Bce Dans La Mondialisation

prépondérant : un plan de sauvetage du secteur bancaire a en effet été orchestré par les Etats avec des dotations en capital, des prêts d’urgence, des nationalisations et les taux d’intérêts directeurs faibles pratiqués par les banques centrales (BCE, Fed…). Autrement dit, tout a été mis en œuvre pour éviter le naufrage du secteur bancaire. En attestent les 25.5 milliards de livres injectés en novembre 2009 dans la Royal Bank of Scotland pour sauver l’établissement de la faillite (art 2), mais

l’administration centrale. Cette définition repose sur une définition harmonisée du secteur émetteur, du secteur détenteur et du secteur neutre. - le secteur émetteur = IFM (institution financière monétaire) o les banques centrales (BCE et BCN (banque centrale nationale)) o les établissements de crédit (EC) (banques principalement) o autres IFM (principalement les organismes de placement collectif en valeur mobilière (OPCVM : organismes gérant collectivement des

fiduciaire et scripturale ; les instruments de paiement. - La masse monétaire ; le crédit. - La Banque centrale européenne (BCE). - Les capacités et les besoins de financement. - Les financements direct et indirect. 11/14 THÈMES 2 – La mondialisation de l’économie (Durée indicative : 30 heures, cours et travaux dirigés) SENS ET PORTÉE DE L’ÉTUDE La mondialisation implique l’émergence d’enjeux de portée, non plus locale ou nationale, mais mondiale et l’interdépendance universelle des économies

l’inflation par des taux d’intérêt très élevés qui ont déprimé l’activité économique et provoqué une envolée du chômage. • Elle est utilisée aujourd’hui de façon plus pragmatique : la banque centrale européenne (BCE) a pour mission de contenir l’inflation sans porter préjudice à la croissance. La BCE mène une politiuqe monétaire unique pour les douze pays membres de la « zone euro », en concertation avec les banques centrales nationales. 4) Une politique d’encadrement et d’environnement : a- La réglementation

II quels sont les acteurs et les lieux de la mondialisation ? A / La mondialisation est promue par les Etats 1 /les plus puissants s’appuient sur des organisations internationales qu’ils ont créées et qu’ils financent ¤ 4 organisations internationales très puissantes - L’OMC (Organisation mondiale du commerce). En 1995, elle succède au GATT (le General Agreement on Tariffs and Trade) créé en 1947. Fonctions : elle reprend les mêmes buts que le GATT : favoriser le libre échange, lutter contre le protectionnisme

les économies développées ont davantage été marquées par un ralentissement de la croissance que par une véritable crise entre les années 1970 et 1990) Depuis les années 1980, un retour des crises financières dans un contexte d'accélération de la mondialisation : le passage d'une éco d'endettement, fortement encadrée par l'Etat, à une éco de marchés financiers (expression de J. HICKS au milieu des années 1980) a augmenté le risque de crises boursières et financières en raison de la forte progression

se multiplient, les banques réduisent le risque du crédit. Elles accordent moins de crédits aux ménages et aux entreprises (« crédit crunch ») et elles augmentent leurs taux d'intérêts ce qui renforce les difficultés économiques. Du fait de la mondialisation, la concurrence est plus forte, le progrès techniques et les délocalisations permettent une baisse des prix. La déflation sera donc un risque d'autant plus important qu'il y aura une baisse de la demande. Ce qu'il faut retenir: La déflation

en cas de baisse des prix de ces avoirs. Ex : les Valeurs Mobilières Privées (actions et obligations) ou Publiques (emprunts des administrations et SQS publiques). Depuis janvier 2002 les billets sont émis par la Banque centrale européenne (BCE). Les Banques Centrales de chaque État de la zone euro assurent la gestion de la monnaie matérielle sur leur territoire. Elles se chargent de leur fabrication dans leurs propres usines et de leur émission qui correspond à leur comptabilisation à leur

progressives La crédibilité est nécessaire pour rendre la lutte contre l’inflation moins douloureuse Le choix du système de changes flottants Des recommandations perturbées par un environnement en mutation Les pratiques des banques centrales : la Fed et la BCE L’expérience américaine L’expérience européenne 2.3 Les failles du monétarisme Une incohérence au cœur du dogme monétariste « Quelque chose de cassé » du côté des agrégats Un dérapage monétaire sans inflation est-il possible ? L’introuvable

politiques monétaires a été profondément modifiée par l'élargissement des prérogatives et l'extension des moyens d'action des banques centrales. La stabilité des actifs et le contrôle du crédit pourraient ainsi relever à l'avenir des compétences de la BCE. Le cadre réglementaire de l'Union européenne serait alors idéal pour articuler un pilotage monétaire au niveau communautaire avec une gestion plus fine des marchés financiers aux niveaux local et national. 5. Les réponses de long-terme à la crise et