Banque internationale pour la reconstruction et le développement

cfr. Thatcher, Reagan) : Privatisation (->restructuration->licenciements,…) : « one shot », fait rentrer une fois de l’argent dans les caisses de l’état. Risque de perte des services publics : importance de la rentabilité pour les privés-> développement de nouveaux services rentables. Ex. : La poste par l’état : accessible à tous. L’état ne doit plus s’en occuper. Potentielle concurrence-> baisse des prix Flexibilité de l’emploi Syndicat, convention collective, préavis, peu d’indemnités.

Introduction : Cet article de Georges CORM, né en EGYPTE, et homme politique, historien de renommée internationale, consultant économique et aussi juriste libanais, nous expose les points de vue qui vont s’affronter lors de la conférence de Cancun qui se tiendra le 22 et 23 octobre 1981 au Mexique. Cette conférence permet de continuer le dialogue Nord/Sud qui dure depuis maintenant 7 ans. Nous allons déjà, définir ce que l’on appelle le Nord et ce qu’est le Sud. Tout d’abord le Sud, c’est un ensemble

DOCUMENTAIREOmar LmimouniBBA 1ère année 2019-2020Table des matières 1.1 Fiche Identité de l’entreprise : 4 1.1.2 Chiffres Clefs 4 1.1.3 1864 Création de la SOCIETE GENERALE. 5 1.2.1 Son évolution 6 1.3 Organigramme 7 1.4 Les principaux pôles d’activités de la banque 8 1.5 Répartition géographique de son activité 10 2.1 Les Principaux concurrents 11 2.1.1 Le Crédit Agricole 11 2.1.2 BNP PARIBAS 11 2.1.3 Classement 12 2.2 Analyse Pestel 14 2.3 Matrice Swot 16 3.1 Amine Lmimouni (analyste des risques) 18 3.2 KHADER

des pays, les périodes entre 1945 et 1947 sont décisives parce que les bases de la seconde moitié du siècle vont se mettre en place (relations entre les pays). Problématique : pourquoi l'année 1945 marque-t-elle l'avènement d'un nouvel ordre internationale ? I- Un bilant sans précédent pour un monde traumatisé A) Un bilant démographique désastreux Au lendemain de la seconde guerre mondiale on comptabilise environ soixante millions de mort, soit six fois plus qu'à la première guerre mondiale

Le consensus de Washington est un corpus de mesures standard appliquées aux économies en difficulté face à leur dette (notamment en Amérique latine) par les institutions financières internationales siégeant à Washington (Banque mondiale et Fonds monétaire international) soutenues par le Département du Trésor américain. Il est théorisé en 1989, par l’économiste John Williamson1 sous la forme de dix propositions (voir plus loin). Il est issu de l’idéologie de l’école de Chicago.Le « paquet » de réformes

guerre La guerre a couté 100 milliards de dollars, en grande partie empruntée à crédit par les pays bélligérants qui se retrouvent sans aucune ressource. Les dégats s'élèvent quant à eux à 200 milliards de dollars. Ce coût est astronomique et la reconstruction impossible. Les Etats unis sont enrichis ( Ils ont 75% des réserves en or de la planète en 45 ). 3) Le progrès scientifique La mobilisation des chercheurs pour les militaires aboutit à des expériences bientôt accessibles au public. Les britanniques

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Les apports internationaux La politique commerciale poursuit le double objectif d’influence l’ampleur et la direction des échanges. La plupart des pays s’inscrivent au principe du libre-échange ; les relations économiques internationales reste toujours empreinte de protectionnisme (ce fait de sauvegarder l’économie national ou mettre des barrières tarifaires).les années 30 et 40 ont succédé un nouvel ordre international de politique commerciale fondait sur des règles plus stricte et une coopération

donne de la valeur. Les premières formes de monnaie papier ne faisait que représenter des quantités de métaux détenus par les banques. Cela était une sorte de certificat de dépôt. Le 1er billet va être crée en Suède par un banquier suédois Palmstruch. Il y avait à l’époque une pénurie de métaux et par conséquent il a eu l’idée d’imprimer les premiers billets de banque. La banque donnait alors un papier qui valait une somme et ces billets étaient convertibles à tout moment en monnaie métallique. Ce qui

technologies émergent dans le champ de la collecte, du traitement comme de la mise à disposition de l’information. Elles ouvrent la voie à une meilleure diffusion de l’information dans toutes les entreprises y compris les plus petites d’entres elles. Le développement de technologies de l’information démultiplie les possibilités de diffusion à moindre coût dans des délais rapides. En particulier l’Etat, collecteur et fournisseur d’information doit s’adapter pour faciliter cette évolution et permettre ainsi à