Baïonnette

une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin

les mêmes dégâts humain dans les 2 camps. Les soldats sont assimilés à des figurines comme si tout cela n’était qu’un jeu 2 euphémismes : l.6 « la mousqueterie ôta » l.7 « la baïonnette fut la raison… » -déresponsabilisation humaine l.4 «  les canons renversèrent » +personnification l.7 « la baïonnette » + personnification la mousqueterie = corps d’armée (mousquet = fusil) anonymat 3/Un enthousiasme ironique pour mieux critiquer l’optimisme béat : On peut repérer dans cet

pour tenter de prendre celle de leurs adversaires. Les assauts sont meurtriers : balles des mitrailleuses, obus,… Quand les soldats se font face, il y a un combat au corps à corps avec les baïonnettes. 4° Docs 2, 3, 4 et 7 : relevez l’armement utilisé durant la bataille. Obus tirés par les canons, fusil à baïonnette, grenades, mitrailleuses, gaz asphyxiants… Relevez les éléments montrant l’atrocité des combats. Ce sont des armements qui permettent une violence de masse : Doc. 2 : « 80 000 obus en quelques

|Le peuple se précipita dans l’escalier en secouant à flots vertigineux | | |Métaphore développée à travers plusieurs expressions d’un |des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des| | |texte. |épaules si impétueusement que des gens disparaissaient dans cette masse| | |

mieux. Jacques n'était pas de cet avis. « Il faut bien, disait-il, que les hommes aient un peu corrompu la nature, car ils ne sont point nés loups, et ils sont devenus loups. Dieu ne leur a donné ni canons de vingt-quatre, ni baïonnettes ; et ils se sont fait des baïonnettes et des canons pour se détruire. Je pourrais mettre en ligne de compte les banqueroutes, et la justice qui s'empare des biens des banqueroutiers pour en frustrer les créanciers. — Tout cela était indispensable, répliquait le docteur

absolument dans la position qu'ils occupaient lorsque la mort les a frappés. Tout le monde a entendu parler de la tranchée des baïonnettes, près de Verdun; on l'appelle ainsi parce que les hommes de garde y sont morts en un clin d'œil, tous debout et baïonnette au canon, si bien que quand les terres de la hauteur voisine se furent éboulées, comblant les galeries, les baïonnettes continuaient à s'élever verticalement au-dessus du sol ». Après une visite faite dans une localité où s'était engagée une lutte

Schema RETRO1 -Reseaux de barbeles Piquets en bois bruyant a placer( il faut les enfoncer a la masse) pour les couper, les premieres vagues d'assaut etaient pourvues de baionnette a dents de scies Outil vu par l'ennemi comme des instruments de "torture" Piquets tire bouchon Schema Se place sans aucun bruit Pieges divers faux passage

spectacle du combat Vient ensuite la description du combat où l'on constate que les acteurs de la guerre ne sont pas les soldats, mais les armes, puisque les sujets des verbes d'action sont : « les canons », « la mousqueterie », et les « baïonnettes ». Ensuite, on peut dire que Voltaire énonce, comme une addition les conséquences des combats en minorant la cruauté : présence d'euphémismes des lignes 2, 3 et 4. On note également le fait que le nombre de victimes est systématiquement approximatif

sacrifice entraîne la rédemption. Par quels procédés Goya dévalorise-t-il les soldats ? Beaucoup sont de dos car la répression est aveugle et les soldats agissent avec lâcheté, ce qui est renforcé par le fait qu'ils tirent à bout-portant, avec des baïonnettes, pour achever les victimes. Pour cette partie du tableau, le sombre domine. Ce tableau est une œuvre universelle et intemporelle qui exprime la résistance d'une population civile à toute forme d'oppression. Il a été repris par Picasso (Massacre

2) Le spectacle du combat Vient ensuite la description du combat où l’on constate que les acteurs de la guerre ne sont pas les soldats, mais les armes, puisque les sujets des verbes d’action sont : « les canons », « la mousqueterie », et les « baïonnettes ». Ensuite, on peut dire que Voltaire énonce, comme une addition les conséquences des combats en minorant la cruauté : présence d’euphémismes des lignes 2, 3 et 4. On note également le fait que le nombre de victimes est systématiquement approximatif