Bantoustan

c'est-à-dire contraires au droit international, et la première illustration que l'on peut donner est la doctrine Stinson de 1931, développé au moment de la création de la Manchourie suite à une guerre d'agression menée par le Japon. On peut ajouter les Bantoustans créés par l'Afrique du Sud. Il y a aussi la doctrine Hallstein de 1955, du nom du secrétaire d'Etat Ouest-Allemand, qui compte tenu des conditions de la création de la RDA a dit que tout Etat qui reconnaitrait cette république ne pouvait continuer

israéliennes tandis que la population sera administrée par une Autorité Palestinienne brutale et corrompue, jouant le rôle traditionnellement assigné aux collaborateurs indigènes sous différentes variétés de règles impériales : la direction noire des Bantoustans d’Afrique du Sud, pour ne mentionner que l’analogie la plus évidente…"Il est important de rappeler que ces politiques ont été non seulement proposées, mais aussi exécutées avec le soutien des Etats-Unis. Ce soutien fut décisif dès 1971, lorsque

autorité extérieure. Une fois que le l’État est crée, le DI qui a peur du vide fait statu quo sur ces conditions qui ne sont alors plus requises. Aujourd’hui il y a des états défaillants qui ne réunissent pas ces deux conditions. Exemples : les Bantoustans qui se sont essentiellement produit en Afrique du Sud. Dès 1948, sur le territoire de l’Afrique du sud, création de régions par l’état considéré par l’AS comme des états indépendants et sont destinés à soustraire la population noire de l’AS et de

une interdiction pour les états tiers de reconnaître les effets de cette invasion. ▪ l’Afrique du Sud et sa politique d’apartheid, régime confisquant l’indépendance au profit d’une minorité raciste. Il y eut là un refus de reconnaissance des Bantoustans (états ghettos) qui s’est traduit par des résolutions de l’AGNU et du CSNU condamnant les violations du DIP. ▪ les territoires occupés : la CIJ rend en juillet 2004 un avis jugeant la construction du mur contraire au DIP. Les états tiers ne

comme The Prohibition of Mixed Marriages Act(1949)[8], loi qui rend illégale l'union maritale interraciale. La politique d'apartheid a connue son apogée sous les gouvernements de JG Strijdom et Hendrik Frensch Verwoerd avec la mise en place de bantoustans semi-autonomes pour les noirs. Constamment réformés à partir des années 1970, du fait notamment de l'impossibilité d'imposer une séparation concrète absolue entre les différents peuples d'Afrique du Sud et de la réprobation internationale que cette

Ils manient la reconnaissance en fonction de ces considérations et pas en fonction de l’effectivité de l’Etat ou du gouvernement à reconnaître. C’est ainsi par exemple, qu’à partir 1976, l’Afrique du sud pris l’habitude d’ériger certains des Bantoustans (réserves de populations noires sur son territoire) en Etat soit disant indépendant. Ce qui lui permettait de considérer cette population comme n’ayant pas sa nationalité et de la contrôler encore plus facilement. Les Etats tiers, la communauté

pas l’établissement de relations entre états. Exemple : la France entretient des relations avec Taiwan mais ne reconnaît pas Taiwan comme un état indépendant. Impact de la non-reconnaissance : cas du Ciskei, entité émergée en 76 à partir des Bantoustans, territoire autonome d’Afrique du sud. L’a g des nations unies, doutant de l’indépendance réelle, a demandé aux états de ne pas le reconnaître. En juillet 87, le Ciskei s’était déclaré près à négocier avec la France la libération d’un coopérant

(ex . : OLP) . u a) Elle peut être refusée à une situation licite (gouvernement effectif) o e accordée à une situation irrégulière ; toutefois la reconnaissance d'un e situation contraire à un principe de jus cogens doit être considérée comm bantoustans, comme l e interdite (en ce sens, non-reconnaissa nce des Transkei, liée à la condamnation de l'apartheid) . qui sont souvent des engageb) Elle peut être assortie de conditions ments exigés des États nouveaux en contrepartie de leur reconnaissance

interraciales. Enfin, il y a le grand apartheid (1959), qui avait pour but de séparer géographiquement les Etats blancs et les Etats noirs. Espèce de tentative de racialiser le territoire, avec la création d’Etats autonomes pour les noirs (les bantoustans : sortes de réserves pour les noirs, qui en théorie, devaient aboutir à l’indépendance de ces territoires au bout de quelques années). Effondrement de l’Apartheid Raisons de l’effondrement Pressions intérieures : l’Apartheid était difficile

les responsabilités nationales, provinciales et locales. Dans un pays comme l'Afrique du Sud, autant divisé sur le plan territorial que sur le plan racial, ta gestion des relations interrégionales a énormément d'importance. Avec la création des «bantoustans», ces enclaves ethniques qui jouissaient d'une indépendance fictive, le pays a été fragmenté en une multitude de petits fiefs artificiels dont les habitants se voyaient refuser les ressources et les chances auxquelles avait accès l'Afrique du Sud