Baigneuse Du Clair Au Sombre

débonnaire, vu la facilité avec laquelle Monet trouve des acquéreurs. Il réussit à les vendre dix ou même vingt francs pièce. Il utilise le crayon et le fusain, retouche ses croquis, les affine de rehauts, qui préludent de sa technique de pastelliste. La baigneuse au chapeau et L'homme au grand nez sont présents dans le cahier d'esquisses de 1857. A 18 ans l'artiste a la chance de rencontrer Eugène Boudin qui deviendra son maître et l'initiera à la peinture de paysages en plein air. Le père de Monet

moderne Cubisme Picasso : des formes inédites Le cubisme est un mouvement qui naît avec le tableau de Pablo Picasso « Les Demoiselles d’Avignon » (New York, MOMA), terminé en 1907. En cherchant à résoudre le problème du clair-obscur, Picasso remplace les zones d’ombres par des grandes lignes parallèles. Ces innovations, qui allaient à l’encontre de toutes les conventions académiques du XXe siècle naissant, ont ému de nombreux contemporains du peintre. Durant l’hiver 1907-1908, Braque, qui avait

utilisant les dénominations suivantes : « une femme », « ma baigneuse », « la belle baigneuse », « une servante du diable » et « ma gitana ». L’effet produit est complexe : tantôt l’utilisation des déterminants possessifs traduit l’affection du narrateur pour Carmen, et tantôt le déterminant indéfini marque nettement la distance qui le sépare d’elle. Par ailleurs, les périphrases discrètement érotiques (« ma baigneuse », « ma belle baigneuse », renvoyant à la nudité fantasmée de Carmen) voisinent avec

exacerbent l'émotion. Les tableaux présentent des accords colorés violents et  des tons salis, le noir et le rouge dominent. Les coups de pinceau laissent des traces vigoureusement empâtées et rugueuses. Ernst Ludwig KIRCHNER 1909-1910 "Quatre baigneuses"   Un grand maître: Pablo Picasso (1881-1973) fut l'un des premiers (tout comme Henri Matisse) à 'intéresser aux masques africains qui firent leur apparition en Europe avec la colonisation. Les demoiselles d'Avignon furent une des premières

mauvais sujets, mais de bons et de mauvais poëtes. D'ailleurs, tout est sujet ; tout relève de l'art ; tout a droit de cité en poésie. Ne nous enquérons donc pas du motif qui vous a fait prendre ce sujet, triste ou gai, horrible ou gracieux, éclatant ou sombre, étrange ou simple, plutôt que cet autre. Examinons comment vous avez travaillé, non sur quoi et pourquoi. Hors de là, la critique n'a pas de raison à demander, le poëte pas de compte à rendre. L'art n'a que faire des lisières, des menottes, des bâillons

orient = très érotique à l’époque! Lassif => on fait un lien vers l’érotisme! ! *Portrait de mademoiselle Rivière*! Problèmes de proportions en général (de vertèbres) volontaires! Rivière dans le paysage => écho avec le personnage! ! *Baigneuse*! Servira d’aboutissement pour le harem! Pinçon! de dos => d’habitude un nu académique est de face! Dos trop long (3 vertèbres de plus)! Violon d’Ingre = expression pour signifier une passion (il était musicien, violoniste à la base)! !

coule à flot, le critère sera: prendre soin de sa personne, se consacrer du temps et de l'énergie et de l'argent. 21: article de journal: les maigres ne pourront plus défiler à Madrid – vraiment différent d'avant 21 bis: comparaison pub Roc et les baigneuses de Courbet => les canons de beauté varient en fonction des croyances et des valeurs d'une époque, ils sont donc complètement relatifs 22 et 23: une femme a décidé de reprendre chaque partie « belles » d'une femme représentées sur 5 tableaux mythologique

piège» (BF, 66). Et de fait, le chasseur a la satisfaction d'avoir «trouvé [s]on bien» (BF, 67). Mais qui a vraiment chassé l'autre, qui a pris l'autre au piège, dans cette maison de Mona réaménagée «pour des chasseurs de sangliers» (BF, 62)? Il est clair que c'est Grange qui a été «captiv[é]» (BF, 54) par ce manège: tel est pris qui croyait prendre. Mona l'avait repéré depuis longtemps; c'est elle qui prend son bras et qui l'agrippe (BF, 59); elle reconnaît l'avoir «séduit» (BF, 67), pour l'attirer

Dieu. Il fallut la clairvoyance du jeune Daniel, « pur du sang de cette femme », pour mettre en défaut les deux vieillards et sauver l’honneur de Suzanne (Daniel, XII). Saisi à l’abri d’espaces clos ou de niches verdoyantes, le personnage de la baigneuse a eu tôt fait d’éveiller la rêverie poétique ou plastique, dont les variations traversent les temps, épousant leur sensibilité. Le regard qui surprend la femme au bain s’empare d’une beauté tenue cachée, se repaît d’une nudité innocente parce que

espagnole lui fournit sa source d'inspiration. Au salon de 1865, son Olympia fait scandale car il met en scène une courtisane. Dans le déjeuner sur l'herbe, ou Le fifre, il traite les plans presque en à plat et fait contraster violemment teintes claires et sombres. Claude Monet (1840-1929) se fait installer un petit atelier flottant sur un bateau, afin de saisir au mieux les aspects changeants d'un paysage de bords de fleuve. Le peintre veut que son sujet soit non seulement ébauché, mais achevé sur