Beau Travail

possible de donner une définition objective du beau Le beau est subjectif→ il n’existe aucun critère objectif pour juger du beau. Une solution→ déterminer non pas ce qu’est le beau en tant que tel, mais ce qu’est beau par la reconnaissance par le plus grand nombre, de choses belles. L’ambition platonicienne de définir un concept et des règles universelles du beau → conception « classique » du beau → exigences de perfection, de simplicité, d’harmonie

Intro : poésie = associée à la beauté >perfection de l’expression. => « beau poème » pléonasme, une redondance. « beau poème » = définition hautement subjective, qui dépend de sa culture, de sa conception de la poésie, de ses goûts et de son humeur. => « Qu’est-ce qu’un beau poème sinon une folie retouchée ? » => oxymore => En quel sens peut-on dire qu’ « un beau poème » est « une folie retouchée ? » N’y a-t-il pas d’autres définitions possibles, toutes aussi pertinentes 

Ecrire une nouvelle fantastique J e me réveille comme chaque jour à 7h00. Ma routine quotidienne : je me lave, m’habille, déjeune et me dépêche pour me rendre sur mon lieu de travail. Rien d’extraordinaire en soit. Comme chaque jour, je m’installe à mon petit bureau où ma seule occupation est de pianoter sur mon ordinateur. Quelque fois la sonnerie stridente de mon téléphone me tire de mon ennui. Rien de très important, une réparation à effectuer. Pour quelles autres raisons est ce qu’on m’appellerait 

présuppose que l’on est souvent tenté de convaincre autrui, que nous avons pour habitude de vouloir à tout prix faire partager notre admiration. Une telle question présente des enjeux conséquents. En effet, il y va non seulement de l’universalité du beau, mais aussi et avant tout du respect de la subjectivité d’autrui. L’enjeu ontologique de la question est essentiel : c’est tout simplement la subjectivité, la liberté de notre semblable qui est en jeu ici ! Afin de mener à bien notre investigation

..............................................................33 II...............................................................................................................................................................................33 LE BEAU NAVIRE.................................................................................................................................................34 L'IRREPARABLE................................................................................

langoureux vertige!Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige, Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir; Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille tout vestige! Le soleil

tyrannie de la beauté » Par Rachel Duthoy Travail remis à Monsieur Nicolas D’Ulisse Professeur Dans le cadre du cours 601-GAB-04 Communication, langue et littérature Groupe 108 Cégep de Saint-Hyacinthe 29 janvier 2010 Compte-rendu de lecture « La tyrannie de la beauté » par Jean-François Dortier. Ce que l’auteur désir transmettre comme message c’est que la beauté est injuste, ce qui veut dire que ceux qui ont un beau physique ont plus de chance dans leur vie sociale

 Jade Forest-Marcoux PHILOSOPHIE ET RATIONALITÉ 340-101-MQ Gr:00010 Examen connaissance 2 Doit-on connaître pour aimer ou aimer pour connaître? Travail présenté à Monsieur, Serigne Touba Mbacké Gueye Programme tremplin DEC Cégep de Granby Haute-Yamaska Lundi 4 novembre 2013 Les hommes vivant en communauté sont souvent prédisposés à ressentir un sentiment

l’art sans le beau ? L’art n’a-t-il pour but que lui-même, comme le pensaient Théophile Gautier puis les poètes parnassiens ? Mais qu’est-ce que l’art ? Et quoi est beau ? Enfin, l’art et le beau sont-ils complémentaires, dépendants l’un de l’autre ? Une œuvre d’art doit-elle être belle, ou peut-elle ne pas l’être ? En somme, qu’est-ce que l’art sans le beau ? Dans un premier temps il s’agira de s’interroger : qu’est-ce que l’art ? Ensuite, nous nous demanderons quel rapport le beau a-t-il avec

distance existant entre la chose représentée et son imitation : L’imitation ressemble à cet objet mais n’est pas lui, elle résulte du travail de l’artiste, de la manière dont il met en forme son modèle. L’imitation peut donc être belle, en tant que fruit de l’élaboration de l’artiste, à partir de n’importe quel modèle, et même si ce modèle n’est pas beau en lui-même. L'imitation consiste en effet à reproduire la « forme » de l'objet sur une autre scène et dans une autre « matière », à la