Bail Commercial Arret

civil) Obligation d’information et bonne foi. Les trois vices du consentement : 1. Dol (tromperie ; réticence dolosive ou manœuvres dolosives) 2. Erreur (sur les qualités substantielles, la personne…). 3. Violence (morale, physique, voire économique, arrêt Larousse Bordas, Cass. 1ère civ., 3 avril 2002) Introduction : Rappel de droit commun des contrats Créance Débiteur Créancier   Obligation Obligation de faire (de moyens ou de résultat) Obligation de ne pas faire (de résultat) Obligation de donner

s’arrêtent pas là. Le propriétaire de l’immeuble dans lequel la société exerce son activité depuis 9 ans vient de lui notifier son intention de ne pas renouveler le bail commercial. 5. M Martel peut-il infléchir la position du bailleur ? Dispose-t-il d’un recours à son encontre ? 6. Plus généralement la réglementation du bail commercial protège t’elle davantage le bailleur ou le locataire ? Leur société ayant 9 ans d’existence, M Martel et ses 4 associés songent à transformer la SNC en SARL.

BAIL COMMERCIAL DATE :……….., A (département), , au siège de l’Office Notarial, ci-après nommé, Maître , Notaire Associé de la Société Civile Professionnelle , Notaires Associés",titulaire d’un Office Notarial à, A reçu le présent acte contenant BAIL COMMERCIAL, A LA REQUETE DE : - "BAILLEUR" – , dont le siège est à , identifiée au SIREN sous le numéro et immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de La société est représentée par - "PRENEUR" – PRESENCE – REPRESENTATION Si plusieurs personnes

------------------------------------------------- L’ENTREPRISE COMMERCIALE ● L’entreprise = ∑ de moyens matériels et humains mises au service d’une activité de production de biens ou de services. Ces moyens matériels sont constitués de tous les biens qui sont affectés à l’exercice de l’activité de l’entreprise pour constituer un fonds. Sera étudié le fonds de commerce mais il existe d’autres fonds : le fonds artisanal, le fonds agricole, le fonds libéral celui exploité par un pro libéral.

COURS DE DROIT COMMERCIAL 15 février 2013 Séance du vendredi 15/02/2013 Introduction Théorie générale du droit commercial. Le droit commercial est une branche du droit privé. C’est le droit des commerçants et des actes de commerces. Le commerce visé par ce droit concerne : - les activités commerciales proprement dite ( ex : distribution, achats, reventes), les activités de la production industrielle (ex : manufacture), diverses activités de services (ex : banque, assurance) Par

une valeur supérieure à 1 500 € doit être passé par écrit, le Droit commercial, lui, affirme le principe de la liberté de la preuve. C'est à dire, un contrat peut être prouvé par tout moyen. Un autre exemple est celui de la solidarité : en Droit civil elle ne peut, entre les débiteur d’une même dette, résulter que d’une stipulation expresse ; a défaut la dette est conjointe ce qui signifie qu’elle se divise. En Droit commercial, la solidarité entre les codébiteurs est présumée. Un troisième exemple

attributions, des compétences donc, on ne pourrait dès lors pas parlé de liberté. (La liberté contractuelle serait " simplement reconnue ; sa fin ne lui [serait] pas assignée ; son contenu, son objet, ses modalités sont en principe subjectivement arrêtés et, par exception seulement, objectivement imposés."). Donc, il n'y aurait pas de liberté originaire et, les personnes publiques ne pourraient faire non pas ce qu'elles veulent faire mais ce que les textes leurs permettraient de faire. Ainsi par

l'héritière du droit des faillites ou droit des procédures collectives. Au départ, c'était un droit du paiement cad un droit sanctionnateur. Aujourd'hui c'est un droit de l'entreprise en difficulté. Le droit des faillites a tjs existé en droit commercial français (ordonnance de Colbert). On a opposé au début le dt des faillites applicables aux commerçants et la déconfiture civile applicable aux non commerçants. La faillite = procédé organisé de règlements des dettes. Le commerçant est soumis

y a transfert, livraison et paiement en même temps. La sûreté sera une nécessité lorsqu'il y a paiement à terme : par exemple un contrat de vente qui offre à l'acquéreur des délais de paiement ou bien un contrat à exécutions successives tel que le bail donnant lieu à des paiements de manière périodique ou encore un contrat tout à fait classique comme le contrat de prêt. L'emprunteur aura à rembourser à un moment donné. C'est précisément parce qu'il y a termes qu'il y a besoin de se rassurer. Cet

contrat pour lui appliquer le régime réellement applicable et la Chambre commercial de la Cour de cassation dans un arrêt du 14 mai 1985 précise qu’ « Il appartient au juge de donner ou restituer son exacte qualification à un acte sans s’arrêter à la dénomination que les parties en auraient proposée ». Ainsi, le contenu du contrat prime sur le titre donné par les parties et même sur le titre professionnel d’une partie (Chambre commercial 2 février 1999). Le juge va surtout s’attacher à l’économie du