Baumol

résulte de l’activité d’une firme naissante ou d’une firme bien établie. Désormais, les économistes s’accordent pour reconnaître que la structure de la grande entreprise n’est guère favorable à l’innovation de produit radicale (Christensen, 1997, Baumol, 2001, Papillon, 2005) et que les PME sont mieux placées pour mettre en oeuvre ce type d’innovations. En outre, une bonne partie des innovations est due à l’entrée de nouvelles entreprises, tout particulièrement dans le secteur de la haute technologie

(1954) : taux de profit moyen dans l’économie américaine faible Pouvoir de marché faible. Resultat consistant avec la vue de l’école de Chicago que le pouvoir de marché ne peut pas persister : théorie des marchés contestables (Baumol, Panzar & Willing 1982). - Une Approche alternative : coût marginal (Cm) obtenu en dvisant l’accroissement du coût entre deux années succesives par l’accroissement du niveau de production. [pic] Hall (1988) : prix peuvent

que le marché de l’art, qui repose sur la créativité pure des artistes. Cependant cela n’exclut pas le fait que les métiers d’art sont au cœur de l’industrie du luxe. En fait, cette dernière est définie comme une industrie progressive au sens de W. Baumol, dont la productivité s’évolue avec les innovations technologiques et organisationnelles. (Le secteur d’art vivant est un contre-exemple donné dans la théorie, car on ne peut pas jouer Mozart plus vite. L’évolution de technologie menace l’identité

interaction entre la demande de monnaie et l’activité économique puisque pour KEYNES le taux d.intérêt joue un rôle central dans la décision d’investissement et, par ce canal, sur le niveau de l’activité. Cette approche a donné lieu à deux extensions. BAUMOL a montré que même en se limitant au motif de transaction, il était possible de faire apparaître une influence du taux de l.intérêt sur la demande de monnaie, dès lors que l’on prenait en compte les coûts de transaction. Et TOBIN a montré que si l’on

gains de productivité pris comme secteur de référence lors des négociations salariales. Cq : secteur à faibles gains de productivité connaissent une hausse des salaires supérieurs aux gains de productivité d’où augmentation des prix. CF modèle de BAUMOL). II- inflation peut également résulter d'un accroissement de la demande globale. (i) chez KEYNES, inflation par la demande surgi lorsque l'économie se trouvant en situation de plein-emploi. (ii) selon la théorie quantitative, l'inflation par la

grandes entreprises ne sont le fait de la famille, mais de société de capitaux en société anonyme. On a des dirigeants, ou managers, investissent le capitale humaine, ce qu’ils visent est le statut, et les principaux, qui veulent la rentabilité. Baumol : la recherche de la maximisation du profit n’est pas le seul objectif. Il faut de la stratégie pour permettre la croissance. Coase : la firme est un quasi marché, elle est capable de se coordonner, s’organiser une hiérarchie, fournir au marché

rémunérateurs) Concurrence monopolistique (Chamberlain) = Situation de concurrence dans laquelle les entreprises différencient tellement leurs produits qu’elles se trouvent disposer d’un certain monopole pour leurs propres produits Marché contestable (Baumol) = Libre entrée et sortie du marché Conseil de la concurrence : Créé en 1986 : Organisme indépendant des pouvoirs publics qui met en place la politique de la concurrence. (Veille au respect des règles d’équité) La régulation de l’économie par

toutes les écoles que l’on vient de citer. Dans les théories de la firme il y a deux grands courants. - la théorie managerielle - la théorie behaviouriste La théorie managerielle de la firme : Principaux auteurs : Williamson, Marris, Baumol, Machlup Hypothèses : Les grandes firmes sont dirigées par des managers salariés, ces managers recherchent leur propre satisfaction à partir de facteurs comme le salaire, le prestige et le statut social. Cela a pour conséquence la recherche d’une

boursière autour du développement des nouvelles technologies, les dirigeants continuaient de prévoir un développement très important sur les marchés de l'énergie mais aussi sur tous les marchés faisant appel à la gestion des dérivés. Comme le notait déjà Baumol (1959), les dirigeants sont souvent incités à poursuivre la croissance plutôt que la recherche de la rentabilité. Dans le cas d'Enron, les dirigeants souhaitaient croire que les deux allaient nécessairement de pair. b) Le non exercice par

Perspectives 16(2), 23–46 • 2005, avec M. Becker, N. Lazaric et Sidney G. Winter, Applying organizational routines in understanding organizational change, Industrial and Corporate Change 14:775-791 Littérature secondaire • 1983, William J. Baumol, commentaire du livre de Richard R. Nelson et de Sidney G. Winter, An Evolutionary Theory of Economic Change, Journal of Economic Literature, 21, (2), June, pp580-581 • 1984, Kenneth E. Boulding, commentaire du livre de Richard R. Nelson et de