Bergson Art Imitation

c’est alors seulement que j’ai écrit ma pièce, en vingt-cinq jours. […] il faut que tout ce qu’on a lu vous pénètre pour que tout ce qui est entré dans l’inconscient ressorte librement » (eugène ionesco, « ionesco : “les paranoïaques de la politique”, art. cit. », p. 23). 60 • études littéraires – Volume 38 nos 2-3 – Hiver 2007 produite par la réécriture : il s’agit ici, comme le montre Gérard Genette4, d’une parodie sérieuse, qui ne se moque pas de la tragédie de Shakespeare, mais en radicalise

je les romantise1 ». En France, on a donné le nom de romantisme au grand courant littéraire qui a commencé aux environs de 1820 et s'est poursuivi jusqu'aux alentours de 1850, pendant la Restauration et la Monarchie de Juillet. Ce nom désigne un art où l'imagination et la sensibilité prédominent sur toute autre faculté de l'esprit. Plus généralement, il évoque des formules diamétralement opposées à celle de l'art classique des xviie et xviiie siècles. La définition du romantisme, c'est d'être

compétence de chaque homme. Quelle est celle qu’il attribue aux artistes ? Les artistes, selon lui, ne produisent que des simulacres, des copies de la réalité. Imitateur donc, l’artiste , en nous divertissant, nous détourne alors du Vrai. La belle imitation ne donne pas accès au Vrai mais seulement à une image déformée du Vrai. Or cette image, aussi inconsistante soit-elle du point de vue de la vérité, nous séduit, nous fascine, nous captive au point même d’oublier qu’il ne s’agit que d’une image. Les

consacre pas seulement de façon partielle à l’œuvre de Jean-Philippe Toussaint est celle de Mirko Schmidt13. Bien que cet auteur encore jeune commence à être connu mondialement, il y a donc toujours peu de littérature critique qui permette d’élucider son art d’écrire. On se voit donc principalement confronté à quelques interviews, à quelques essais et à une énorme quantité de trop courts commentaires dans divers journaux, qui s’intéressent souvent qu’à un seul livre et présentent des avis très divergents

A/Définitions 1. Art=activité artificielle par laquelle l-H crée qqchose qui n-est pas ds la nature. L-art fait partie de la culture. L-H produit des œuvres qui sont des représentations du réel. C-est un monde fictif. 2. L-art et la nature: problème de l’imitation 3. L-art se distingue des autres productions artificielles par le fait qu’il est

L’ARTCOURS : L’art est la recherchedubeau . I/ Qu’est-ce qui fait l’originalité de l’œuvre d’art ? Tout art en effet présuppose une certaine technique. Tout artisan n’est pas artiste. L’art présuppose un don qui relève de la nature et de l’inné. Parler de beaux-arts indique que la fin de l’art est la beauté. Une œuvre d’art est désintéressée. La création artistique n’est nullement réductible

sentir et de penser. L’image empêche t’elle de présenter à la pensée une occasion de réfléchir, peut-être nous désapprend-t-elle à penser en ce substituant au concept ? L’image n’a pas toujours les moyens de son ambition : ni création, ni vraie imitation : elle déforme le réel. Elle unit ce que la raison sépare : apparence et réalité. Idée et affect. Etre et paraître. 3) Illustrations On peut considérer les courants religieux ayant proscrit l’usage de l’image, pour la raison qu’on ne pouvait

L'art suppose l'intention esthétique d'un artiste : le beau se trouve aussi dans la nature, mais ce n'est pas de l'art. Ce sens est le plus important. Histoire du mot : de l'artisan à l'artiste • D'abord, l'art est confondu avec la technique. Art vient du latin « ars », traduisant lui-même le mot grec « technè ». Au sens premier, l'art est le moyen de faire, l'aptitude à bien faire. C'est le métier, l'habileté, l'adresse (l'art médical...), un ensemble de techniques (les arts et métiers...)

(Schopenhauer) 25 2. L’art au service de la vie (Nietzsche) 26 3. L’art au service du bien (Tolstoï) 27 4. Le goût comme faculté éthique et politique (Kant, Arendt) 27 5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 28 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 30 Annexe 31 Résumé 31 La question de l’imitation de la nature 34 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 34 L’art ne vise pas à imiter la nature (Hegel) 34 La nature

libération suprême (Schopenhauer) 1 2. L’art au service de la vie (Nietzsche) 1 3. L’art au service du bien (Tolstoï) 1 4. Le goût comme faculté éthique et politique (Kant, Arendt) 2 5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 2 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 2 Annexe 2 Résumé 2 La question de l’imitation de la nature 2 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 2 L’art ne vise pas à imiter la nature (Hegel) 2 La nature imite l’art (Goethe, Wilde) 2 Autres