Baumol

lui-même, en marquera les limites au fur et à mesure qu’il s’éloignera de la nouvelle orthodoxie. Parallèlement, la séparation entre les travaux sur les équilibres réels et sur les phénomènes monétaires se renouvelait. Ainsi, certains auteurs, comme Baumol, Kahn et Tobin, intègrent la théorie de la demande de monnaie dans une analyse élargie à différents types d’actifs. En 1956, Patinkin traite de l’approche macroéconomique en recherchant, dans un cadre de structure keynésienne et avec des hypothèses

primaire est toute activité à progrès technique moyen, secondaire toute activité à progrès technique rapide, tertiaire toute activité à progrès technique lent. Selon cette loi, à laquelle sont attachés les noms de Clark, Fischer, Fourastié et Baumol, il y aurait en moyenne un écart structurel des rythmes de croissance de la productivité du travail dans l’industrie et dans l’agriculture d’une part, dans les services, d’autre part. 2.1. Le découpage en trois secteurs : fondements théoriques

filière cinématographique relève principalement de l’artisanat, et c’est finalement la duplication des films et surtout l’extension de leur diffusion qui sont générateurs de productivité et qui donnent au cinéma cette dimension industrielle. Selon W.J. Baumol et G. Bowen, les arts du spectacle vivant, et donc le cinéma, sont des activités fondées principalement sur la contribution humaine et offrent de ce fait un faible potentiel de gain de productivité. Toujours pour Laurent Creton, la véritable productivité

L’effet accélérateur (lorsque le capital est pleinement employé, une variation de la demande finale va induire une variation plus que proportionnelle) peut provoquer des décalages qui seront source de déséquilibres et de crises. Selon l’américain BAUMOL, ce qui fait la supériorité du capitalisme dans la production des richesses n’est pas la simple accumulation mais plutôt les multitudes d’innovations et les capacités de diffusions, tout comme SCHUMPETER le disait, avec le processus de destruction

qu’elle voulait. Dans les années 70, un économiste de l’université de Chicago a étudié la situation : Stigler, Becker, Posnet et Pettzman => ils se situent entre le droit et l’économie. Dans les années 80’s, on a commencé à démanteler à AT&T => Baumol, Panzar et Willig = théorie des marchés contestables et ils ont fait des études prouvant que AT&T n’est pas un monopole naturel. Entreprise pionnier dans le haut débit. SECTION 5 - Les nouveaux Médias 1) vers de nouvelles formes de concurrence

boursière autourdu développement des nouvelles technologies, les dirigeantscontinuaient de prévoir un développement très important sur lesmarchés de l'énergie mais aussi sur tous les marchés faisantappel à la gestion des dérivés. Comme le notait déjà Baumol(1959), les dirigeants sont souvent incités à poursuivre lacroissance plutôt que la recherche de la rentabilité. Dans le casScandales Financiers 18d'Enron, les dirigeants souhaitaient croire que les deux allaientnécessairement de pair.b) Le non exercice

montrer, par transitivité, le rôle de ces équipements dans la diffusion spatiale de la croissance. III.4 L'APPROCHE EN TERMES DE CONVERGENCE CONDITIONNELLE Le test de convergence du produit par tête a fait l'objet de nombreux travaux initiés par BAUMOL (1986) et BARRO (1991). L'approche en termes de convergence conditionnelle cherche à évaluer dans quelle mesure l'effort d'investissent public relatif d'un pays contribue à son rythme de croissance par rapport à d'autres pays. Les résultats disponibles

Les modèles de régulation optimale s'inscrivent dans la seconde alternative ; à leur base, W.J. BAUMOL [1952] a adapté les modèles élaborés pour la gestion de stock des matières premières, puis l'effort s'est porté sur l'amélioration des hypothèses de base par TOBIN, MILLER et ORR, SPRENKLE... 1.1. Les modèles théoriques 1.1.1. Le modèle de base de W.J. BAUMOL Le modèle de W.J. BAUMOL est issu d'une réflexion sur les causes de la détention d'une encaisse par les entreprises : puisque

social affectent également, sinon davantage, l’économie du bien-être. Vers le milieu des années soixante, William Baumol remarquait judicieusement que « les études sur la portée de l’économie du bien-être » commençaient à « ressembler à s’y méprendre à des avis de décès » (p. 2). C’était sans nul doute une interprétation correcte des points de vue qui prévalaient alors. Mais, ainsi que Baumol lui-même le faisait remarquer, nous devons évaluer la justesse de ces points de vue. Nous devons, tout spécialement

est également multi-composantes et tend à dégager, au moins, deux figures d’entrepreneurs et quatre rôles entrepreneuriaux principaux. Les figures sont celles de l’entrepreneur-organisateur d’activités économiques et de l’entrepreneur-innovateur (Baumol, 1993). L’entrepreneur, dans le système économique, joue quatre rôles fondamentaux (Landstrom, 1998). Il peut être assimilé à un « risk-taker/risk manager » (Cantillon, Say, Knight) ou à un « innovator » (Schumpeter). D’autres voient en lui un «