Bagne de Toulon

 » (12)  « rogner » n'est pas attesté par les dictionnaires d'argot, mais Hugo le souligne comme tel et l'effet produit sur le condamné est intense : «Je ne puis dire ce qui se passait en moi. J'étais leur camarade en effet. La Grève est la sour de Toulon » (13) Les phases d'introduction de l'argot correspondent aux chapitres V, XVI et XXIII. Pour des raisons de durée de la communication,  je ne parlerai que du « lirlonfa » du chapitre XVI et de son double manuscrit à la fin du roman. Néanmoins, il

la visite des médecins, la visite des geôliers ; après la visite des geôliers, le ferrage.Trois actes à ce spectacle. 24)-Ils chantaient une chanson du bagne…sur un air tantôt plaintif, tantôt furieux et gai. 25) Un profond sentiment de pitié me remuait jusqu’aux en trailles, et leurs rires me faisaient pleurer. 26)-La Grève est sœur de Toulon. 27)-J’étais demeuré à la fenêtre, immobile, perclus ; paralysé. 28)-Quand je vis les cinq cordons (les galériens) de ruer vers moi avec des paroles d’une

A. LE PROCES D’UNE INJUSTICE (cf. chapitres VI-VII) I. De la naissance au bagne portrait de la misère sociale 1. Le narrateur montre l’inexistence sociale et affective, par diverse procédés, tout d’abord par des précisions, où en jouant sur les valeurs des temps et les ellipses temporel. Victor Hugo, joue sur les précisions, en n’en donnant soit trop soit pas assez de manière à montrer l’inexistence sociale et ce manque affectif. Il nous donne également de nombreuses précisions Tout

Oxymore 15. ‐Il entrait dans la cour en faisant la roue sur lui‐même avec l’agilité d’un serpent. Comparaison 16. ‐Ils chantaient une chanson du bagne…sur un air tantôt plaintif, tantôt furieux et gai. Antithèse 17. ‐Un profond sentiment de pitié me remuait jusqu’aux entrailles, et leurs rires me faisaient pleurer. Hyperbole 18. ‐La Grève est sœur de Toulon. Métaphore 19. ‐J’étais demeuré à la fenêtre, immobile, perclus ; paralysé. Gradation 20. ‐Quand je vis les cinq cordons (les galériens)

Goriot les soucis de sa fille ce qui le rend très triste. Rastignac prend gout aux soirées mais n’y gagne plus d’argent. Au jardin M. Poirer et Mlle Michonneau rencontre un policier qui leur apprend que Mr Vautrin est un forçat qui s'est évadé du bagne de Toulon. Celui-ci tue Victorine et se fait arrêté. Le Père Goriot, qui croyait pouvoir quitter la pension avec Rastignac pour vivre auprès de sa fille Delphine, car celui-ci a loué un appartement pour sa fille et Rastignac, ainsi qu’une chambre de bonne

Goriot, Vautrin. Alexandre Dumas dans le Comte de Monte-Cristo, nous raconte la vengeance d’Edmond Dantès victime d’un complot. Victor Hugo, auteur connu pour son roman les Misérables, nous narre le chemin de Jean Valjean, après son évasion du bagne de Toulon. Et enfin, Pierre Souvestre et Marcel Allain sont à l’origine de Fantômas, un être impossible à attraper. Les procédés littéraires qui montrent la toute-puissance des personnages sont-ils les mêmes dans tous les textes ? Développement :

cour de la prison : le départ des forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet évènement comme un vrai spectacle en trois actes : la visite médicale, le visite des geôliers et le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain réservé à ces condamnés. A la fin du spectacle, il tombe évanoui. CHAPITRE14 Quand il revient à lui, il se trouve dans l’infirmerie. D’une fenêtre, il peut observer les forçats partir tristement sous la pluie au bagne de Toulon. Il préfère plutôt la mort que les travaux

finit par accepter ses choix et la réalité de la vraie vie parisienne à la fin du livre. Vautrin- mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un ancient commerçant. En réalité, il est un forçat qui s'est évadé du bagne de Toulon. Il veut utiliser Rastigniac pour gagner beaucoup d'argent. Il veut tuer le frère de Victorine Taillefer, pour en avoir une partie de sa fortune. Sa tatouage le trahit et il est identifié. Il finit par se faire arrêter par la police. Madame Vauquer-

mais il est possible qu'il mentionne ça parce qu'il le pense et il tient à souligner l'ironie de la situation elle-même. Au chapitre XIII le condamné se rappelle d’un événement particulier qui a lieu dans la prison : le départ des forçats au bagne de Toulon. Il mentionne le traitement inhumain réservé à ces condamnés, bien qu’il nous rapporte cet événement comme un vrai spectacle, une fête ; Malgré ces adjectifs utilisés pour décrire la situation «odieux », « des âmes en peine » « l'enfer », a la

ferme toute les portes, il décide donc de dormir sur un banc de pierres, mais une femme lui dit d'aller frapper a la porte de l’évêque. Chapitre 3 Jean Valjean alla dans la maison de l’évêque et fut bien accueillit. Il se présentât ( 19 ans de bagne il a 46 ans) . Après souper, Jean partit dans sa chambre et s'endormit sans même prendre le temps de se déshabiller. Chapitre 4 (le narrateur raconte la vie de Jean Valjean) Il est issu d'une pauvre famille de paysans de la Brie. Il fut émondeur