Bce Dans La Mondialisation

difficultés structurelles de la zone Euro. Conclusion Bibliographie Parallèlement à l’ouverture internationale, les Etats rentrent dans des logiques d’intégration régionales qui peuvent favoriser et accompagner le mouvement de mondialisation et peuvent aussi permettre d’en contrôler les effets voire de la réguler. L’intégration régionale est un processus qui conduit plusieurs économies distinctes à former un seul espace économique ayant passés des accords régionaux (zone de libre-échange

politiquement et économiquement • Impossibilité pour les pays de s’accorder et de se prononcer d’une seule voix • Économie mise à mal par la mondialisation ( Citoyen doute de l’Europe Missions pour les nouveaux « Etats-Unis d’Europe » : • Développement d’une stratégie socio-économique communautaire en réponse à la mondialisation (affaiblissement extérieur) et le vieillissement de la population (affaiblissement intérieur) sur base de la convergence de tous les Etats en

du capital de la BCE sont détenue par des états hors de la zone euro. 37% pour l’Allemagne, 20% pour la France -Le directoire de la banque européenne gère la banque au quotidien. Président : DRAGI Vise président + 4 autres personnes -Le conseil des gouverneurs : gouverneur des banques centrales de la zone euro 18 gouverneurs. -Le conseil général : On inclue les gouverneurs des banques centrales de la zone euro et ceux hors de la zone euro. = Organes de la BCE Eurosystème :

internationales et transversales sur les questions sociales, environnementales et de paix. Parmi ces valeurs mises en avant, nous pouvons citer la démocratie, la justice économique, la sauvegarde de l'environnement, les droits humains en vue d'une mondialisation maîtrisée et solidaire. Depuis quelques années, certains des acteurs et événements qui ont le plus fortement incarné les aspirations altermondialistes sont en difficulté. C’est tout particulièrement le cas en France mais aussi en Italie ou en

financement des entreprises en Europe et aux Etats-Unis dans les années 2000 (en %, moyenne 2000/2010) Banks : financement bancaire. Non-Bank : financement non-bancaire. Euro Area : zone euro. United States : États-Unis. Source : Bulletin mensuel de la BCE b) Les collectivités publiques Le marché primaire est également accessible aux collectivités publiques (État, collectivités locales) qui peuvent y réaliser des emprunts obligataires. L’État est par exemple amené à emprunter sur les marchés financiers

guerre commerciale sino-américaine, la nécessité d’une transition écologique, le groupe des pays « frugaux » 3- des divisions politiques récurrentes et des lenteurs administratives qui perdurent, le risque d’effet domino du Brexit B) mais la BCE a déjà une fois sauvé la zone euro 1- l’euro était voué à l’échec pourtant Draghi « whatever it takes » 2012, la seule institution supra-nationale 2- une politique unique qui produit des effets différenciés (sous-évaluation pour l’Allemagne

çèL'instabilité, au cœur de la finance globalisée Par Henri Sterdyniak, directeur du département économie de la mondialisation de l'OFCE Henri Sterdyniak : directeur du département économie de la mondialisation de l'OFCE Alternatives Economiques - Hors-série n°76 - Février 2008 La finance internationale crée chaque jour de nouveaux risques, que personne n'est en mesure d'évaluer. Et aucune conséquence n'a été tirée des crises précédentes. En l'espace d'une trentaine d'années, un vaste marché

fait, si de nombreuses informations sont disponibles sur les banques, elles sont souvent fragmentaires, incomplètes et diffuses, malgré ou peut-être à cause du grand nombre d’intervenants qui les rassemblent (Banque de France, Commission bancaire, BCE/SEBC, Fédération bancaire française, Association française des banques...). De plus, ces informations sont, pour l’essentiel, collectées et organisées à des fins monétaires ou prudentielles et sur une base comptable et non selon une logique de métiers

entier dans une crise sans précédent. Les pays et les banques européennes, de part leur endettement profond, ont fragilisé toute la zone Euro. Ajoutez à cela une dette public (des Etats-membres) considérable, la réticence, en début de crise, de la BCE à mettre à disposition des liquidités pour renflouer le système et le camouflage grec de leurs comptes et vous obtenez une situation proche de la banqueroute pour certains pays de l’Union Monétaire. On l’a d’ailleurs frôlé avec la Grèce en 2011 mais

probable qu’il soit également au cœur de l’élection présidentielle américaine de 2008. Cela reflète l’inquiétude des Occidentaux face à la montée inexorable du phénomène de délocalisation, sorte de point emblématique des effets négatifs de la mondialisation. Nous y reviendrons, mais soulignons dès à présent que les termes « délocalisation » et « externalisation » sont souvent utilisés, à tort, de façon interchangeable dans le débat actuel. Or, il s’agit de deux stratégies distinctes, aux logiques