Avarice

ou romaine (Corneille).  La comédie met en scène une action basse et donc des personnages bas (normalement des bourgeois mais parfois des paysans). Il est donc permis de représenter des gens de l'époque. Normalement on critique un défaut commun (avarice, sottise, hypocrisie, infidélité, ambition démesurée). La comédie raconte le renversement du malheur au bonheur. Le dénouement typique d'une comédie est le mariage (même si le jeune couple n'est pas toujours au premier plan).  Théâtre élisabéthain:

se parler, ils cheminaient tous deux.
 L’Avarice, le dos en voûte, Examinait ce coffre hasardeux
 Pour qui sans cesse elle redoute.
 L’Envie aussi l’examinait sans doute.
 Comptant tous les écus dans son coffre entassés, Chemin faisant, dame Avarice
 Se répétait pour son supplice : « Je n’en ai point encore assez ! »
 De son côté, l’Envie au regard louche, Lorgnant cet or, objet de tous ses soins, Disait, en se tordant la bouche : « Elle en a trop, car j’en ai moins. »
 Chacune, à sa façon

beaucoup de villages, étant très rudes, de souhaiter une telle prolongation de cette saison afin de vendre du bois plus longtemps et de profiter de la souffrance des habitants rend ce personnage plus ignoble que celui de l’extrait de Laberge. Son avarice l’avait même poussé à laisser mourir Donalda pour l’oublier aussitôt : « Il se souciait peu de Donalda. Il n’y pensait plus. Il l’avait déjà oubliée »(l. 1-2). La gradation vient ici amplifier la rapidité avec laquelle elle glisse de sa mémoire.

lumière, ce que confirme la première maxime : « Frère Apprenti, l’insensé voyage toute sa vie sans savoir où il va, d’où il vient, ni ce qu’il doit faire. Mais le sage se rend compte de tous ses pas, parce qu’il en connaît l’importance et le terme » Avarice : garder tout pour soi, ne pas transmettre. Au second voyage il est dit, après avoir présenté l’airain au candidat : « Mon Frère, ce métal est l’emblème de l’orgueil qui, par son alliage impur dégrade les plus grandes vertus ». Orgueil : égo démesuré

quasi-irréprochable auront la chance de communier. Les autres fidèles devront apprendre à discipliner leurs passions, leurs appétits et leurs tendances au péché (violence, blasphème, plaisirs sexuels, gourmandise, alcoolisme, goût pour le luxe ; avarice, égoïsme, insubordination, etc.) avant de pouvoir recommencer à recevoir la communion. Tant qu’ils n’auront pas corrigé leurs comportements « déviants », ces fidèles ne recevront pas l’absolution du prêtre et ne pourront pas communier. L’accès à l’eucharistie

esclavagistes convertissaient leurs esclaves : « les fétiches hollandais qui m’ont converti » (texte C). Ils pensent également que « Dieu, qui est très sage, ait mis une âme, surtout bonne, dans un corps tout noir. » Tout cela dans le but de « satisfaire son avarice, sa vanité » (texte B). Les arguments utilisés par Montesquieu, Voltaire et Marivaux permettent grâce à un ton neutre, de montrer l’absurdité du raisonnement que les esclavagistes utilisaient afin de se donner bonne conscience. Tandis que le Chevalier

préfère son argent à ses enfants. Il en a deux, Cléante et Elise pour qui il veut arranger des mariages afin de gagner de l’argent. Harpagon veut épouser Marianne qui, elle souhaite épouser Cléante . Son besoin absolu de gagner de l’argent et son avarice en fait bien sûr un personnage comique .Les autres personnages sont :Cléante  : qui est le fils d’Harpagon, il aime Marianne mais son père veut le forcer à épouser une veuve riche. Elise  : Elle est la sœur de Cléante

discussions financires)- Mise en commun et exploitation.- Schma actantiel Sujet, hrone Eugnie Destinataire Charles Objet Le bonheur de Charles Adjuvants Son argent personnel, Nanon Destinateur Eugnie, ses sentiments Opposants Le pre Grandet, son avarice Complter le 2 rsum du Parcours de lecture relire p.84-85 chercher qui est Raphal et ce quest la Vnus de Milo.Sance 3 (1h) Etudier le portrait du personnage ponyme.Le roman p.84-85.- Bilan du 2 rsum de lecture.- Lecture haute voix puis lecture

d’une brochure du Front Populaire. Ce qu’on critique : - Le parlementarisme et ses dérives : corruption, coalitions, instables, gouvernement impuissant, démagogie - Le système libéral et capitaliste et ses dérives : spéculation, pots de vin, avarice - Le rôle de certains groupes considérés comme mauvais et pervers : communauté juive, francs maçons, communistes, internationalisme - L’absence du sens de la nation : antimilitarisme, égoïsme, internationalisme - L’esprit de jouissance : paresse

destitué et spolié dès le départ: orphelin ou autre. On parle de Picaro. - Décrit l'apprentissage de la vie (similitudes retrouvées plus tard dans le Bildungsroman, initiatique) en société par une série d'épreuves. - Décrit des faiblesses humaines: avarice, duplicité, prétentions exagérées etc. Le tout illustré par des situations burlesques et tragi-comiques. - Critique les diverses couches sociales, surtout les plus aisées. - Errance, structure itinérante. Généralement un voyage. - La satire se