Bergson Autrui Et Moi Social

comportements, une succession d'actes cohérents qui entrent dans la constitution de la personnalité. On voit bien qu'une telle notion est d'ordre psychologique qui fait que chaque homme a une individualité, une identité réelle qu'il peut rendre communicable à autrui. Mais une telle transparence n'est-elle pas un vœu pieu ? En tout cas toute conception du moi se heurte à des obstacles irréductibles : le moi est sous l'empire de réalités qui compromettent sa transparence. Le moi est une réalité qu'on peut prétendre

| | |* L’altérité s’oppose à l’identité. | |altruisme |Dévouement à autrui | | |La morale altruiste a pour finalité le bien de nos semblables.

pas de lieu commun, pas d'espace commun. Entre autrui et moi, il y a une distance. Cette distance est absolue car elle est la distance qui sépare deux sujets. Entre deux objets, la séparation n'est que relative, la distance est seulement spatiale, mesurable. Même entre deux objets aussi éloignés qu'on voudra, la distance est relative. Entre la Terre et une galaxie lointaine, la distance est considérable mais finie, limitée. Entre autrui et moi, la distance est infinie, absolue, incommensurable

inonder d’informations est la meilleure façon de désinformer et donc de mentir. Socrate est quelqu’un qui renonce à tout dire mais qui essaie de vivre en conformité à ses dire comme le suggère L’apologie de Socrate de Platon. B. Qui peut faire dire à autrui quelle est son authentique expression de soi ? Platon cependant dans sa description de Socrate ne rend pas compte du fait que le dire de Socrate vise à individualiser celui de ses disciples. La méthode d’interrogation socratique a des résultats plus

avoir entre le fait d’être avec la détermination intime dans lequel le sujet éprouve, fait l’expérience de ces déterminations, et le fait de paraître, qui semble échapper à ce même sujet, tant au moment de l’apparition qu’au moment de la saisie par autrui, car on ne peut pas maitriser la manière dont les autres nous perçoivent. Ces écarts eux-mêmes ne vont pas s’imposer certaines difficultés si on examine tout ce qu’ils présupposent, entre un être qui serait adéquat en toute chose et un paraitre qui

dire. Mais le naturalisme va engendrer un certain nombre de conséquences. A. Tout d’abord l’idée que le roman peut (doit?) jouer un rôle dans l’évolution sociale. Il peut agir sur celle-ci. On va donc s’efforcer de mettre en relief les enjeux du monde économique et politique. C’est non l’apparition, mais la continuité d’un roman social, qui s’appuie sur et illustre l’idée de Progrès et prône le refus de l’art pour l’art (contrairement au Parnasse par exemple). C’est le cas d’Anatole France

pâture aux bêtes fauves l’horrifie ; la représentation 23 Le sujet d’un châtiment divin outre-tombe le plonge dans la terreur. De ces peurs nées de l’imagination proviennent à leur tour des désirs corrompus, au premier chef desquels les passions sociales : je veux la gloire ou la célébrité, pour qu’il reste quelque chose de moi après ma mort, pour être certain également qu’on rendra à mon corps les derniers honneurs. C’est ainsi que la crainte de la mort rend possible une société ne se fondant plus

ambition humaine de plus en plus forte s'exprimant par la volonté de bénéficier des connaissances et des avantages mis au point par notre société technologique, de repousser les risques et les aléas, de consommer "librement". - des déséquilibres sociaux qui ne cessent de s'aggraver, avec en proportion, de moins en moins de riches de plus en plus riches et de plus en plus de pauvres de plus en plus pauvres, Au total la situation actuelle est et reste alarmante. Les ressources s'amenuisent, les inégalités

chez l'autre. Ainsi le rapport à l'autre homme est ce qui s'interpose toujours entre l'homme et les choses pour en instruire l'usage. Si l'enfant a tout à apprendre des hommes, ce n'est pas parce que l'homme est un animal social (car il ne semble pas que les autres animaux sociaux apprennent grand-chose les uns des autres), mais parce que l'homme a, d'entrée de jeu, une relation d'entente avec les autres, et qu'à celle-ci se subordonnent toutes les autres. Son corps n'est que le moyen par lequel il

expression peut prendre plusieurs formes elles sont au nb de trois : Orale Verbale : puisque les deux autres forme utilise le verbe. Ecrite Non verbale : traduit par les gestes, attitude… La communication est la base de toute vie sociale, le fondement impératif. Il n’y a pas que les êtres humains qui ont une communication les animaux également, les premières recherches sur la communication ont été réalisées à travers les animaux. Ex : Karl Von Frisch : a étudié la communication des