Axiomes des probabilités

mesure en m´canique quantique . . . . . . . . e 2 Grandeurs physiques et observables . . . . . . . . . 3 R´sultats possibles d’une mesure . . . . . . . . . . e 4 Fonctions propres de l’´nergie et ´tats stationnaires e e 5 Courant de probabilit´ . . . . . . . . . . . . . . . . e 6 Franchissement de barri`res de potentiel . . . . . . e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 56

Chr. Dejours (psycho-dynamique au travail) - approche du vécu de la souffrance au travail : psychopathologie du travail –  –  Les théories X et Y de Mac Gregor (1960) : sous-exploitation du potentiel réel de l’homme au travail basé sur des axiomes erronés (théorie du X) mis en place dès Taylor. Propose sa théorie du Y. MORENO (1969) et la sociométrie (sociogrammes) : configuration des équipes de travail et influence des liens socio-affectifs sur leur opérationnalité. Psychologie du travail

------------------------------------------------- Mathématiques [modifier] * Axiom : logiciel de calcul algébrique. * GNU Octave : logiciel de calcul numérique. * Gnuplot : traceur de courbes mathématiques. * Maxima : logiciel de calcul formel. * Xcas : logiciel de calcul formel, de géométrie dynamique... * Qalculate : calculette scientifique, très complète. * QuantLib : bibliothèque de mathématiques financières. * R : logiciel de probabilité et statistique. * SAGE : * xLispStat :

s’intéresser aux feedbacks que renvoie le récepteur. Il y a une sorte de réciprocité entre l’émetteur et le récepteur. Communiquer c’est s’intéresser à la manière dont on pense. Phénoménale pensée des communications : a) Les 5 axiomes de la communication selon Paul Watzlawick : (Watzlawick, Paul et Helmick, Janet. (1979). Une logique de la communication. Paris, Le livre de poche) · On ne peut pas ne pas communiquer · Tout comportement est une communication

Pourtant, certaines vérités n’ont pas à se démontrer. C’est le principe de l’évidence. Pour Descartes et Spinoza, ce qui est clair et distinct n’a pas besoin de se démontrer. De plus, une démonstration ne suppose-t-elle pas de l’indémontré, des axiomes ? Si elle doit respecter les règles de la pensée, est-ce qu’elle ne suppose pas des règles qu’elle ne pourra jamais démontrer ? N’y-a-t-il pas toujours des termes premiers qui résistent à la démonstration ? Quand on définit un mot, on le fait toujours

de laquelle toute la mécanique ondulatoire fut réinterprétée en termes de probabilité. Considérons le cas d’une particule dont la fonction d’onde, à un instant donné t, est notée c(r). Ayant une certaine extension spatiale, cette fonction d’onde ne permet pas d’attribuer à la particule quantique une position précise. Lorsqu’on effectue une mesure de sa position, à l’instant t, on pourra seulement définir la probabilité de trouver la particule localisée dans une certaine région de l’espace.

GLOSSAIRE (TERMES ARABES UTILISES DANS CE PAPIER) |Al-Kharaju bi al- | | |:daman et al-ghunmu |Ce sont les deux axiomes de la finance islamique impliquant que le droit| |bi al-ghurm |à un revenu émanant d’un bien est intrinsèquement lié à | | |l’assomption de la perte liée à ce même bien.

façon économique. Il existe trois façons de l’appréhender : • Le risque comme une loterie : la vision la plus simple du risque et de sa réalisation. Soit un choix à faire entre deux options : une peu risquée (forte probabilité d’un gain/perte faible) et une risquée (faible probabilité d’un gain/perte fort). Si l’équivalent certain est le même, l’individu aura un caractère différent selon son choix : (1) option peu risquée : aversion au risque, (2) option risquée : goût du risque, (3) aucun : indécis

système solaire, cela est faux mais a servi à avancer dans la science. La démonstration porte sur les fondements des choses plutôt que sur les choses elles-mêmes. Ce que voudrait une démonstration c’est arriver à une certitude irréductible à toutes probabilités. Au XX, la logique moderne invente les tables de vérités qui établissent des relations entre P et Q. P Vrai Vrai Faux Faux Q Vrai Faux Faux Vrai P et Q Vrai Faux Faux Faux P ou Q Vrai Vrai Faux Vrai P implique Q Vrai Vrai Vrai Faux Cette logique

la grammaire» est ainsi affirmée et en regard du sens (puisqu’il n’y a pas de relation déterministe entre interprétabilité et grammaticalité d’un énoncé), et en regard des modèles probabilistes (puisque les études statistiques (qui évaluent les probabilités d’occurrence d’une séquence dans le discours réel) ne permettent pas de déterminer ni de caractériser l’ensemble des énoncés grammaticaux) – [1, p. 19] Non seulement la notion de phrase grammaticale n’est à confondre ni avec la notion de phrase