Bergson Commentaire

JAMES, William, Le Pragmatisme, Paris, Flammarion, coll. « Champs ». En entier. JAMES, William, La Volonté de croire, trad. Loÿs Moulin, Paris, Les Empêcheurs de penser en rond, 2005. Lisez le chap. 1 : « La volonté de croire ». Pour approfondir : BERGSON, Henri, La pensée et le mouvant, Paris, PUF, 2003, coll. « Quadrige ». Le chap. VIII : « Sur le pragmatisme de William James. Vérité et réalité ». GINZBURG, Carlo, « Signes, traces, pistes. Racines d'un paradigme de l'indice », Le Débat, n° 6, nov

productive alors que les partisans croit que l’on pourrait même sauvegarder des espèces en voie d’extinction. Comme le grand philosophe français, Henri Bergson l’a dit:“L’humanité gémit, à demi écrasée sous le poids des progrès qu'elle a faits. Elle ne sait pas assez que son avenir dépend d’elle.”. Je suis complètement en accord avec Mr. Bergson et je suis donc partisane du clonage. Je pense que le monde est assez mature pour contrôler et régulariser l’usage de cette technique de façon judicieuse

Philosophie Il est dans l'essence de l'homme de parler .Seul, l'homme est capable d'inventer des signes, de les utiliser intentionnellement et de les comprendre intellectuellement. Pour Bergson,l'homme est un animal parlant . Du coup il est possible de se demander si les animaux, les vrais, ont un langage propre. Premièrement , beaucoup d'auteurs défendent le fait que oui les animaux ont un langage mais différent de celui des humains et deuxièment que d'autres soutiennent l'idée que les animaux

relatif au pouvoir, ce que confirment, à leur manière, les deux documents cités précédemment.  L’auteur ajoute toutefois que les sentiments peuvent également être l’objet du rire comme le seront des sujets plus graves comme la maladie ou la mort. Bergson en revanche dans son essai consacré aux significations du comique intitulé Le rire (1899) estime que le rire ne frappe pas toujours juste. L’auteur souligne l’arbitraire du rire qui souvent prend pour objet des innocents et les frappe sous couvert

négligeable si l’économie de temps et de travail, réalisée ainsi par l’ensemble de la nation, permettait de pousser plus loin la culture intellectuelle et de développer les vraies originalités." Ce texte est écrit par Bergson et a pour thème la Technique. Dans cet extrait, Bergson dénonce le machinisme. Il explique que le reproche principal face a ce phénomène a été négligé puisque selon lui, le machinisme a conduit au luxe. « Quand on fait le procès du machinisme, on néglige le grief essentiel »

​Tout d’abord, Bergson développe donc l’idée de l’obscurité dans laquelle se trouve, sans en être pour autant conscient, chaque individu face au monde réel. En effet, si nous pouvions avoir une perception juste et directe des objets qui nous entourent, « nous serions tous artistes » (l.5). Ainsi, pour Bergson, l’art nous révèle ce que nous ne voyons pas. Selon son hypothèse, si aucune barrière ne s’élevait entre l’homme et la réalité, chacun serait artiste : dès le début du texte, Bergson nous annonce

l'économie, la linguistique, et l'histoire. Biographie Vie Émile Durkheim appartenait à une lignée de huit générations de rabbins[2]. Agnostique, il refuse de devenir rabbin, et entre à l'École normale supérieure. Il rencontre des hommes comme Henri Bergson ou Jean Jaurès et décide de défendre Dreyfus. Il obtient l'agrégation de philosophie en 1882. Cette éducation lui permet de s'inscrire dans une double tradition culturelle judaïque et classique. Il devient professeur et est notamment chargé des cours

condition (a priori) de toute expérience: elle est la forme ou le caractère de toute expérience que la conscience peut faire d'elle-même, mais aussi de tous les phénomènes extérieurs en tant qu'ils doivent prendre place dans notre expérience. Cf Bergson: il distingue la durée et le temps: la durée est vécue comme «une continuité indivisible de changement» alors que le temps est la mesure de la durée, c'est à dire sa projection dans l'espace qui est seul mesurable et divisible. -Temps = condition

Cela tient à un déséquilibre intérieur, à une inadaptation aux conditions normales de la vie en société. On en rit si le personnage nous paraît indigne de notre pitié. (L’impression de déséquilibre, d’inadaptation est l’essence du rire selon Henri Bergson ‘’le rire. Essai sur la signification du comique’’ 1900. Le rire est une punition de la société envers les êtres qui s’écartent de la norme.) Et l’habileté de Molière consiste à rendre son personnage suffisamment déplaisant ou bizarre pour

pourvoit. » - Henri Bergson http://apprendre-la-philosophie.blogspot.com/2009/04/bergson-liberte-egalite-fraternite.html La liberté est d'abord un droit naturel qui se proclame, mais qui contredit toute limite et génère même des inégalités. L'égalité est un droit positif qui se réclame, mais qui demande le respect d'autrui et donc impose des limites à la liberté. C'est en quoi ces principes sont contradictoires. http://apprendre-la-philosophie.blogspot.com/2009/04/bergson-liberte-egalite-fraternite