Bank

financement de l’exploitation des E/ses du secteur privés et d’autre part le financement de l’exploitation (E/ses industrielles) . Certaines ont élargies progressivement leurs activités pour devenir des banques généralistes (exemple : La BT, BIAT et L’AMEN BANK) * Les banques off-shore : 11,3 %. Leurs activités consistent à collecter les dépôts auprès des non-résidents, et assurer les opérations de change et de commerce extérieur. Il s’agit ici de CITIBANK, BTE, UBCI (filiale de BNP PARIBAS) …. 2/

Comment favoriser une gestion efficace du changement pour qu’Attijariwafa Bank réussisse son projet CRM ? Encadré par : Mme MANSORI Réalisé par : BENMASAOUD F-Z /ALIANE NARJIS BERRADA FADILA /BOUTAM MERYEM EL ALAMI ISMAIL/ESSAADI HIBA GHERRABY ZINEB / EL HALOUI YASSINE FADDI NABIL /EL OUBAIDI ZINEB Projet de fin de cours L Gestion de relation client INTRODUCTION es années 90 ont vu l’apparition et le développement des projets CRM (Customer Relationship Management ou Gestion

Quel positionnement adopter face au large panel de services financiers en ligne déjà présent sur le marché ? Comment la banque en ligne B For Bank arrive-telle à se frayer une place sur le marché des services financiers en ligne ? Le   ? 5 6  Lancée le 8 Octobre 2009 sur le modèle de son plus gros concurrent: Boursorama, B For Bank a su se différencier en se concentrant sur des valeurs telles que l’épargne et les placements financiers, les services utiles à la prise de décision

NS Houda attijariwafa bank Sommaire Introduction : .…………………………………………………………….… ...5 I. Partie : Présentation du Groupe : ……………………………….…………..9 a) Historique , Actionnariat , Valeurs , Vision ……………………...10 b) Cadre institutionnel ; Règles de gouvernance…….……………....14 Partie : Domaines d’activités et fonctions support :……………………….18 A. Principaux domaines d’activités :……………………………………19 1. La Banque des particuliers et des professionnels (BPP)………19 2. La Banque de l’entreprise (BE)……………………………

Export Processing Zones: A Review in Need of Update Takayoshi Kusago Zafiris Tzannatos Social Protection Discussion Paper No. 9802 January 1998 Social Protection Group Human Development Network The World Bank Washington, DC 1 TABLE OF CONTENTS REFERENCES.............................................................................................................................................. 2 1. INTRODUCTION ......................................................................

J’ai l'immense plaisir de présenter mes remerciements les plus chaleureux à mon encadreur Monsieur Faouzi Labassi, chef d’agence d’AMEN BANK qui m'a offert l'occasion d'effectuer ce stage. Je tiens également à remercier Monsieur Souhail Bechir et Chafik Ennajar qui m'ont aidé tout au long du stage et pour la confection de ce rapport, ainsi que tout le personnel de l’agence

Rapport annuel de Bank Al Maghrib L’appareil statistique marocain est l’un des plus performants d’Afrique. La collecte des données et leur traitement permettent une lecture dans les délais des principaux indicateurs économiques et financiers. Les données trimestrielles sont disponibles sur les différents portails de Bank Al Maghrib comme sur ceux du ministère de l’Economie et des Finances et du HCP. Les données sur l’inflation, la croissance, les différents comptes nationaux, les valeurs ajoutées

banque, de lettrer les comptes, de remplir quelques déclarations, notamment pour l’URSSAF, ou les déclarations de salaires. Parmi ces tâches diverses, j’ai choisi de développer celle de la scannérisation des relevés de banque, avec le logiciel Scan Bank. Dans un premier temps, nous trouverons la présentation de l’entreprise, ainsi que son organisation du personnel. Ensuite, nous aborderons l’objet de l’étude, ScanBank, avec sa présentation, ainsi que son mode de fonctionnement. En étude de

qui était imposé aux banques de 1976 à 1991 et qui limitait de manière draconienne les augmentations des autres crédits. -accroissement des moyens de financement bancaires par les possibilités de réescompte hors plafond qui étaient accordées par Bank Al Maghrib , sur les effets représentatifs de crédits à moyen terme mobilisables excédant le portefeuille minimum précité. -encouragement des investissements immobiliers par l’instauration d’un coefficient obligatoire d’emploi en crédits aux logements

écrit de l’éditeur, de reproduire (notamment par photocopie) partiellement ou totalement le présent article, de le stocker dans une banque de données ou de le communiquer au public sous quelque forme et de quelque manière que ce soit. The New World Bank Christophe Jaffrelot Directeur de recherche CERI-Sciences Po/CNRS et président de l'Association des amis d'Alternatives Internationales* Le sixième sommet des BRICS, qui a réuni les chefs d'État et de gouvernement brésilien, russe, indien, chinois