Bale Iii Liquidité

3 B/ Les différents types de crédits 4 C/ Les risques du crédit 6 II/ Etude et analyse du risque de crédit 7 A/ Crédit particuliers 8 B/ Crédit entreprises 9 C/ l’octroi du crédit 10 D/ Le RAROC (risk adjusted return on capital) 13 III/ Evaluation et gestion du risque de crédit 15 A/ Les normes nationales & internationales 15 B/ Les techniques modernes de gestion et d’évaluation des crédit 17 C/Les dérivés du crédit 24 Conclusion 27 Bibliographie 28

Produits d’épargne * Services bancaires et connexes * Services d’investissement et connexes * Les autorités de tutelles européennes : * EBA (autorité Bancaire Européenne), créée en 2011 : fait les stress tests et valide les critères de Bâle * ESMA (AMF au niveau européen), créée en 2011 : supervise les agences de notation * EIOPA : créée en 01/2011 : stress tests sur les assurances. En chantier : Union Bancaire au niveau européen BCE supervise les banques européennes + création

intégrée des différents risques découlant de son activité basée sur le suivi des positions par rapport aux limites et des analyses de scenarii pour se conformer le plus possible, aux standards internationaux en la matière. Ainsi, le comité de Bâle a-t-elle été créé en 1994 avec un objectif primordial : l’harmonisation des règlementations régissant les risques bancaires avec les principes fondamentaux préconisés par les instances de surveillance internationale notamment en matière de ratio de

LES ACCORDS DE BÂLE II : QUELLES CONSÉQUENCES POUR LE FINANCEMENT BANCAIRE EXTÉRIEUR DES PAYS ÉMERGENTS ? Jean-Marc Figuet et Delphine Lahet De Boeck Université | Revue d'économie du développement 2007/1 - Vol. 21 pages 45 à 66 ISSN 1245-4060 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-d-economie-du-developpement-2007-1-page-45.htm ------------

Résumé : Ce mémoire porte sur l’impact de la nouvelle réglementation bâloise sur le financement bancaire des PME. Il met en relief les trois piliers sur lesquels se base le ratio Bâle II ou Mc Donough. Le premier cherche à calculer un minimum de fonds propres en fonction des risques encourus par la banque, le deuxième vise le renforcement du processus de la supervision prudentielle et le troisième concerne l’amélioration de la discipline du marché. Ce ratio cherche à réaliser une certaine justice

banque dans leur activité bancaire. Les cadres élémentaires : Il existe un Actif et un passif (=Dettes, capitaux propres). Liquidité (pour une banque = capacité à payer immédiatement) et solvabilité (capacité à payer pas forcement immédiatement). Les banques doivent être à la fois liquides et solvable. Il y a des ratios qui permettent d’assurer la solvabilité et la liquidité : le coefficient de réserve : correspond a des dépôts conserver au prés de la banque centrale. Les ratios de division des

fait les grandes sociétés américaines n’ont pas provisionné les fonds de retraite de leurs employés car les plus-values sur actifs étaient enregistrées en bénéfice. Or en période de baisse, les banques qui ont l’obligation de respecter la règle de Bâle II sont tenues de maintenir un ratio de fonds propres, d’autant plus élevé qu’elles détiennent des titres qualifiés de risqués par les agences de notation. Donc lorsqu’elles ne peuvent plus augmenter leurs fonds propres, elles n’auraient plus d’autres

BANK AL-MAGHRIB - RAPPORT DE LA SUPERVISION BANCAIRE - EXERCICE 2012 SOMMAIRE MOT DU wali FAITS MARQUANTS CHIFFRES-CLES  PARTIE 1  Environnement légal et réglementaire Cadre prudentiel renforcé dans la perspective de la mise en place de Bâle III Activités de la supervision bancaire et stabilité financière Consolidation de la surveillance micro et macro-prudentielle PARTIE 2 Structure, activité et résultats du système bancaire Solidité du système bancaire préservée, en dépit d’une

» (ou downgrading risk).7(*) Gérer le risque de crédit consiste donc à mettre en oeuvre des actions devant permettre de se prémunir contre le risque de défaillance de l'emprunteur ou de la situation financière de l'entreprise. Selon le comité de Bâle,8(*) un défaut de la part du débiteur intervient, soit lorsque la banque estime improbable qu'il rembourse en totalité son crédit au groupe bancaire sans qu'elle ait besoin de prendre des mesures appropriées telles que la réalisation d'une garantie

économique sensible » Expliquez pourquoi et comment cela se traduit dans leur rôle d’intermédiaire financier ? Introduction : Pour les établissements de crédit, la crise économique et financière de 2008 a été dans un premier temps une crise de liquidité caractérisée par la quasi-fermeture du marché interbancaire. La crise de solvabilité est arrivée ensuite, quand il est apparu que les banques ne disposaient pas suffisamment de fonds propres pour couvrir les risques liés à certaines de leurs activités