Barbarisme

langue de départ * Calques de structure : ordre des mots gardés et appliqués en français (pole position, science fiction) * Calques phonétiques (white spirit = white-spirit ) Le calque dérive sur des traductions fautives (maladresses, barbarismes, …) Le calque doit ne doit être utilisé qu’avec précaution car il conduit très facilement à des contresens ou même des non-sens, fautes très graves en traduction. 3 - LA TRADUCTION LITTERALE Procédé qui consiste à traduire

triste concept – que je développerai fort probablement dans un autre texte de ce genre – mon sujet, le post-féminisme, n’étant qu’une branche de celui-ci.Nous pouvons le reconnaitre ainsi : éloge de l’écriture inclusive absolue – j’expliquerai – ; barbarismes langagiers dépourvus de sens ; prises de positions publiques à couper le souffle par leur idiotie ; créations artistiques ou produits de « beautés » tout à fait singuliers ; rejet de ce qui nous fait humain, de la nature humaine ; velléités égalitaristes ;

le rôle des Te Deum, en utilisant, toujours par prudence face à la censure, une longue périphrase : « on chante à quatre parties une chanson assez longue, composée dans une langue inconnue à tous ceux qui ont combattu, et de plus toute farcie de barbarismes ». Il s’agit de « remercie[r] Dieu » pour les morts… mais uniquement s’ils sont suffisamment nombreux ! De plus, nul ne comprendra ce chant de « grâce » en latin. === On est loin ici du ton plaisant et léger du conte, de la simple dérision :

appétissante'', ... Dérision des noms : Thunder-Ten-Tronck → colérique (=orage) ; Pangloss → tout en langue, parle tout le temps, vantard, se gargarise ; Cunégonde → prénom dur a porter Satire de l'optimisme, d'une certaine philosophie : néologisme et barbarisme ''metaphysico-théologo-cosmolonigologie'' + raisonnement logique (§5) avec l'expression de la causalité et csq, mais qui sonne creux (on parle de nez, jambe, etc et c'est pas philosophique) + critique des Doctrines finalistes de l'époque. Une

Contextes sociohistoriquesSpeak White Une poésie engagée... qui rejoint l’universel «Speak White» est une insulte lancée généralement par les anglophones posssesseurs et dominants - économiquement parlant, aux francophones d’abord, et ensuite à tout autre «race», comme si le fait d’être blanc impliquait de parler en anglais, attestant ainsi d’une supériorité quasi «raciale», bien que le mot ne soit pas adéquat (voir note ci-bas**) On est en plein esprit colonialiste, impérialiste. Ce poème

présente, dans le passage de l’oral à l’écrit, lors du récit de Gaston, à l’origine prononcé en patois picard. Il ne s’agit pas de « réécriture » au sens strict, mais de passage de l’oral à l’écrit, d’une parole à une autre( « L’exact de ses mots, ses barbarismes, j’ai presque oublié. J’ai réécrit. […] » (p.26)). Le texte pose donc le problème de la restitution des sources et de la mémoire fidèle, mais aussi de leur nécessaire reconduction dans l’écriture : de là, l’écart entre la réalité vécue et son devenir

imitant, utilisent la discrétion dans le rythme afin de s’assurer que la donnée d’information ne roule pas en torrents mais qu’elle vienne donnée avec le rythme désiré, soit serein. La pureté de la langue (p.ex. on n’accepte pas les néologismes, les barbarismes ni les formes dialectales) et l’ordre dans la poésie visent à réussir un style plein et uniforme, qui soit en accord avec la pensée. À ce propos, Corneille cite Aristote : «Je n’ai rien à dire là-dessus, sinon que le langage doit être net, les figures

l’époque de Vaugelas le gouvernement s’estime être le seul dépositaire légal de la langue et donc du « bon langage ». Durant l’antiquité, les barbares sont tous ceux qui ne parlaient pas le Grec, c’est pour cela qu’aujourd’hui nous utilisons le mot barbarisme quand nous voulons dire que le mot employé n’est pas un mot français ou que sa structure n’est pas correcte. Autrement dit, est barbare tout ce qui n’est pas décidé par l’académie française. Concernant les genres, l’opposition entre masculin et

Clermont-Ferrand : Presse Universitaire Blaise Pascal, 2004. 1 (1938) et à cause de l’opinion d’Avihu Zakai et David Weinstein qui disent que l’article Figura n’est pas objectif, mais une intention de dénégation de la philologie aryenne et du barbarisme Nazi.3 De ce fait, Fotis Jannidis remarque encore en 2004 dans son ouvrage Figur und Person. Beitrag zu einer historischen Narratologie4 qu’il manque une définition claire du terme littéraire « figure » en Allemagne. Grâce au recueil de Véronique

l’histoire se sont succédés de nombreuses conquêtes, annexions, mises en esclavage, changements de gouvernements, etc etc… Tous ces régimes différents on vu apparaître de nombreux droits positifs se mettant explicitement au service de l’inégalité et du barbarisme. L’exemple de la 2eme guerre mondiale est l’un des exemples les plus flagrants. Durant cette période, les juifs (entre autres) étaient systématiquement exterminés. Cette extermination programmée a été exécutée avec zèle par de nombreux officiers