Aveu Moment Clé De La Représentation

quelquefois… mais qui m’ont permis de ne pas entretenir un rapport trop obsessionnel par rapport à mon travail. Je tiens à remercier ma maman et Tomasz de m’avoir supportée au quotidien, de m’avoir aidée à traverser les moments difficiles liés à la rédaction de cette thèse et d’avoir crée des moments de détente nécessaires à la poursuite d’un travail de recherche. Je tiens, enfin, à remercier tous ceux sans qui cette thèse ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui. 1 TABLE DES MATIÈRES Introduction générale

évidence, l’espèce spiculée que j’observais en cet instant était au bord de l’explosion, laquelle ôterait la vie à la personne dont elle avait envahi le poumon de manière aussi insidieuse que radicale. Une horreur de plus dans le catalogue sans fin des moments pénibles qui constituent le principal décor de ma vie entre neuf heures du matin et cinq heures du soir. À cet égard, la journée dont il est question ici battait tous les records : une heure avant que le cancer spiculé n’apparaisse sur mon écran,

l’évolution des évènements, des choses et des idées, parce que l’état antérieur n’est plus adapté à la nouvelle situation. Ainsi, par définition, une crise appelle une série de décisions, d’actions destinées à la résoudre. L’instant de la crise est un moment d’incertitude. Personne n’est en mesure de savoir si elle va aboutir à un conflit, si elle débouchera sur une régression, ou si un nouvel équilibre favorable résultera d’une bonne décision. La crise est un signal qui prévient qu’un déséquilibre commence

trouve. Car, à peine séparé de sa maîtresse, il lui revient : il entend encore la dominer, ne la céder qu'à un rival de son choix. C'est pour ce rival, pense-t-il, qu'il la reconquiert : est-ce absolument sûr? Du moins son cœur bat-il bien fort au moment de cette reconquête... Au dernier instant n'a-t-il pas encore vers elle un grand élan de tendresse passionnée? C'est le dernier feu : puisque Angélique est à Dieu, et à Dieu seul, il peut se raffermir une fois de plus à la pensée de son triomphe :

trouve. Car, à peine séparé de sa maîtresse, il lui revient : il entend encore la dominer, ne la céder qu'à un rival de son choix. C'est pour ce rival, pense-t-il, qu'il la reconquiert : est-ce absolument sûr? Du moins son cœur bat-il bien fort au moment de cette reconquête... Au dernier instant n'a-t-il pas encore vers elle un grand élan de tendresse passionnée? C'est le dernier feu : puisque Angélique est à Dieu, et à Dieu seul, il peut se raffermir une fois de plus à la pensée de son triomphe :

Québec, le 7 janvier 2005. Otto Rank – Don Juan et Le Double (1932) 3 Table des Matières Avant-propos Le Double 1 2 3 4 5 6 7 Le Problème du Moi Le thème du Double dans la littérature Le dédoublement de la Personnalité L’ombre, représentation de l’âme Le reflet, symbole du narcissisme La conception dualiste de l’âme et le culte des Jumeaux La croyance à l’immortalité de l’âme Don Juan 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Le développement du personnage de Don Juan dans la littérature La division

performative. D’autres en revanche se situent à la marge de l’action, qu’ils se proposent d’éclairer de manières prospective (c’est le cas de la Situation de la Russie rédigée en 1849, qui prétend informer les révolutionnaires d’Europe centrale au moment où les menaces d’une intervention russe se précisent) ou rétrospective (c’est le sens des analyses géopolitiques et historiques proposées par Ma Défense en 1850). Enfin, deux écrits se signalent comme des bilans partiels et problématiques de l’action

Néron’’ figurant dans la ‘’Vie des douze Césars’’ de Suétone, qui, plus explicite encore que Tacite au sujet de l’inceste entre Agrippine et Néron, signala les taches de sperme qui furent décelées sur le vêtement de celui-ci après qu’il ait passé un moment avec elle ; qui indiqua encore qu’il sodomisa son frère avant de le tuer, qui écrivit qu’après le meurtre de sa mère, Néron «ne put jamais [...] étouffer ses remords, et souvent il avoua qu'il était poursuivi par le fantôme de sa mère, par les fouets

cette situation hiérarchique, comme semblent le confirmer les deux sceptres royaux tenus par Philippe IV. La main de l’homme lige indique que le serment de fidélité, fait sur les Saintes Écritures, engage la foi du vassal. Ce tableau annonce le moment où le seigneur relèvera son vassal et lui donnera l’accolade (ou le baiser sur la bouche) qui le déclarera son égal en chevalerie, ainsi que le veut la cérémonie de l’hommage. L’adoubement de Lancelot par le roi Arthur (voir p. 21). Cette enluminure

rapprochent règles de droit et règles morales. b) Les différences Ce qui les distingue essentiellement est que contrairement à la morale est que le droit ne puise pas seulement dans les valeurs et n’entend pas seulement faire du bien et du mal la clé unique de l’organisation sociale. Le droit a d’autres sources fondamentales. Il y a des exigences économiques qui peuvent heurter les exigences morales. Est-il juste de fixer à tel niveau le salaire minimum ? D’un point de vue à un autre, cela sera