Baïonnette

enfants ! Ecoutez donc quelle journée exaltante j’ai passée !» Quand ils se furent tous installés, la femme raconta : « Tout commença ce matin. Le peuple attaqua le Palais des Tuileries pour défendre la démocratie ; j’en faisais partie. Armés de baïonnettes, de fusils, de sabres et de casques, nous avancions ensembles vers la victoire. C’était très impressionnant de tous marcher côte à côte, j’avais l’impression que rien ne pouvait nous arrêter, je me sentais forte et courageuse. Mais lorsque

Ensuite le narrateur raconte en détail ce que pouvait faire comme catastrophe les canons, la mousqueterie et les baïonnettes et dit à chaque fois le nombre environ d’hommes qui pouvait être mort (l.4 à 8). Le narrateur dans cette phrase dit a quelque mort prêt, le nombre de soldat qui était mort pendant cette bataille (l.8 à 9)

une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque.    Enfin

uniformisées et floues s’opposent au profil clair de la jeune fille à droite ; à gauche des hommes anonymes sont esclaves d’un pouvoir, à droite une jeune fille prend le pouvoir ; à gauche l’attitude est agressive, les poings serrés sur les fusils, les baïonnettes en avant ; à droite on voit un geste d’offrande, offrande de la vie et pourquoi pas de l’amour. C’est la paix contre la guerre, la non-violence contre la violence. Certains prétendent que la non-violence n’est pas évangélique, pas moi. Ici c’est

pilonnages d’artillerie, les assauts (commis ou subis) avec baïonnettes et grenades sont très meurtriers a cause des tirs de barrage effectués a la mitrailleuse par l’ennemi. Les assauts sont dites inefficaces car les tranches protègent les soldats de toute attaques. La guerre dans les tranchées amène à une modernisation de l’armement et des techniques de combat, le tir à distance laisse place au corps à corps, le fusil est remplacé par la baïonnette, la grenade à main ou la pelle à défaut d'autre chose

vérifions nous-mêmes les baïonnettes. En effet, il y en a dont le côté non coupant forme une scie. Lorsque les gens d'en face attrapent quelqu'un qui est armé d'une baïonnette de ce genre, il est massacré impitoyablement. Dans le secteur voisin, on a retrouvé de nos camarades dont le nez avait été coupé et dont les yeux avaient été crevés avec ces baïonnettes à scie. Puis on leur avait rempli de sciure la bouche et le nez et on les avait ainsi étouffés [...]. À vrai dire, la baïonnette a perdu de son importance

symbole de la non-violence. IV. La Description C’est un plan rapproche taille, pour mettre l’accent sur l’expression de la jeune fille qui semble sereine, calme alors qu’elle se trouve face à une rangée de soldats casqués, pointant leurs fusils à baïonnette. La prise de vue est de profil pour mettre en avant le contraste entre la jeune fille et les soldats. La photographie est divisée en deux parties : à droite la jeune fille et à gauche les soldats. La division incarne la différence entre le bien

peu de repos. Chaque ligne était reliée aux autres par des boyaux également creusés dans le sol, parfois aménagés en chicane pour être mieux défendus. Le soldat qui veille a une baïonnette car le plus souvent des ennemis tente de pénétrer les tranchées ennemis pour surprendre sont adversaires et donc la baïonnette servait à attaquer au combat rapproché. 3-Les conditions de vie des soldats dans les tranchées était très difficile, c’était un choc et un traumatisme profond à cause de la boue,

mousqueterie, baïonnette) ne prennent qu’une petite place comparé à celle que prennent les instruments de musique … Il décrit la guerre comme une oeuvre d’art qui nous fait sentir des émotions auditives et visuelles. Le registre nous rappel à l’épique par le vocabulaire du combat… De plus, les armes et les soldats sont les deux utilisés comme sujets, donc il y a une déshumanisation des hommes « les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté» ; « la baïonnette fut aussi la

se monter à une trentaine de mille âmes ». Elle tient encore à l’emploi du singulier « la mousqueterie » (qui désigne le titre des mousquets), et de la « baïonnette » pour les baïonnettes (synecdoque du nombre) et de la synecdoque idéalisante « âmes » pour « individus » qui créent un effet déréalisant. Les canons, la mousqueterie, la baïonnette rendent la guerre à son absurdité et la détache de toute harmonie. L’expression « la raison suffisante » (terme de la philosophie optimiste) est perçue comme