Bale Iii Liquidité

LES ACCORDS DE BALE SYNTHESE Chacune des recommandations du Comité de Bâle comporte de multiples dimensions, jugées nécessaires à un moment donné. Toutefois, elles s’articulent toutes autour d’un outil principal : le ratio de fonds propres. Ce ratio a été le grand principe posé par Bâle I. Il s’agit alors d’imposer un rapport minimum entre les fonds propres dont dispose une banque et les risques qu’elle porte sur les marchés ou sous forme de crédits à ses clients. En 1988, Bâle I a imposé d’avoir

Nouvelles Dispositions de Bâle III Les banques Centrales et les régulateurs bancaires ont adopté le dimanche soir un plan prudentiel communément appelé « Bâle III ». Objectif Cette reforme a pour objectif de : Constituer un amortisseur financier efficace Relever les fonds propres des établissements financiers Eviter un effondrement du système bancaire comme la faillite de la banque américaine Lethman Brothers en 2008 Rendre le système financier mondial plus résistant à de futurs chocs éventuels

principales failles de ces mesures. I LES MESURES APPLIQUEES PAR LES ETABLISSEMENTS DE CREDIT A/ La surveillance prudentielle • Le Comité de Bale = suite faillite bque Herstatt, BRI favoriser l’harmonisation des regles et contrôle des operations bancaires. Dés 1988 Ratio COOKE « Bale I » = niveau engagements /fd propres = 8% Dès 2006 Bale II ratio de solvabilité ou MCDonough = prise en compte risque marché, crédit et operationnel (amelioration methode calcul risques). Ratio décomposé

reporting, informer les acteurs, … BALE III Publiés le 16 décembre 2010, les Accords de Bâle III font partie de la batterie de nouvelles règlementations introduites pour réduire le risque de défaut des établissements financiers. Elle a pris en compte la crise de liquidité et les faillites survenues lors de la crise financière de 2007, malgré les règles déjà en place de Bâle II (à noter que les banques US n’appliquaient pas Bâle II). Bale III impose un renforcement de la qualité et du

CHAPITRE 1 : LA CONVENTION DE BALE DANS LA GESTION DE RISQUE DE BANQUE I. L’INTRODUCTION L’APPARU DU COMITE DE BALE ET SES MEMBRES Les faiblesses d’un système bancaire, que ce soit dans un pays en développement ou dans un pays développé, peuvent menacer la stabilité financière tant au sein de ce pays qu’à l’échelle internationale. Le Comité de Bâle ou Comité de Bâle sur le contrôle prudentiel bancaire est une institution créé en 1974 par les gouverneurs des banques centrales

La réforme prudentielle Les recommandations de Bâle Le contexte Les recommandations du Comité de Bâle dont la version finale a été publiée le 16 décembre 2010, ont été entérinées par le G 20. Cette réforme qui porte, d’une part, sur les exigences en matière de solvabilité bancaire et d’autre part, sur la surveillance du risque de liquidité, est très structurante pour les banques. Les banques françaises favorables à ce projet dont les enjeux sont essentiels pour la stabilité financière, s’inquiètent

acteurs bancaires. Premièrement, les banques se doivent d’appliquer les normes de gestions destinées à garantir leurs liquidités et leur solvabilité (I).Deuxièmement, elles doivent mettre en place et participer aux opérations de contrôle (II). I. L’application de normes de gestion destinées à garantir leurs liquidités et leur solvabilité A. La mise en place des ratios « Bâle II » - De solvabilité ou Mc Donough : fonds propres prudentiels /ensembles des risques pondérés sup à 8% -> Exigence

Bâle III, ce qui change     Le nouveau cadre réglementaire publié par le Comité de Bâle semble finalement moins contraignant que prévu initialement : les banques devront avoir plus de fonds propres en face de leurs engagements, mais elles auront plusieurs années pour les constituer.
Pour que la mise en place des normes Bâle III ne s'accompagne pas des restrictions du crédit et pour limiter le volume de fonds nécessaires, le Comité de Bâle a aménagé des périodes de transition dans l'application

courtes (quelques semaines, mois). En revanche, les emprunteurs s’endettent plutôt à moyen ou long terme. La transformation bancaire consiste à utiliser des ressources CT pour financer des crédits MT. Cette opération met en évidence le risque de liquidité lié au financement à CT d’investissement LT. Les opérations de crédit représentent une source majeure de création monétaire. Une création monétaire excessive fait partie

terme. * 6) Le comité de Bâle, créé en 1974 et composé de représentants des banques centrales et autorités de régulation de plusieurs pays. Ce comité, hébergé par la Banque des règlements internationaux, est l'auteur des recommandations dites de Bâle I (1988) puis de Bâle II (2005), appliquées à l'échelle mondiale et mises en œuvre dans l'Union européenne, dans le cadre des directives sur l'adéquation des fonds propres de 1993 puis de 2006. *  7) Accord de Bâle 1 : visaient à assurer la stabilité