Banlieue

entraîne une extension des limites de la ville. L’extension de la ville n’est pas un phénomène nouveau, bien au contraire. Toutes les villes ont débordé de leurs fortifications. Ces extensions ont depuis le temps été constatées, nommées faubourg, banlieue, agglomération, périphérie, etc. Le désir de nature du citadin s’affirme au XIXème siècle. Ce phénomène s’illustre par l’engouement des citadins pour vivre à la campagne. Mais toute expansion urbaine se fait au détriment du milieu rural. Un bilan

incriminées du Suprême NTM, ce qui n'est pas peu dire puisque ce groupe est sûrement le plus critiquée du paysage musical français. Cette chanson a été de nombreuses fois citées lors de la fin d'année 2005, à l'occasion des violentes émeutes survenues en banlieue, et lorsqu'il était au goût du jour de dire que la resposabilité de ces émeutes revenaient aux rappeurs... Par la suite, convaincue par cette téhorie simpliste et qui écartait joliment toute résponsabilité revenant à l'Etat, les rappeurs dans leur

Les banlieues combinent les problèmes sociaux, ethniques et spatiaux Ce type d’habitat a été longtemps convoité par les classes moyennes mais aujourd’huiles Français d’origines étrangères y habitent. Les banlieues sont devenues des quartiers pauvres et la réputation de ceux-ci s’est détériorée. Ce qui explique que les banlieues sont devenues un lieuavec beaucoup de problèmes. En France la banlieue connaît un certain nombre de problèmes. Ainsi on constate que 33% des personnes vivant en banlieue

En quoi semblent-ils incarner un exemple de bien-vivre ? Quelles sont les failles d’une telle image ? Quelles sont leurs véritables relations avec les quartiers qu’ils investissent ? Séquence n°2 : Les quartiers plus défavorisés : l’image de la banlieue et la notion de ghetto. L’origine des HLM, leur évolution et la question des rénovations ( le Corbusier et la cité Radieuse de Marseille ; la ZUP de Colmar ; la cité manifeste de Mulhouse). L’architecte est-il responsable des problèmes sociaux, économiques

ETUDE SUR LES FACTEURS D'ENTREE DANS LA DELINQUANCE Les espaces urbains que nous appelons aujourd'hui « banlieue » étaient à l'origine des faubourgs, des constructions autour des remparts, en périphérie des grandes villes. C'est de là que la banlieue tirent son nom, elle était sous l'autorité de la ville, sous son ban. Les banlieues ont bien évolué depuis. Avec le temps l'état y a regroupé les familles les plus modestes, les travailleurs immigrés, les ouvriers... Dans ces espaces urbains démesurés

trafic automobile est en effet toujours aussi important : les embouteillages n’ont pas diminué (11 000 personnes viennent s’installer chaque année dans l’aire urbaine) et la desserte de l’aire urbaine par ses infrastructure reste très inégale (la banlieue est encore tributaire de la voiture). C. Des écoquartiers qui n’en sont pas vraiment • De nouveaux quartiers sont aménagés depuis une dizaine d’année, surtout en périphérie. Ils se situent près des grandes infrastructures de transport en commun et

d’une banlieue de province. De l’autre la réalité de la majorité des personnes qui présentent le profil de la ministre de la Justice, reléguées dans les couches inférieures de la société française, frappées les plus durement par le chômage, l’insécurité de l’emploi, la pauvreté, les conditions d’habitat dégradées, les plus exposées aussi aux attaques xénophobes et racistes. Les personnes les plus touchés par la discrimination négative sont les gens habitant dans cette fameuse banlieue dont

provocation et injures verbales ou gestuelles contre les adultes du voisinage et les agents des institutions, agressions physiques, trafics divers (dont la drogue ), saccages et pillages... En France, les premières émeutes date de 1981, aux Minguettes, banlieue de Lyon, où près de 250 voitures seront détruites par des jeunes en l'espace de deux mois. L'école où sont recensés de nombreux cas de violences scolaires dont certaines physiques avec arme. On énumère essentiellement des faits de violences physiques

social de certains périmètres : évictionde catégories modestes au profit de couches plus aisées redécouvrant les séductions de la centralité. B. La banlieue ou des banlieues ? Les noms des cités de Vaulx-en Velin ou des Minguettes ont exprimé violemmentle malaise des grands ensembles et non celui de la banlieue. Car il existe plusieurs formes de banlieues. L'architecture en barres et en tours des ZUP, puis des ZAC, a constitué un élément de banalisation de la périphérie des villes françaises, mais il

du cours des choses. Utile pour un échantillon le plus large possible. Exemple de livre : J’ai été un chef de gang. Les entretiens : Entretien directif : 15 questions précises et 2 ou 3 questions sur le parcours de l’individu. Exemple : Violence banlieue = Motivation Sociologie : Brûlé une école PEUT-ETRE parce qu’en étant enfant il y à eu des violences rencontrées dans cette école. Entretien semi directif : Question ouvertes et laisse l’enquête parler. Entretien ouvert : 2 ou 3 grandes questions