Baumol

systeme capitaliste. SCHUMPETER: prcessus de destruction créatrice des innovations: essence du capitalisme. “ouragan perpetuel”: destructrices sur passé et productrices de l’avenir. G.GILDER: les entrepreneurs renversent ce qui était établi. BAUMOL: innovation repose sur combinaison: grande entreprises (économies d’echelle) et petites entreprises (mise en oeuvre des innovations révolutionnaires et radicales) c’est cette combi qui a permi l’éclosion d’Internet. c. Une dynamique fondée

d’autofinancement. Reste à savoir si un tel gaspillage des fonds d'autofinancement correspond au comportement réel des dirigeants d'entreprises. Les résultats de tests empiriques, effectués à partir de données anglaises et américaines par LITTLE52 d'une part, BAUMOL, HEIM, MALKIEL et QUANDT53 d'autre part,ne sont pas sans fournir de puissants arguments en faveur de cette thèse. Ces derniers n'écrivent-ils pas au terme de leurs recherches : "Funds retained by the Company, if invested wisely, must surely add to

structures de marché autres que la concurrence peuvent prévaloir. Le marché devient 1 monopole ou il existe 1 taille minimale optimale déterminant le nbre de firmes susceptibles de produire sur le marché (oligopole). Monopole et marché contestable. BAUMOL, PANZAR, WILLIG : théo des marchés contestables : il existe des concurrents potentiels susceptibles d’entrer sans délai ds le marché pcq les firmes établies n’ont pas d’avantages sur les entrants potentiels. Il faut qu’il n’existe pas de coûts irrécupérables

le consommateur recevra chaque semaine (7/30)Y ∗ ; s’il dépense chaque jour 1/7 de son revenu, son encaisse moyenne est M ∗ = 1/2[(7/30)Y ∗], soit 7/30 de ce qu’elle était précédemment (M ∗). Des économistes comme le français Allais et l’américain Baumol ont critiqué le côté trop élémentaire de cette relation, soulignant que le consommateur n’a pas intérêt à conserver tout son revenu sous forme monétaire, s’il peut le placer sur le marché financier entre la date de la paye et le moment où il sera dépensé

Dividend Policies », Journal of Applied Corporate Finance, 7 (hiver 1995), pp. 4-19. Barneto P., « L’évaluation des sociétés T.M.T. par les options réelles : émergence d’une nouvelle approche ? », Revue du Financier, n° 130 (mars 2001), pp. 85-102. Baumol W. J., « The Transactions Demand for Cash, An Inventory Theoretic Approach », Quarterly Journal of Economics, 66 (novembre 1952), pp. 545-556. Becht M., Bolton P. et Röell A., « Corporate governance and control », in G. Constantinides, M. Harris

entreprises publiques et l'amortissement de la dette publique. On a donc des principes d'orthodoxie. ensuite d'ordre théorique de nouvelles avancées technologiques font disparaître certain monopoles naturels (exemple du téléphone portable) Selon Baumol, dans la concurrence pure et parfaite, c'est le critère de libre entrée qui est important : une entreprise en monopole n'abusera pas de sa position au détriment des consommateurs, si elle est soumise au risque de voir arriver un nouveau concurrent

de l’inefficience-X et se méfient des diversifications conglomérales34. Enfin, ils ne croient pas que le libre jeu du marché permette de remettre en question les positions dominantes. Pour la théorie des marchés contestables développée par William Baumol John Panzar et R. Willig, il n’est pas nécessaire d’avoir un grand nombre d’acteurs la menace d’entrée de nouvelles firmes suffit. Pour John Panzar35 cette théorie s’inscrit dans la continuité des travaux d’Henry Demsetz et donc peut être perçue comme

dominante ; * Le maintien d’une large possibilité d’entée et de sortie des firmes sur le marché concerné. Cette approche s’adosse notamment sur les analyses récentes de la concurrence qui mettent en avant le concept de « marché contestable » (Baumol, Panzar et Willig,……). Un marché est dit contestable dès lors qu’une entreprise peut y pénétrer sans souffrir d’obstacles à la concurrence. Mais il convient aussi, c’est l’un des points novateurs de cette approche, que la possibilité de sortie soit

d’entrée   et   de                                                                                                                   3 BAUMOL W., PANZAR J., WILLIG R., Contestable Markets and the Theory of Industry Structure, Harcourt Brace Jovanovitch, 1982. sortie.  C’est  la  déréglementation  qui  a  rendu  contestable  des  situations  de  monopole.  Il

secteurs des accords tacites entre les entreprises pour se protéger. Il y 3 moyens de satisfaire le manager : Augmenter la taille de l’entreprise (BAUMOL en 1960) Développement de certaines dépenses (WILLIAMSON en 1963) Augmenter le taux de croissance de l’entreprise (MARRIS en 1963). 55 3) La taille de l’entreprise comme objectif du manager BAUMOL observe que l’objectif du manager ne dépend pas du profit réalisé par les entreprises mais du chiffre d’affaires de l’entreprise, car plus ce dernier