Azouz

pour cantonner leurs écrits à une situation (homme qui a connu la colonisation, désir d’émancipation, dénonciation des traditions, éloge du retour aux sources, etc.). S’il s’agit à l’inverse d’auteurs plus récents comme Leïla Sebbar, Calixte Beyala, Azouz Begag, Fatou Diome, la création de nouvelles étiquettes semble s’imposer sans qu’aucun travail n’y prévale ni ne l’étaie : la double culture, les problèmes d’intégration, le bilinguisme, pour ne citer que ces exemples qui participent, encore une fois

important, de même que l’illettrisme (9 % de la population âgée de 18 à 65 ans). Comme les savoirs de base sont mal maîtrisés, l’information n’atteint pas son but. Les difficultés d’abstraction constituent un handicap majeur pour la lecture de carte. Azouz Begag a bien montré que les représentations spatiales conditionnent les pratiques de déplacement. L’anticipation des novices reste souvent embryonnaire. Salvador Juan, dans son étude intitulée « les sentiers du quotidien », témoigne en général d’un

c’est un message encourageant que nous délivre le présent rapport auquel nous espérons que lui sera réservé, comme à tous les passagers des navires de croisière en escale dans nos ports de métropole et d’outre-mer, le meilleur accueil. Georges AZOUZE Président de l’Association française des compagnies de croisières SOMMAIRE SYNTHÈSE ...........................................................................................................................................................

1892), des sociétés de bienfaisance (ex. "Ezrat Ahim" 1885), l'hôpital israélite et ses dépendances (1930,cf.ci-dessus), des écoles et des oeuvres scolaires, des oeuvres sociales et intellectuelles en plus des huit grandes synagogues (Eliahou Hanabi, Azouz, Zaradel, Green, Sasson, Eliahou Hazan, Castro, Chaareh Tefila). B-La communauté grecque Avant même la communauté juive, la grecque se présente comme la communauté "étrangère" la plus importante d'Alexandrie. De fait, les Grecs alexandrins ou plutôt

elle est aussi grande que notre Chaâba tout entier. Il a une chambre pour lui tout seul, un bureau avec des livres, une armoire pour son linge. Moi, j’ai honte de lui dire où j’habite. C’est pour ça qu’Alain n’est jamais venu au Chaâba.» Tiré de Azouz Begag, Le gone du Chaâba, Editions du Seuil, Paris, 1986, p. 58-59. C’est à cause de ce genre de problèmes que l’école est une des institutions centrales pour le soutien des enfants d’immigrés dans leur intégration dans la société d’accueil. Et c’est

française. Ceux-ci représentent 6,7 % de la population scolaire totale du premier degré et 6,1 % des élèves du second degré (chiffres MEN respectivement pour 1997 et 1996), cette moyenne masquant là encore de fortes disparités territoriales. 9 Cf. Azouz BEGAG, Le Gone du Chaâba, roman, Paris, Seuil, 1986. 10 Le port du voile ne signifie l'appartenance ethno-religieuse dans le respect des traditions que lorsque le point de référence de la conduite demeure, volontairement ou non, le groupe d'origine

plagié, m’avait couvert de honte devant toute la classe en me criant : Et en plus, vous mentez ! je vous avais mis sur vingt pour le papier et l’encre, mais je mets Zéro. C’est ce que vous méritez. Azouz Bégag, la Gône du Chaaba, coll. Point Virgule, Ed du Seuil, 1986. Réponse : Le personnage ressent une impression d’injustice. On l’accuse d’avoir recopié le texte d’un auteur ( «  vous êtes

2) Par le soutien scolaire : "ADOS est une petite association de quartier créée en 1985 à l’initiative d’un retraité de l’enseignement. C’est un quartier difficile, la Place du Pont dans le 3ème arrondissement de Lyon, appelé 'la Médina' par Azouz Begag. Nos buts sont le dialogue et l’orientation scolaire. Le dialogue entre jeunes et adultes se fait par le soutien scolaire. Peu à peu, nous avons touché des décrocheurs et des exclus temporaires et définitifs de l’école. Nous avons dû nous adapter

direction Naget Khadda,1ère de couverture Mohammed Khadda, Alger, OPU (Office des publications universitaires), 1987, 264 p. - Pleins feux sur Kateb Yacine, Actualité de l’immigration n° 72, Paris, 14 janvier 1987, 128 p. Textes de Merzak Bagtache, Azouz Begag, Tahar Bekri, Farida Belghoul, Mourad Bourboune, Tahar Djaout, Abdelkader Djeghloul, Abdelkader Djemaï, Ahmed Kalouaz, Nacer Kettane, Abdellatif Laabi, Mostefa Lacheraf, Mehdi Lallaoui, Rachid MimouniI, Mustapha Raïth, Tayeb Sbouaï, Leïla

mécanique ou praticiens des petits boulots informels du bas des immeubles. Sur le bord du trottoir, des sacs de pomme de terre sont posés dans l'herbe, au croisement qui mène vers le taxiphone, la mosquée et le café des hommes. Comme chaque jour, Monsieur Azouz attend le chaland qui lui achètera ses patates. Deux bâtiments plus loin, Monsieur Saada, les mains et la figure noire de cambouis, démonte un carburateur sur un trottoir, ou remet en état de marche le moteur de la voiture d'un voisin sur le parking