Azouz

Azouz Begag Béni ou le paradis privé Novembre 2012 Nicolas Burgunder Biographie de l’auteur Azouz Begag est né à Lyon en 1957. Il est un homme politique, écrivain et chercheur français en économie et en sociologie. Ses parents sont originaires d’Algérie, ex–ouvriers. Azouz Begag est père de deux filles. Bien que né à Lyon en 1957, Azouz Begag fait la demande de la nationalité française en 1987 et l’obtient en 1989. Avec ses parents, il visite l’Algérie à la fin des années

Azouz BEGAG D'origine algérienne, Azouz Begag est né en France dans la banlieue lyonnaise le 5 février 1957. Il passe une partie de son enfance, jusqu’à dix ans à Villeurbanne, à proximité de Lyon dans un bidonville. Entré au collège Saint-Exupéry de la Croix-Rousse en 1967, il déménagera deux ans plus tard, avec sa famille, en HLM à la cité de la Duchère à Lyon. L'enfant Azouz rêve de devenir « président comme Nasser ». Azouz Begag, alors de nationalité algérienne, n'effectue pas son service

Azouz Begag est né à Lyon en 1957 de Messaouda et Bouzid Begag. Ses parents sont originaires d'Algérie, ex-ouvriers agricoles à Sétif et émigrés en France en 1949. En arrivant en France, ils pensent qu’ils y vont rester un an, gagner beaucoup d’argent, et retourner en Algérie dans une Mercedes neuve1. Cependant ils y restent jusqu'à leur mort. Azouz Begag est père de deux filles. Il passe les dix premières années de sa vie à Villeurbanne. Quand il a six ans, il rêve de devenir professeur. Il veut

Dans le livre « le gone du Chaâba » écrit par Azouz Begag, poublié en 1968 il s’agit de la vie du jeune Azouz qui habite dans une bidonville lyonnaise (chaâba). C’est l’autobiographie de l’auteur, qui est le fils des parents algériens qui sont immigré à la France avant de sa naissance. Dans le bidonville, tous les familles vivent ensemble dans une société vraiment solidaire. On s’aide et on se connaît. Azouz a la réputation d’être l’espoir de sa famille comme il est très bon à l’école. Sa famille

ridicule, sensation de contrainte, de malaise (1). La honte est quelque chose qui nous inflige, nous tous, comme humains. C’est un fardeau dont nous sommes tous chargé. Dans le roman Le Gone du Chaâba, écrit par Azouz Begag, l’histoire racontée suit la vie d’un petit garçon français, Azouz, d’origine maghrébin, qui essaie, à la fois, de s’assimiler à la culture française et la culture maghrébine. Coincé entre ces deux mondes, la honte surgit d’un endroit plongé profondément dans son esprit, d’où

Fiche de lecture : Le gone du Chaâba – Azouz Begag Présentation de l’auteur : Azouz Begag est né le 5 février en 1957 à Villeurbanne, à Lyon. Ses parents sont algériens, ils émigrent en France en 1949 et vivent dans un bidonville jusqu’en 1966 puis ils déménagent dans un HLM dans la cité de Duchère à Lyon. Durant son enfance Azouz Begag éprouve des difficultés pour s’intégrer dans la société française et se réfugie auprès de la littérature, dont les oeuvres d’Albert Camus, Romain Gary

Fiche d’identité du livre : Titre du livre : Le gône du Chaâba (Prix Sorcière décerné par les libraires spécialisés dans la littérature de jeunesse et le Prix de la ville de Bobigny) Auteur : Azouz Begag Date de parution : 1986 Editeur : Seuil Collection : Point Paru en poche (Points Virgule) en 2005 Nombre de pages : 243 (pour la version poche) Adaptation au cinéma : par Christophe Ruggia en 1997 Quelques œuvres d'Azouz Begag : Le Gone du Chaâba (1986)  Béni ou le Paradis privé (1989) Voyage

Immigration, mon humour... L’humour comme distance dans l’espace interculturel Azouz BEGAG * L'humour et l'autodérision marquent désormais le style des jeunes issus de l'immigration. En cela, l'humour se révèle un "puissant diluant" de l'immigration dans le mainstream de la société. Effet d'un "télescopage interculturel" maîtrisé, il déplace les frontières, dédramatise les préjugés et crée ainsi un "espace commun d'identification". B ien que l’idée soit séduisante, on ne peut pas

Azoug Begag est un petit garçon de dix ans et d'origine Algérienne. Il vit avec sa mère , son frère et son père dans une cabane vétuste au milieu de dizaines d'autres dans un bidonville de la banlieue de Lyon « Le Chaâba ». La vie est dure, mais Azouz va à l'école primaire comme tous les enfants normaux. Les notes du garçonnet et de ses camarades maghrébins, qui sont aussi ses voisins au bidonville, sont les plus mauvaises de la classe de CM2. Les conditions de travail chez lui ne sont pas idéales

Qualités: - L’auteur nous décrit avec beaucoup de détails les conditions de vie au Chaâba et à Villeurbanne. - Azouz Begag nous donne l’occassion d’apprendre quelques mots bouzidiens et azouziens en écrivant certains dialogues avec ce dialecte. - Les sentiments des personnes sont racontés avec beaucoup de détails ce qui rend le petit Azouz et sa famille encore plus attachants. Défauts : - La première partie de l’autobiographie (c’est-à-dire jusqu’à l’histoire de la viande clandestine au Chaâba)