Babel

marginal, en tant que le rêve parisien serait une conséquence de la première réalité. On peut lire un exemple de cette idée dans le poème “Rêve parisien”, où Baudelaire parle d’un merveilleux monde rêvé une nuit, que substituerait le Paris réel (« Babel d’escaliers et d’arcades, / C’était un palais infini, / Plein de bassins et de cascades / Tombant dans l’or mat ou bruni ; […] En rouvrant mes yeux pleins de flamme / J’ai vu l’horreur de mon taudis, / Et senti, rentrant dans mon âme, / La pointe des

animalisation, chosification de l’horloge Apostrophes, pts d’exclamations = expressivité agressivité du tps qui ronge l’hô : parasite, ogre, vampire Remember, Esto memor (« je me souviens de cela » en latin) : langage du temps universel = langage d’avant Babel qui concerne ts les hôs qui ne peuvent fuir Horloge s’adresse à ts et à chacun par « tu » et « nous » : « j’ai pompé ta vie », « souviens-toi », « nous menace ». Interlocuteur est à la x singulier et pluriel : le poète, le lecteur, tous les hommes

la Bibliothèque de Valenciennes, outre son trésor roman (du folio 141 verso), abrite aussi le Rithmus Teutonicus, l’un des premiers monuments de la langue germanique. Il s’agirait donc d’un talent de multilinguisme sur fond de latin: une tour de Babel où tout le monde s’entend, sous la coupe de Dieu. Pour chanter ce Dieu plurilingue, il fallait une porte-parole dont la virginité soit exemplaire et l’exemple vierge : la sainteté d’Eulalie a trois ans quand elle inspire la cantilène. Eulalie

Quotidien d' hommes qui ne se considèrent finalement même plus en tant que tel. On apprend alors la vie du Lager, que l'auteur qualifie de « monstrueuse machine à fabriquer des bêtes » de l'intérieur. Les prisonniers « évoluent dans une sorte de Babel permanente » : Italiens, Français, Polonais, Hollandais. Tous parlent une langue autre que l'Allemand, qu'ils vont pourtant se trouver forcé d'apprendre. Et tous vont devoir se plier aux lois inhumaines des nazis, avec la seule volonté de survivre

comparaison avec l'eau, et illustré par un tableau de Monet. "Hélas! Qu'est ce que l'homme orgueilleux et mutin?" de Jean Auvray, lui aussi choisi pour sa comparaison la avec une fleur, imagé grace a un tableau de Jean Prieur représentant la tour de Babel. Ensuite Evariste de Parny, Gérard de Nerval et Alphonse de Lamartine nous invitent à profiter pleinement de la vie et de ses plaisirs, avec les poèmes: "A mes amis", "Le ballet de heures" et "Le Lac". Le texte de Lamartine est illustré par une huile

naturalmente, lo que de verdad importa es la historia, el contenido, las palabras son las mismas, qué importa que estén esculpidas en piedra, madera, arcilla, papiro, pergamino, papel o energía... ¿No te parece magnífico? Andreu Carranza, Imprenta Babel, 2009 1 2 5 10 15 20 25 30 35 40 45 Encauzar una propuesta : amener une proposition. Un desafío : un défi. 3 Rumiar = reflexionar. 4 Quien da primero da dos veces : celle qui agit la première est deux fois plus efficace

porte… Sources : Guillaume Erner, Victimes de la mode? Comment on la crée, pourquoi on la suit, La Découverte, 2004. Marie-Pierre Lannalongue, La mode racontée à ceux qui la portent, Hachette, 2003. Naomi Klein, No Logo : la tyrannie des marques, Babel, Poche, 2003. René Konig, Sociologie de la mode, Payot,1969. gu

____________________________________________________________ __________ Les Hommes tentent d'être des Dieux par rapport au savoir, ils essaient d'être omniscients (découvrir la totalité des mystères), récits de tentatives de devenir des Dieux dans la Bible (La Tour de Babel, Le Mythe de l'Androgyne). -quête du savoir (recherche de l'omniscience) -quête de l'immortalité (physique, recherche de laisser sa trace dans l'Histoire) Dans tous les mythes, on nous raconte, comment l'Humanité a failli accéder au stade de divinité

sommeil est plein de miracles ! Par un caprice singulier, J'avais banni de ces spectacles Le végétal irrégulier, Et, peintre fier de mon génie, Je savourais dans mon tableau L'enivrante monotonie Du métal, du marbre et de l'eau. Babel d'escaliers et d'arcades, C'était un palais infini, Plein de bassins et de cascades Tombant dans l'or mat ou bruni ; Et des cataractes pesantes, Comme des rideaux de cristal, Se suspendaient, éblouissantes, A des murailles de métal.

 multipliaient les paliers ; les ponts de fer, jetés sur le vide, filaient droit,très haut ; et tout ce fer mettait là, sous la lumière blanche des vitrages, unearchitecture légère, une dentelle compliquée où passait le jour, la réalisation moderne d’un palais du rêve, d’une Babel entassant des étages, élargissantdes salles, ouvrant des échappées sur d’autres étages et d’autres salles,à l’infini. »( chapitre 9 ) Il veut séduire la clientèle, il donne à son personnel les règles suivantes : « Le client ne dépend pas de nous,