Bell Mobilité

entraine donc une sorte de reproduction sociale, visible dans le document 1 : Entre 1920 et 1925, sur 100 ouvriers, plus de la moitié eurent un fils d’ouvriers, alors que seulement 5.6 eurent des enfants cadres. Aussi, existe-il l’illusion d’une mobilité sociale, pouvant permettre une homogénéisation des classes. Dans le document 6, Louis Chavel exprime que la théorie d’homogénéisation des classes sociales est erronée. En effet, la dynamique sociale actuelle ne permet pas l’ascension sociale, mais

secteur tertiaire, les services, au désavantage de l'industrie et de l'agriculture apparaît. C'est un cercle vertueux qui se met en place. En effet, il y a une hausse du niveau de formation qui entraine l'accès à des postes plus qualifiés et donc une mobilité sociale ascendante. Par la suite, apparaissent des facteurs sociaux et politiques. L'égalisation des conditions de niveaux de vie appuie la théorie de l'idéal démocratique de Tocqueville qui laisse entendre que la démocratie doit être aussi vue

individu (identifiée par la PCS du père) et la PCS qu’il occupe dans sa vie active. Les destinées peuvent se lire dans les tables de mobilité sociale et permettent de mesurer la mobilité sociale* intergénérationnelle. Recrutement : comparaison entre la position sociale d’un individu et celle des son père, repérées par leur CSP respective, permettant de mesurer la mobilité sociale intergénérationnelle (voir destinée*). Équité : principe de justice sociale selon lequel l’individu doit être traité

9es Journées d’études Céreq – Lasmas-IdL, Rennes, 15 et 16 mai 2002 « Formation tout au long de la vie et carrières en Europe » De l’immigration étrangère parentale à la mobilité sociale des jeunes adultes : lignée familiale et dynamiques professionnelles individuelles au début des années 1990 Jean-Luc Richard, Anne Moysan-Louazel Les vingt dernières années ont montré l’acuité des débats sur le « devoir d’insertion » que la société française devrait avoir à l’égard des jeunes adultes, notamment

? dissert p 172/173 ou ECJS I I – LA MOBILITE SOCIALE Intro : les enjeux de la mobilité sociale A. La mesure de la mobilité sociale Comment fait-on pour mesurer, au sein d’une société démocratique, la possibilité offerte aux individus de quitter leur milieu d’origine ? et ds notre société, cette possibilité est-elle (statistiquement) forte ou non ? a. définitions b. lecture d’une table de mobilité doc 36/37 p 159 c. interprétations

les facteurs qui affaiblissent son rôle dans cette recherche d’égalité démocratique ? L’école apparait dans un premier temps comme un facteur de mobilité sociale et de lutte contre les inégalités. Cependant nous verrons dans un second temps que son rôle tend à s’affaiblir avec la tendance croissante à la reproduction sociale. I) l’école facteur de mobilité sociale  A) l’égalité des chances, finalité prioritaire de l’école républicaine L’une des fonctions principales de l’école de la République

chef d’entreprises, sont devenus cadres ou exercent une profession intellectuelle supérieure. Il y a donc une ascension sociale. 2. A quoi peut-on attribuer la forte mobilité sociale des agriculteurs ? (document 1) On peut attribuer la forte mobilité sociale des agriculteurs, par le fait tout d’abord d’un phénomène de mobilité structurelle. En effet les agriculteurs-exploitants ont été victime du progrès technique (outillage, engrais, pesticides, OGM…). De plus, avec la grande distribution, les

Les enjeux et déterminants de la mobilité sociale. Comme les inégalités structurent la société en groupes distincts hiérarchisés et que les statuts sociaux ne sont pas assignés par la naissance (ils ne sont pas héréditaires), normalement les individus doivent pouvoir circuler entre ces groupes sociaux. Etudier la mobilité sociale, c'est se demander dans quelle mesure les statuts sociaux sont héritables : plus ils le sont, moins la mobilité est grande, plus les inégalités risquent d'être ressenties

on peut critiquer le discours de Durkheim. Pour Dubet, l'école n'a jamais été démocratique. En effet, il ne s'agissait pas de bouleverser la hiérarchie sociale, l'objectif de l'école n'était pas de favoriser l'égalité des chances ("le thème de la mobilité sociale par l'école est très peu présent chez les pères fondateurs de la laïcité .. il est quasiment absent des textes de Durkheim sur l'éducation et la République " ). L'école formait l'élite. Elle accueillait les meilleurs. La mission de l'école

« Expliquez l'impact de l'investissement sur la croissance », « Analysez la mobilité sociale en France », « Justifiez … », « Vous montrerez … », « Quelles sont les causes de … ?», "en quoi ...", etc. Les plans-types dépendent de la question posée : -          Si le sujet porte sur la totalité du phénomène, alors il faut privilégier un plan en CONSTAT / CAUSES / CONSEQUENCES Exemple : « Analysez le rôle de l'école dans la mobilité sociale », -          Si le sujet porte sur un aspect du phénomène