Bacchantes

suit. Mais Orphée leur désobéit, et se retourne peu avant sa sortie dans le monde des vivants : il perd ainsi sa femme Eurydice pour toujours, et continue de chanter son chagrin avec sa lyre. Il meurt quelques années plus tard, déchiqueté par des Bacchantes, des femmes adeptes du culte de Bacchus/Dionysos, pour les avoir délaissées. Beaucoup de poètes se sont inspirés du mythe d'Orphée : connaissez-le bien! 

persuade les divinités infernales. Condition pour qu’Eurydice le suive sur terre : il marchera premier et ne devra pas se retourner. Il se retourne et la perd pour la seconde fois. * Orphée charme la terre entière par ses chants. Mais les bacchantes, dans leur furie, le frappent er le lapident. Elles finissent par le tuer. * Orphée retrouve alors Eurydice aux Enfers. 23. La statue de Pygmalion * Pygmalion, sculpteur, a fait le vœu de ne pas se marier, car il trouve les femmes

par leurs aînés, à les tuer ou à se suicider, n'ont toujours pas été percées. ____________________________________________________________ _____________________ “Les bacchantes” (-405) Tragédie Pour l’hostilité dont il a témoigné envers le culte de Dionysos, Penthée, roi de Thèbes, est mis en pièces par les bacchantes, femmes du cortège du dieu. Commentaire Animée par le mépris de la religion olympienne au bénéfice de la religion dionysiaque, l’oeuvre traduit un authentique mysticisme

Fort Hood, au Texas (où il lui sera essentiellement demandé d’écrire des brochures) lui laisse le temps d’écrire de petites histoires, des poésies, ainsi que l’article qui, accepté par Corrigan, deviendra sa première publication dans TDR : « Les Bacchantes : une cité sacrifiée à un dieu jaloux » . Un texte de Schechner qui nous apporte d’ailleurs une forme d’éclairage théorique sur le travail qu’il effectuera 8 ans plus tard sur le plateau en montant « Dionysus in 69 », l’un des spectacles phares

femmes des Cicones, prises de délire, l’aperçoivent. L’une d’elles s’écrie «  le voilà ! Le voilà celui qui nous méprise ! ». Elle essaye alors de frapper Orphée grâce à son Thyrse (bâton surmonté d’une pomme de pin, attribut rituel de Bacchus et des Bacchantes). Une autre furie s’arme d’un caillou qui sera détourné par le chant d’Orphée. La fureur des femmes de Thrace grandit. Le chant d’Orphée aurait pu adoucir leur colère mais elles provoquent alors un horrible vacarme qui étouffera son chant et alors

acteur, les intermèdes musicaux du chœur permettaient d’éviter du vide dans la pièce. Le chœur mêlait donc explications au public et illustration de la pièce. Plus tard, le chœur va devenir la clé de voûte des tragédies athéniennes, comme dans Les Bacchantes d’Euripide. Eschyle, grand tragédien grec est celui à qui l’on doit l’inclusion d’un deuxième acteur dans les pièces de théâtre. À partir de ce moment, les choreutes ont été réduits au nombre de douze. Cependant, le chœur garde un rôle principal

« fascination-angoisse ». Ces deux tribus sont des « visions de modèles féminins transgressant l’ordre masculin » 3, comme le dit le spécialiste des représentation picturales antiques, François Lissarrague. Alors, gare à vous, messieurs ! Les Ménades, ou Bacchantes chez les Romains, sont les servantes et accompagnatrices de Dionysos. Elles sont caractérisées par leurs mouvements de danse et leur aspect sauvage. Elles apparaissent en transe au sein du cortège du dieu, tourbillonnant sous l’effet de la musique

l’élément purificateur à protéger des mauvais esprits ; et la farandole, par ses mouvements ondulatoires, imite les méandres du labyrinthe où vivait le Minotaure. Mais la figure tutélaire de la danse est sans conteste Dionysos, dieu de l’ivresse. Les Bacchantes, hommes et femmes initiés au culte de Dionysos, se livraient la nuit à des danses mystiques et extatiques, dans des lieux divers, souvent dans les montagnes ou dans les forêts. Ils poussent des cris, agitent leurs cheveux hérissés, brandissent des

dieu de la poésie. Etymologie de tragédie : tragan et odé qui signifie le chant du bouc. Cela se rapporte aux satyres qui suivaient Dionysos. Ce ne sont ni des hommes, ni des boucs. Dionysos est accompagné également par des Ménades (grec) ou des Bacchantes (latin) qui sont des femmes frivoles qui ont tué Orphée. Histoire de Dionysos et Ariane Ariane est la fille de Minos et c’est elle qui a aidé Thésée à sortir du labyrinthe. Deux versions existent après. Soit Thésée abandonne Ariane, car il veut

Madone ». La cellulite qui s’affiche sur le haut de ses cuisses plaide pour la naissance du réalisme, Delacroix parle même de « daguerréotype en sculpture ».Paradoxalement, l’avancée dans le siècle met fin à la progression du « document humain », la « Bacchante » et « l’Hébé endormie » ( dont l’aigle de Jupiter plait à l’empire qui en commande un marbre en 1868 de Carrier-Belleuse, «  Eve après le péché » de 1869 de Delaplanche, ou encore « Jeune tarantine » d’Alexandre Schoenewerk, d’après le poème d’André