Azouz

Quand on est mort c'est pour toute la vie Azouz Begag Frontières - Gallimard quand on est mort - Mourad, frère d’Amar, vient de mourir, abbatu par un chauffeur de taxi alors qu’il s’enfuyait sans payer la course. Amar est choqué par cette mort soudaine mais, lors du verdict de la justice, qui déclare un non lieu, sa famille et lui sont encore plus abattus. Amar est écrivain et il habite à Lyon où il étudie les sciences humaines et sociales. Plus les jours passent, plus Amar est triste :

Gervais Le gone du chaâba 1-L’auteur : D'origine algérienne, Azouz Begag est né en France dans la banlieue lyonnaise en 1957. Il possède un Doctorat en économie de l'université Lyon 2 et mène de front trois carrières: romancier, sociologue et politicien. Chercheur au CNRS depuis 1980, il est spécialiste en socio-économie urbaine: son travail porte sur la mobilité des populations immigrées dans les espaces urbains. Azouz Begag a publié une vingtaine de livres dont la plupart ont pour sujet

gone du Chaâba d’Azouz Begag. I) Introduction Quelques lignes sur l’auteur : Le gone du Chaâba a été écrit en 1986 par Azouz Begag. Azouz Begag est né le 5 Février 1957 (56ans) à Lyon. C’est un écrivain mais aussi un homme politique. Ses parents sont originaires d’Algérie. Il est le père de deux filles. Résumé de l’histoire : Azouz est le personnage principal, il a 9 ans quand le roman commence. C’est le fils de Bouzid et de Messaouda. Il a un frère et une sœur : Moustaf

algérien. Il habite au Chaâba, un bidonville à côté de Lyon. Il vit dans une misérable habitation, sans eau ni électricité, à côté d'autres familles arabes. Azouz a un grand frère Moustaf, et une grande sœur Zohra. Même s'il travaille bien à l'école, il est obligé de travailler au marché pour rapporter un peu d'argent à sa famille. A l'école, Azouz se met au premier rang et est attentif à toutes les remarques de son maître. Un jour, lors de la remise d'une composition très importante, il a la deuxième

bidonville sur les rives du Rhône, entre Villeurbanne et Lyon. Azouz est un enfant d'origine algérienne, mais aussi un « gone », c'est-à-dire un gamin de Lyon. Il vit au Chaâba avec sa famille, sa grande sœur Zohra et son grand frère Moustaf. Il y a aussi sa mère, Massaouda, et son père, Bouzid, le maître du Chaâba. C'est lui qui a fait venir d'autres familles d’El-Ouricia, près de Sétif en Algérie, dont celle de son frère Saïd. Azouz vit donc avec ses cousins, son oncle, sa tante Zidouma, épouse

fr/societe/l-explosion-des-sites-de-socialisation-16-12-2007-3291419567.php _ L'insertion sociale. Suzie Guth. L'Harmattan, 1994 - 292 pages. _ Internet, un moyen de lutter contre l’exclusion. http://www.snv.jussieu.fr/inova/publi/ntevh/moyen.htm _ L'intégration. Azouz Begag, Le Cavalier bleu, Paris. Collection Idées reçues, numéro 48. Parution : mars 2003. _ Internet, facteur d'intégration sociale pour les handicapés : Agence France-Presse (SAN FRANCISCO) 08 septembre 2010 http://techno.lapresse.ca/nou

habite au Chaâba, un bidonville[->1] à côté de Lyon[->2]. Il vit dans une misérable habitation, sans eau ni électricité, à côté d'autres familles arabes. Azouz a un grand frère Moustaf, et une grande sœur Zohra. Même s'il travaille bien à l'école, il est obligé de travailler au marché pour rapporter un peu d'argent à sa famille. A l'école[->3], Azouz se met au premier rang et est attentif à toutes les remarques de son maître. Un jour, lors de la remise d'une composition très importante, il a la deuxième

arabes. Il lui a même offert un livre ! Pourtant,...Azouz ne le lit pas. Cet article concerne le roman d'Azouz Begag. Pour le film qui en est adapté, voir Le Gone du Chaâba. Pour les articles homonymes, voir Le Gone du Chaâba. Le Gone du Chaâba est un roman autobiographique d'Azouz Begag édité par Éditions du Seuil, en 1986. 1 2 Lien interne • Le Gone du Chaâba, adaptation cinématographique du roman par Christophe Ruggia (1997). Résumé • Azouz Begag Le roman raconte l'histoire d'Azouz, un jeune

de leurs cultures , est manipulé par des enjeux socio-économiques. En quatrième point, l’auteur met l’accent sur l’impacte de ce métissage entre l’Arabe et le Français sur la littérature. On trouve en premier lieu « La gone du chaaba », œuvre du Azouz Begag, considérée comme la meilleur preuve qui témoigne de ce mélange. Dans cette œuvre on trouve l’utilisation de mots proprement arabes injectés dans le discours,d’un coté. Et d’un autre coté, on remarques des variations au niveau des mots français

Azouz Begag, Le Gone du Chaâba 1.Ce roman est un roman autobiographique d'Azouz Begag qui s'appelle le Gone du Chaâba. Sur la première de couverture, on voit au premier plan un enfant arabe qui porte une tenue tachée, sale et poussiéreuse. Il lit un livre, assis sur des marches blanchies par la poussière ou du plâtre comme sur un chantier. Derrière lui on voit un déchet de cannette. Plus bas on peut lire le nom de l'auteur : Azouz Begag, et le titre du livre : Le gone du Chaâba. En haut à droite