Baruch Spinoza

lui-même, mais un sujet. Ainsi, cet État est le plus libre, dont les lois sont fondées en droite Raison, car dans cet État, chacun, dès qu'il le veut, peut être libre, c'est-à-dire vivre son entier consentement sous la conduite de la Raison." Spinoza, Traité théologico-politique, 1665 1 ) Dégagez l'idée directrice et les articulations de ce texte 2 ) Expliquez : " être captif de son propre plaisir ( ... ) est le pire esclavage " 3 ) Obéir aux lois, est-ce être libre ?

objet ou un être (la nature de l'homme par exemple); 3° L'ensemble des phénomènes matériels, liés entre eux par des lois scientifiques. En ce sens, le naturel peut s'opposer au surnaturel qui désigne une intervention transcendante de la divinité; 4° Spinoza distingue la nature naturante, c'est-à-dire la substance infinie et la nature naturée, les divers modes par lesquels s'exprime cette substance. Le mot nature est ambigu. Le naturalisme du xviiie siècle par exemple est contradictoire. D'une part son

Dieu existe, prendre ses désirs pour des réalités? Nous sommes confrontés à tous les jours à des événements qui nous amènent à nous poser des questions sur le pourquoi? Pourquoi cela ? Pourquoi moi? Pourquoi maintenant et non la semaine prochaine? Y a –t-il une réponse à tout cela? Destin, hasard, loi de la probabilité ou tout simplement Dieu qui lui amène beaucoup de sujets d’interrogation. Je procèderai en me posant certaines questions qui toujours, nous donne à réfléchir sur les

d'éthique qui désigne la branche de la philosophie qui s'intéresse à la conduite de l'Homme. Cette définition paraît claire mais on peut s'apercevoir que ce terme revêt autant de significations qu'il y a eu de philosophes pour en parler! Ainsi pour Spinoza, l'éthique vise à aider l'Homme à vivre selon la raison, chez Kant, elle est la conséquence de l'autonomie de la volonté, tandis qu'Hegel la considère comme la réalisation effective de l'idée de bien. Raison, Volonté, Bien … on comprend vite que

CHAPITRE XXXI " Plus juste cause de douleur naistre ne peut entre les humains que si, du lieu dont par droicture esperoient grace et benevolence, ilz recepvent ennuy et dommaige. Et non sans cause (combien que sans raison) plusieurs, venuz en tel accident, ont ceste indignité moins estimé tolerable que leur vie propre, et, en cas que par force ny aultre engin ne l'ont peu corriger, se sont eulx mesmes privez de ceste lumiere. " Doncques merveille n'est si le roy Grandgousier, mon maistre est

ont contribué à faire de la philosophie une science morale. La question morale est la première et la plus urgente, nous dit Descartes parce que l’action n’attend pas. Le Senne disait que « la morale n’est qu’un autre nom de la philosophie. » Pour Spinoza la tâche première sinon unique de la philosophie consiste dans l’éthique. Si la philosophie est essentiellement morale ou éthique, sa tâche consiste d’abord à fonder, c’est-à-dire à « pourvoir une réalité d’une assise, revenir au sol initial sur

PATIN Alexandre 17 ans Curriculum vitae 10 rue du 119ème RI 51220 Cauroy-lès-hermonville Tel : 06.85.48.22.92 / 03.26.85.91.23 E-Mail : alex.patin@wanadoo.fr  Formation                                                                                                                                 Je suis en Terminal scientifique option science de l’ingénieur, spécialité babyfoot Expert en FPS (CSs, battlefield2) et en MMORPG (world of warcraft). 2007 : Brevet des collèges ; 2011 :

certaine légitimité de l'expiation par toutes sortes de maux et définir un bon usage des maladies, comme on le voit chez les Stoïciens, mais aussi chez Pascal et même Montaigne. Les théologiens (saint Augustin, saint Thomas d'Aquin) et les philosophes (Spinoza) ont déployé toutes les ressources de leur dialectique et de leur foi pour montrer que le mal n'a pas d'essence propre et qu'il n'appartient pas à l'humain de contester les desseins de la Providence. Pourtant reste l'évidence de la souffrance d'autrui

Descartes consacre trois chapitres à la place occupée par le rire au sein des émotions dans son dernier ouvrage, Les passions de l’âme de 1648. Hobbes soulève un grand nombre des mêmes questions dans The Elements of Law et de nouveau dans Léviathan. Spinoza défend la valeur du rire dans le Livre IV de L’éthique. Et nombre des disciples avoués de Descartes expriment un intérêt particulier pour ce phénomène, notamment Henry More dans son Account of Virtue. La question que je veux poser à propos de tout

choses existent, sont faites pour lui. Or la situation pourrait changer si l’homme devait reconnaître par la raison qu’il est une partie de la Nature en rapport nécessaire avec d’autres parties, selon de strictes lois mécaniques. C’est ce qu’explique Spinoza (1632-1677) dans l’Appendice de l’Ethique, livre I, de Deo : Les hommes, ignorants des causes qui les poussent à agir, agissent en de ce qui leur est utile, et c’est cela qu’ils appellent la fin, ce qui est indispensable à leur autoconservation