapes chronologiques « Il n’y a pas de société qui ne soit organisée à partir du pouvoir » 1) Conception indifférenciée Autorégulation. ex : sorcellerie, croyances… Problèmes : conflits entre croyances et raisonnements  Scission dans l’unité 2) Pouvoir individualisé Un chef régule les conflits Problème : manque de lucidité du chef, luttes de succession, abus de pouvoir

ont été effectués par l’observations de l’armée allemandes au cours de la Seconde Guerre mondiale. Elle définit l’organisation comme un système où il existe une interaction entre le sous-système social et le sous-système technique. Il existe une autorégulation de ces systèmes, mais il faut aussi une connaissance technique afin d’optimiser les rapports entre les différents systèmes, ce qui diminuerait les dysfonctionnements P.Bernoux trouve que tous ces courants n’ont été assez analysés le fonctionnement

……………… Page 41 §1. RECUEIL DES PLAINTES ET OBSERVATOIRE DE LA QUALITÉ…………………… .……. Page 41 §2. FILTRAGE ET INTERMÉDIATION……………………… .……………………………..... Page 41 Chapitre II. Les initiatives des opérateurs…………………….…… .…… Page 42 Section 1. Autorégulation des opérateurs……………………...…… .….. Page 42 §1. CODES DE CONDUITE……………………… .…………………………………………... Page 42 §2. CERTIFICATION……………………… .………………………………………………….. Page 44 Section 2. Dispositifs de prise en charge des réclamations…..….. Page 45