Axiomes des probabilités

(X′ Xc )−1 X′ yc = c c sxy x, ¯ s2 x sxy . s2 x Il reste ` d´duire b1 de l’´quation a e e y = b1 + ¯ ce qui donne b1 = y − ¯ sxy sxy x, et b2 = 2 . ¯ 2 sx sx 35 Chapitre 4 Rappel sur le calcul des probabilit´s, e les variables al´atoires, et l’inf´rence e e statistique 4.1 4.1.1 Probabilit´s e ´ e Ev´nement Une exp´rience est dite al´atoire si on ne peut pas pr´dire a priori son r´sultat. On note ω un r´sultat e e e e e possible de cette exp´rience al´atoire. L’ensemble de tous les r´sultats

des recettes. L’opposition théorie/pratique est illusoire : nous avons tous des modèles et représentations structurées de la réalité. Une théorie est une simplification de la réalité. La PSO n’est ni de la psychologie, ni de la sociologie. Un axiome commun avec la psychologue est qu’on considère l’individu comme un élément de base (alors que le sociologue part du fait social). Pour les psychologues, l’essentiel de ce qui se passe chez les individus est difficile à comprendre : le comportement

renforcements: faire en sorte que la réponse comportementale adoptée soit réitérée  Renforcement positif : Procédure par laquelle la probabilité de fréquence d'apparition d'un comportement tend à augmenter suite à l'ajout d'un stimulus appétitif contingent à la réponse Ex: Ajout d'une récompense, félicitations...  Renforcement négatif : Procédure par laquelle la probabilité de fréquence d'apparition d'un comportement tend à augmenter suite au retrait d'un stimulus aversif contingent à la réponse

s’inspirent, pour l’essentiel, de la lecture de son livre (saisissant et éhontément méconnu !) : « Les dieux post-modernes / Manifeste pour la transparence de la science» aux Edition Complexe 1992. Il y dénonce la captation puis l’annihilation des axiomes de la physique par la théologie protestante qui va lui permettre de récupérer « le monopole du discours sur lé réel » puis il y expose, réunifiant physique et philosophie, un nouveau modèle de compréhension en ligne directe avec la pensée présocratique

manière à matérialiser le gain et se prémunir contre une baisse. Alors qu’après une perte, surtout si elle est conséquente, la tendance est à surinvestir dans des placements risqués, puisqu’il n’y a « plus rien à perdre » de manière à conserver une probabilité de « se refaire ». Ainsi les méthodes d’inspiration financière, prônées par les nouveaux référentiels, se heurtent parfois à la réalité des observations. En effet, ces méthodes ont été élaborées dans des contextes où les instruments que l’on cherche

(la démocratie) est, dans un certain sens, une manifestation de ce souci de spécificité culturelle. Mais si l’on juge par l’évolution des autres pays de l’Asie du Sud Est et du plus important parmi eux, le Japon, on peut s’interroger sur la probabilité de permanence du régime chinois tel qu’il est actuellement. Cela ne veut aucunement dire qu’avec le développement économique, le souci de la spécificité sera oublié ou deviendra obsolète. Après tout, le régime présidentiel américain n’est pas

individu. ARROW ajoute que ces 5 conditions doivent être soumises aux axiomes de complétude et de transitivité, ces deux axiomes signifient que toutes les situations alternatives sont classées selon un ordre : ce qui revoient à postuler la rationalité des individus qui composent la société. Sur ces bases ARROW conclut à la non-existence de ∫ u collective remplissant simultanément les 5 conditions et vérifies les deux axiomes : c’est la théorie d’impossibilité d’ARROW : « si nous écartons la possibilité

par celui-ci d’un type de paramètres décrivant ses croyances et les croyances de son partenaire, oscillant entre deux types de représentation de l’autre soit comme agressif, soit comme pacifique. Le monde des croyances est ainsi défini par une probabilité d’anticipation, autant que sur des anticipations en elles-mêmes. 15. Cependant, si une détermination commune caractérise l’homme religieux et l’homme ludique, à savoir celle de l’anticipation d’un gain immédiat ou ultime, pour soi-même ou pour

humains et pose à la limite problème, dans la mesure où aucun indicateur empirique qui soutiendrait que le comportement humain est rationnel n’a pu être trouvé ; la difficulté majeure provenant essentiellement du fait que la probabilité subjective n’est pas identique à la probabilité objective, représentée, entre autres, par des statistiques actuarielles. Il reste par ailleurs que la perception du risque et de l’incertitude diffère tellement d’un individu à l’autre, qu’aucune conclusion univoque ne peut

avoir multipli´ ces deux quantit´s par e, e e e e Schr¨dinger avait imagin´ qu’il s’agissait d’une densit´ et d’un courant de charge. Nous allons voir un o e e peu plus loin qu’il se trompait : on peut interpr´ter ρ = |ψ(x)|2 comme une densit´ de probabilit´ 6 . Il e e e est d’ailleurs important de noter que la quantification, par exemple des niveaux d’´nergie d’un atome, e provient du fait que l’int´grale de |ψ 2 (x)| soit ´gale 7 ` 1. e e a ∂ρ − → + .j = 0 ∂t 4.3 Le hasard et l’incertitude