Avez Vous Le Sentiment D Appartenir A Une Génération

Une génération désigne un groupe d’individus, ayant à peu près le même âge ou ayant vécu à la même époque historique, et qui partagent un certain nombre de pratiques due à un sentiment d’appartenance. Chaque existence humaine a un sentiment d’appartenance à une génération. C'est sur ce sens de génération que va porter notre sujet. Pour cela, nous traiterons quatre documents dans ce corpus : au document 1 de Claudine Attias-Donfut, Nicole Lapierre et Martine Segalen intitulé «  Le Nouvel esprit de

différences entre les groupes sociaux ont tendance à s’atténuer depuis les Trente Glorieuses en France. On parle de moyennisation. Ce mouvement est d’abord perceptible dans les transformations de la structure socioprofessionnelle : les cadres et les professions intermédiaires, qui constituent l’essentiel de la classe moyenne, se développent fortement, tandis que les catégories populaires (employés et ouvriers) croissent beaucoup moins vite. Par ailleurs, on assiste à une certaine homogénéisation des modes de

Le concept de génération est utilisé pour caractériser des groupes d’individus très différents, parmi lesquels certains constituent une bande partageant des points communs. Ce phénomène nous amène à connaitre à travers un corpus de quatre documents, les facteurs de regroupement générationnel. Georges Perec montre dans le quatrième chapitre de son roman Les Choses, en 1965, que les jeunes individus forment un groupe partageant des points communs. Tout comme Marwan Mohammed et Laurent Mucchielli

Les générations Le thème de ce corpus est les générations. C’est un sujet partagé sous plusieurs points de vues : Dans le document 1 Fréderic Gaussen traite la question « Qu’est ce qu’une génération ? » dans un article publié dans Le Monde, le 15 novembre 1981. Il s’interroge sur les générations, pourquoi parle t’on d’une génération ? Dans le document 2 Gabriel Matzneff édite son roman en 1994 Le taureau de Phalaris, dans lequel il raconte le sens négatif d’appartenir à une génération. Puis dans

biens d’équipement De même, une mobilité sociale plus forte, contribuent à l’effacement de certaines spécificités socioculturelles et à la diffusion de normes, de valeurs et de modèles de comportements communs au niveau familial . 2) du point de vue quantatif on constate un déclin des cadres et professions intermédiaires et des employés .Ce qui concourt au développement des catégories dites « moyennes » et par définition a une baisse des ouvriers. 3) La réduction des inégalités de revenus, surtout

Sujet : L’appartenance à une génération est-elle, selon vous, un confort ou un carcan ? A l’origine, « Génération » était synonyme de reproduction, de production. Au fil du temps ce terme s’est répandu et selon certains auteurs comme Valérie HUGENTOBLER, la génération serait définie, suivant les contextes, de type généalogique, historico-sociale ou bien pédagogique. Plus précisément, une génération généalogique évoque le fait d’appartenir à une lignée familiale, on parle d’ascendance et de

Comment nait le sentiment d’appartenir à une génération ? Comme nous l’avons déjà vu dans les exposés précédents, la notion de génération fait référence à un groupe de personne vivant à une même époque, partageant des expériences similaires, subissant les mêmes évènements, et, appartenant a une même tranche d’âge. « Génération 1968 », « génération du baby boom », « nouvelle génération » … le terme « génération » parcourt les ondes, les articles de presses, les slogans publicitaires et politiques

de l’équipement des ménages (généralisation de l’accès à des biens durables comme l’automobile). De même, la scolarisation massive, une mobilité sociale plus forte, contribuent à l’effacement de certaines spécificités socioculturelles et à la diffusion de normes, de valeurs et de modèles de comportements communs au niveau familial (nucléarisation du groupe familial, rapprochement des modèles éducatifs). Les pratiques sociales ont donc tendance à s’uniformiser. Cause et conséquence de ces évolutions

le fait que la classe moyenne rassemble une part de plus en plus importante de la population. Ce processus a plusieurs causes. Premièrement, on observe objectivement une augmentation de la part des catégories socioprofessionnelles qui sont considérées comme appartenant aux classes moyennes (« montée irrésistible des groupes cadres et professions intermédiaires »). Deuxièmement, on a observé à partir des années 1950 une réduction des inégalités économiques et sociales entre les groupes sociaux : rapprochement

avoir perdu de sa pertinence car elle peine à traduire un certain nombre d’évolutions de la société française. A- Elle est en décalage avec l’affaiblissement de la conscience de classe 1- Depuis le phénomène de moyennisation, on assiste à un affaiblissement durable du sentiment d’appartenance aux classes traditionnelles (ouvrière, bourgeoise) - baisse des disparités entre classes - par contre une part de ++ importante de la pop pense appartenir à la classe moyenne 2- Le déclin de l’identité