Bear Stearns

crise des subprimes :été 2007, le président de la banque centrale Américaine :Ben Bernanke, dès le début de la crise, il n’hésite pas à injecter des liquidités considérables dans l’éco pour sauver la banque d’investissement :Bear Stearns et les grandes agences de refinancement hypothécaire Freddie Mac et Fannie Mae. Coup d’envoi de la crise : faillite banque Lehman Brothers. Crise des subprimes = crise automobile (General Motor en faillite, Toyota subit des pertes) et immobilière

Focus, Drake, Blue River, D.B. Zwirn, Pardus, Sailfish, Tisbury, JMW Partners, Platinum Grove, plusieurs fonds de Citigroup. Certains Hedge Funds ont d’ailleurs abandonné leurs prime brokers à cette occasion, au premier rang desquels figurait Bear Stearns, précipitant la faillite de ce dernier. Autant en mars 2008 qu’en août 2007, on a donc observé une surréaction des pertes globales des Hedge Funds vis-à-vis de ce qu’elles auraient dû être sur la base de leurs niveaux d’exposition, simplement à

suivi en juillet par l’entrée dans le capital de la banque britannique Barclay’s (ayant de nombreux intérêts aux Etats-Unis), leur participation a varié entre 3 et 6% du capital selon les levées de fonds. Bien qu’alléchante, la proposition faite à Bear Stearns pour un montant d’un milliard de dollars fut rejetée en octobre. Néanmoins, en décembre 2007, le fond CIC fit l’un de ses plus gros investissements à travers la banque d’investissement Morgan Stanley : 5,5 milliards de dollars pour un total de

qu’il n’est souhaitable ou acceptable. Dans sa structure, le marché des CDS est semblable à celui de l’ensemble des produits dérivés, moins de dix dealers se partageant la majeure partie de ce marché. L’incidence potentielle d’un dépôt de bilan de Bear Stearns et AIG sur le marché des produits dérivés OTC, qui comprend les contrats de CDS, a probablement été l’un des facteurs qui ont influencé la décision du Système fédéral de réserve et du Trésor américain de soutenir le sauvetage de ces deux entreprises

autour du crédit, puis le vecteur de la violente contraction de la liquidité qui menace de se transformer en déflation. Elles ont rythmé le calendrier du choc : arrêt du marché interbancaire le 9 août 2007, panique sur Nothern Rock, sauvetage de Bear Stearns le 17 mars 2008, nationalisation de Fannie Mae et Freddie Mac le 7 septembre, faillite de Lehman Brothers, le 15 septembre, qui restera comme la plus grande erreur économique depuis le relèvement des taux de la Fed au lendemain du jeudi noir d’octobre

variable, voyaient en ces temps de crise leurs mensualités dues se gonfler. Leur insolvabilité ne faisait que se confirmer entraînant de grosses pertes pour les banques américaines. Le 20 juin 2007, deux fonds spéculatifs de la banque américaine bear stearns font faillite, c’est le premier acte de la crise économique mondiale de l’après guerre .Ces fonds œuvraient dans le marché des produits dérivés des subprimes, des crédits accordes à des ménages modestes pour acheter leur logement et gagés sur sa

qu’il n’est souhaitable ou acceptable. Dans sa structure, le marché des CDS est semblable à celui de l’ensemble des produits dérivés, moins de dix dealers se partageant la majeure partie de ce marché. L’incidence potentielle d’un dépôt de bilan de Bear Stearns et AIG sur le marché des produits dérivés OTC, qui comprend les contrats de CDS, a probablement été l’un des facteurs qui ont influencé la décision du Système fédéral de réserve et du Trésor américain de soutenir le sauvetage de ces deux entreprises

après sa création sur Euronext. Il a entraîné dans sa chute son prime broker Bear Stearns, la banque d’affaire qui était déjà gangrenée par de multiples pertes sur les crédits titrisés dues à des hedge funds qu’elle avait elle-même créés. Ce fonds a été incapable de trouver le financement de $400mil d’appel de marge. Cet épisode de la crise a provoqué une réponse de la Réserve Fédérale pour éviter la faillite de Bear Stearns, une pure banque d’investissement qui n’était pas sous la juridiction de la

de la BC) Hausse des taux interbancaires d’où resserrement des conditions d’accès aux crédit → credit crunch Remarque : les BC continuent toutefois d’intervenir exceptionnellement pour aider les banques « too big to fail » : cf Northern Rock, Bear Stearns… Séminaire Master 2 Macroéconomie financière et développement, Université du Sud Toulon Var 78 2.2 Les interventions des banques centrales  Le PDR en action  Assèchement de la liquidité Liquidité banque centrale vient prendre

faillite à la chaîne, comme des dominos, et c'est ce que les Banques centrales ont voulu éviter à tous prix. Leur action s’est concentrée sur 2 points : les banques ayant trop de pertes, comme Northern Rock au Royaume-Uni, Sachsen LB en Allemagne, Bear Stearns et Merrill Lynch aux Etats-Unis, ont été « sauvées » : Northern Rock a été rachetée par le gouvernement britannique ; les trois autres ont été rachetées par des banques privées sous l'impulsion des Pouvoirs publics. Ces rachats posent un important