Berbères

campagnard près de Tlemcen. En fait, la description est si rigoureuse qu’on peut réaliser un croquis de l’itinéraire de Bni Boublen. Par ailleurs, l’étude onomastique de la topographie montre que tous les noms des sites sont de consonance arabo-berbère ; scharf (lieu très haut) el-Ghorab (corbeau, oiseau de mauvaise augure, symbole de mort et signe de mauvais présage), Saf-Saf (arbre très haut), Aïn el-Hout (Aïn montre la présence d’une source, el-Hout veut dire poisson, cet endroit est peut-être

pas de statistiques officielles, mais il est estimé que près 60% de la population possède une origine berbère (40% pratique une langue berbère). Les Arabes constituent donc à peu près 40% de la population. Il y a de très petites minorités d'Haratines et de Juifs Langue officielle : Arabe Autres langues parlées : 60% de la population parle l'arabe marocain alors que 30% à 40% parle le berbère qui s'apparente à l'égyptien des temps anciens. Le français est la deuxième langue du Maroc et occupe

des premiers romans d’auteurs algériens d’expression française publiés durant la période coloniale. Un roman qui regorge de proverbes, de poèmes, de contes qui nous renseignent sur le patrimoine culturel d’un village kabyle, Tighilt, et du monde berbère, en général. Une histoire construite sur le modèle d’une fable qui se déroule à l’intérieur d’une société à structure patriarcale, de type collectif, organisée en « communautés » considérées comme des systèmes de places et de noms préassignés aux

la puissance militaire des souverains du Ghana ont fait qu’à la fin du X°s, les principautés berbères d’Aoudaghost et de Walata, les royaumes Mazzara de Tékrour, Barisa, Diara, Sosso, Silla, étaient incorporés dans l’empire. On peut distinguer deux groupes composant le peuplement de l’empire: un au Nord et l’autre au Sud. Les gens du Nord se composent des tribus nomades berbères ou Touaregs (Les berbères Macmouda au sud du Maroc, les Zenâta), les Sanhadja ( les Goddala, les Messoufa, les Lemtouma

centre de tout. Si cette « vision androcentrique » est plus ou moins marquée en fonction des sociétés, il semble qu’elle atteigne une forme poussée chez les Berbères de Kabylie. Bourdieu a regardé cette société qui fournira une image grossie de ce qui se passe dans nos propres structures sociales. Bourdieu montre que ce qui apparaît aux Berbères comme "l’ordre naturel des choses" est en faite une hiérarchie sociale qui se repose sur la domination des hommes. Leur façon de penser associe des activités

faux dans un domaine où ils sont passionnément mêlés : l’écriture de l’histoire, à commencer par celle des civilisations arabe et berbère. Paradoxe du génie : Ibn Khaldûn est un savant de son époque et de son temps. Son immense culture et sa curiosité intellectuelle insatiable lui permettent de brasser les apports les plus divers, arabes, grecs, hébreux, perses, berbères, romains, byzantins, dans une synthèse ordonnée. Mais, en même temps, sa pensée rompt à ce point avec l’horizon d’attente de son

du leader égyptien Gamal Abd el Nasser. De son côté, le Machrek entretenait une image opposée du Maghreb, le considérant comme moins arabe, moins islamique que lui-même, et ceci pour deux raisons. La première était l’importance des populations berbères : celles-ci, parlant une langue non arabe, apparaissaient plus ou moins comme des îlots qui auraient échappé à l’action d’arabisation –islamisation, témoignant en quelque sorte par leur survivance, du caractère inachevé de cette action. La seconde

Ibn KhaldÛnUn pédagogue intemporel Sciences de l’éducation 1332 -1406 « Quant à nous, Dieu nous a favorisé de Son inspiration. Il nous a fait découvrir une science dont Il nous a fait l'interprète sincère et exact. Si j'ai pu exposer toutes les questions de cette science et distinguer ses points de vue et ses objectifs de ceux de toutes les autres disciplines, c'est grâce à l'aide et à la bonne direction de Dieu. Si j'ai omis un point quelconque, ou si j'ai confondu certains de ses problèmes

complexe. Elle est, comme chacun sait, axée sur trois pôles: une langue maternelle, arabe ou berbère, et deux langues écrites: l’arabe et le français, l’arabe écrit étant différent de l’arabe parlé souvent dénommé dialecte. Le problème ici est d’évaluer les conséquences culturelles de ce pluralisme linguistique. LA LANGUE MATERNELLE La langue maternelle est parfois un parler arabe, parfois un parler berbère. En aucun cas, cette langue n’est écrite. Depuis des siècles, le passage à l’écrit se faisait

femmes et des jeunes. 2- L'arrière pays de Marrakech: L'arrière pays de Marrakech est riche en ressources naturelles. Sa proximité de la chaîne du haut Atlas point culminant Toubkal 4165 m, les vallées de l’Ourika et de l’Asni jalonnées de villages berbères pittoresques, ainsi que, le parc national du Toubkal où on découvre une faune et une flore uniques au monde, autant d'atouts qui font de la région une destination incontournable. [pic] Partie 2 : étude du marché 1-Etude de l’offre : Le Maroc est