Baudouin V de Hainaut

Lorraine. La mort soudaine de Lothaire sauve provisoirement Adalbéron et Gerbert. Le jeune roi Louis V (985-987), le fils de Lothaire, convoque une assemblée, présidée par Hugues Capet, qui conclut à l’innocence du prélat rémois — une procédure déjà employée au siècle précédent pour juger les hommes d’Église. Le jeu politique allait cependant être, une fois de plus, bouleversé par la mort de Louis V, le 22 mai 987, lors d’une partie de chasse. Son plus proche parent, candidat à la succession, est

immédiatement ressenti la nécessité d’être représenté dans les discussions et les négociations. On se rend compte que c’est un Comité très francophone, où les entrepreneurs wallons sont dominants, où la Flandre est minorisée. C’est surtout le patronat du Hainaut qui domine largement. Ce premier organe représentant le patronat est également dominé par l’industrie lourde (charbonnages, sidérurgie, verrerie,…). - Plus tard : à la veille de la Seconde guerre mondiale, le CCI chapeaute plus de 300 groupements

manifestation) Tous les gouvernement et les collèges sont constitués par les assemblés législatives. Provinces Anvers, Anvers Brabant Flamand, Louvain Flandre Occidentale, Bruges Flandre Orientale, Gand Limbourg, Hasselt Brabant Wallon, Wavre Hainaut, Mons Liège, Liège Luxembourg, Arlon Namur, Namur 3° Description du processus d’élaboration d’une règle LEGISLATIVE : En fonction du niveau de pouvoir où la compétence législative s’exerce, les normes édictées porteront des noms différents

sont frontalières des terres de l'ancien royaume central. Pour cela Charles le simple est obligé d'en passer par l’alliance avec les chefs des principautés locales. Dès le début de son règne il a soutenu le comte Régnier, possessionné en Ardennes, Hainaut et Brabant, abbé laïque de Stavelot et Echternach dans son opposition à Zwentibold. Cependant il doit renoncer à intervenir lorsque l'aristocratie Lotharingienne prend le parti de Louis l’Enfant en 900. Mais, en 911 l'élection de Conrad en Francie

cristologiea prima di Costantino e i reflessi nelle a rti figuratit-e, Bari, Università, Istituto di litteratura cristiana antica, 1978 (D, Rolende 1965, p. 87 et COE.'II S, Vita Rolen­ dis, p. 335. 9 Vita Rolendis, V ; ed. COE:>S, p. 340: pago igitur vicin iori inito, qui romano ydiomate Viliers dicitur. V illers-Poterie, au :lIoyen Age dfpends llce de Gerpinnes (cf. infra, n. 95) , fait à nouveau partie de la commune de Gerpinnes, depuis les fusions de communes de 1977. 10 r ita Ro/cnd is, VI ; ed. COE:>S

Table des matières Chapitre premier. — L’Église et l’Empire dans la seconde moitié du XVe siècle. I. La décadence de la papauté, de Nicolas V à l’avènement d’Alexandre VI. — II. Le déclin des anciennes hérésies. — III. Les tentatives de réforme dans l’Église régulière et séculière. — IV. Le nouvel aspect de l’institution pontificale. — V. L’Empire au temps de Frédéric III de Habsbourg. — Bibliographie. Chapitre II. — La monarchie française après la guerre de Cent Ans. I. Les réformes

sont l’un des peuples germaniques qui firent pression sur le limes romain e e jusqu’à le faire craquer sur tous les fronts, par coups de main isolés d’abord (dès le II e siècle de l’ère chrétienne), puis en un vaste et irrésistible mouvement au V siècle (410 : prise de Rome par Alaric). Installés en Gaule dès avant « les grandes invasions », ceux que les Romains appelaient « Barbares » se romanisent très vite par une intégration des élites gallo-romaines autant que par assujettissement des vaincus

atteint le seuil. L’instauration de ces seuils électoraux a eu pour conséquence d’encourager, au nord du pays, la formation de cartels électoraux entre les partis traditionnels et les petits partis récents, souvent issu du mouvement VU (Spa-Spirit, Cd&V-NVA, VLD-Vivant) Une autre conséquence spectaculaire fût la perte par Agalev (devenu Groen) de la totalité de sa représentation électorale. F. Le mode de répartition des sièges entre les listes La répartition est réglée par le titre IV du Code

ecclésiastique de Rouen, par A. Longnon, 1903, 602 pp. III Pouillés de la province ecclésiastique de Tours, par A. Longnon, 1903, 601 pp. IV Pouillés de la province ecclésiastique de Sens, par A. Longnon, 1904, 790 pp. V Pouillés de la province ecclésiastique de Trèves, par A. Longnon et V. Carrière, 1915, 600 pp. VI Pouillés de la province ecclésiastique de Reims, par A. Longnon, 1908, 1066 pp. VII Pouillés de la province ecclésiastique de Besançon, par E. Clouzot, 1940, 2 vol. VIII Pouillés de la province

burgonde ou à un noble romain, qu'il soit contraint de payer XV sous. 2. S'il a brisé une dent à des personnes ingénues d'humble condition, tant Burgondes que Romaines, qu'il l'amende à X sous. 14. MARCULFE, Formules, I, 8 (éd. K. ZEUMER, M.G.H., LL, V, p. 47-48 ; trad. J. IMBERT, G. SAUTEL, M. BOULET-SAUTEL, op. cit., vol. I, p. 340-341). Charte de duché, de patriciat ou de comté. La perspicacité de la clémence royale est louée dans sa perfection pour ce qu’elle sait choisir entre tous les sujets