Banques De Second Rang Limitées Dans La Création Monétaire

développement Introduction Acteur économique incontournable selon le site du Trésor (trésor. Economique.gouv.fr/gouv/pays/chine) ; la Chine est un géant démographique et géographique. La Chine est un pays de grande dimension, elle se place au troisième rang après la Russie et le Canada. C’est un géant démographique avec l’Inde. Elle possède des ressources naturelles et humaines considérables, un grand marché intérieur et la possibilité d’exploiter des économies d’échelle. Elle a ainsi une certaine marge

POLITIQUES MONETAIRES : DANS LA TRAPPE ? Situation problème 2 : macroéconomie Sommaire Introduction………………………………………………………………………..………………Page 3 I. Explications du fonctionnement des politiques monétaire…………………………………………………………………….…………..Page 4 1. Les deux types de politique monétaires………………………..…………Page 4 2. Instruments et mécanismes……………………………………………………Page 4 3. Variations du taux d’intérêt…………………………………………..…………Page 6 4. Politique monétaire et croissance……………………………

monétarisme friedmanien Une théorie influente auprès des gouvernements Mais une application limitée du côté des banques centrales Pourquoi une si grande préoccupation de la monnaie, alors que justement elle est considérée comme neutre ? Conclusion : les réussites du monétarisme 2.2 La politique monétaire préconisée par les monétaristes Les recommandations La règle d’or de la politique monétaire L’abandon de l’objectif de taux d’intérêt Des interventions non discrétionnaires et progressives

..........................238 I.1) Les institutions de crédit et moyens de paiement.........................................................................238 I.2) La création monétaire ................................................................................................................238 I.3) Les agrégats monétaires.............................................................................................................238 I.4) Les taux d’intérêts................................

partie réelle : le marché de biens et service, 2 variables : r taux d’intérêt  (concrètement r : le taux d’intérêt réel à ne pas confondre avec i taux d’intérêt nominal) Y le revenu (vu dans l’optique PIB, production du richesse) LM : la partie monétaire : demande – offre de monnaie  qui va trouver l’équilibre sur un graphique qui va lui aussi utiliser les deux variables r et Y. Quand le taux d’intérêt augmente, l’investissement diminue du côté de IS, du côté de LM il y a d’autres relations.

financement. La mise en relation entre offreurs et demandeurs de capitaux peut s’effectuer schématiquement de deux manières : - Dans les systèmes de financement intermédié (économies d’endettement), ce sont des intermédiaires financiers spécialisés (les banques) qui assurent pour l’essentiel la coïncidence entre offre de capital et demandes de financement. - Dans les systèmes de financement direct (économies de marchés financiers), la coïncidence entre offre et demande de capitaux se fait essentiellement

Economie Monétaire et Financière Partie 1 : Intermédiation financière et Marchés de capitaux Analyser le rôle d’un agent particulier, les institutions financières (=intermédiaires financiers), dans le financement de l’économie. Il y a aussi des marchés de capitaux, d’où l’intervention entre ces deux acteurs. Il s’agira de comprendre le concept de monnaie-dette, la monnaie joue un rôle particulier, afin d’analyser la deuxième partie du cours. Partie 2 : Banques et Monnaie. Banques (centrées

l’industrie bancaire peuvent générer des défaillances porteuses d’un risque systémique. Les dernières turbulences intervenues sur les marchés financiers depuis l’été 2007 trouvent leur origine dans le comportement fortement spéculatif des banques de second rang, dans un contexte de finance libéralisée. Partie des Etats Unis, cette crise s’est propagée aux marchés fin anciers mondiaux et fait redouter une récession économique. En dépit d’une forte réglementation des marchés financiers, la crise des

synthèse Europe Quel bilan tirer du SME ? → Suite à la faillite du système de Bretton Woods, les pays de la CEE décide d’instaurer des mécanismes de coopération monétaire entre banques centrales et de réduire les marges de fluctuation de leur taux de change : des accords de Bâle d’avril 1972 marque la naissance du serpent monétaire européen (franc, deutsch mark, le florin, couronne danoise, franc belge). Mais la France qui connaît des difficultés de la balance courante sort du serpent à deux reprises

des agents économiques : c’est-à-dire des institutions monétaires et financières qui forment l’objet de ce cours. Et la conséquence de ce choix : commencer par le recensement des formes actuelles de ce qui est considéré par les autorités monétaires comme de la monnaie ou de la quasi monnaie et la présentation des définitions empiriques qu’elles utilisent pour le besoin de la politique monétaire, de la monnaie appelées les « agrégats monétaires ». Mais cette démarche délibérément empirique exige malgré