Bergson Qu Est Ce Qu Un Jugement Vrai

bavardage qui peut nous paraître futile? A La pensée hors du langage. Si je définis la pensée seulement comme raisonnement, jugement ou capacité de posséder des concepts, il semble que la pensée ne puisse ne se produire que dans et par le langage. Mais la pensée se limite-elle aux raisonnement logiques, c'est à dire à la capacité de juger en produisant des phrases? Selon Bergson, le langage, résultat de la pensée conceptuelle, est incapable d'exprimer la pensée pure que constitue la pensée intuitive

le philosophe qui s'enferme d'abord dans la pensée ne trouvera jamais une porte vers l'être, de même celui qui s'enferme d'abord dans le moi ne trouve jamais le chemin vers autrui." E. Mounier, Le personnalisme. PUF p.39 9- "La sévérité de nos jugements sur les autres tient d’ordinaire à ce que nous prenons notre idéal pour notre pratique et leur pratique pour leur idéal. " M. Blondel, L’action, p.169. 10- "Entre autrui et moi-même il y a un néant de séparation. Ce néant ne tire pas son origine

collective, réalisée par le monde scientifique. N'étant pas individuelle elle ne saurait être intéressée. Mais les groupes humains aussi ont des intérêts. Non : De manière générale rien n'est désintéressé. Il n'y a pas de volonté naturelle de savoir le vrai, la volonté de savoir est une modalité de la volonté, bien plus profonde, de ne pas savoir (Nietzsche). Un œuil sans volonté ne verrait rien. Le désir est la projection qui rend possible quelque chose comme la vision, l'entente, la compréhension (Nietzsche

Conférence sur l’âme, Bergson (φ 19ème s.)  Distinct° e./ Regarder / Voir semblable à celle e./ Ecouter / Entendre Ne pt-on ps envisager q l’art exprime cette réalité (= qu’en 1 sens il invente), ds la mesure où il est le révélateur de ce q la réalité ne donne ps immédiatemt à voir ?  Ainsi, Proust (écrivain 19ème s.) souligne q « le style pour l’écrivain, aussi bien que la couleur pour le peintre, est une question non de technique mais de vision ». Ds 1 mm perspective, Bergson montre q ds vie quotidienne

finitude. Le sujet humain n'est plus une prérogative, une intériorité sereine ou une intimité calme et profonde. Il n'est plus une transparence euphorique en quête de laquelle se mettait la philosophie antique ou rationaliste dans une doctrine du jugement. Le moi humain est un cogito blessé, un sujet aporétique qui, malgré des avancées historiques et des conquêtes rationnelles, demeure un être conditionné, fini, bref une identité problématique. Le travail, le langage, la logique du vivant prédéterminent

d’apparences et de reflets. Ce que nous connaissons n’est que le reflet d’une véritable réalité qui se trouve dans un autre monde : Le Monde Intelligible. Pour lui, si l’on en reste à la connaissance sensible, on est dans un faux savoir. Tous ces jugements manquent cruellement de certitudes, de vérité. Platon nous invite donc à nous dégager du sensible pour rejoindre les véritables essences. L’Etre véritable des choses sensibles ne se trouve pas dans le monde sensible mais dans le monde intelligible

indispensable entre moi et moi-même". Certains gestes nous sont inconscients ou habituels. Nous n'en prenons conscience qu'avec le regard des autres. On imagine alors quel serait leur jugement sur notre geste. Et là encore Sartre définit cette situation : " je reconnais que je suis comme autrui me voit". Le jugement hypothétique a un effet catalyseur sur notre personne : cela accélère la compréhension et l'analyse de nos actions. Exemple : un geste maladroit ou vulgaire qui précède un sentiment de

connaissances nouvelles. De ce point de vue la philosophie n'aurait pas sa place à l'école en effet on y parle de la vérité, de la beauté, du bonheur et de la justice bref, de choses que les élèves connaissent déjà, un enfant de 5 ans est capable de dire c'est vrai ou c'est faux, c'est beau ou c'est laid, c'est juste ou c'est juste, en tout cas qui d'entre nous va voir dans le dictionnaire quel est le sens de ces mots, conclusion la philosophie ne sert à rien ! Le père de la philosophie est Socrate, était un

que de manière inavouée révèle l’idée chrétienne que les plus grands pécheurs font les plus grands saints, est-elle satisfaisante ? Le désir de gloire quand il implique la violence peut-il être expérimenté dès lors qu’il sera nuisible à autrui ? A vrai dire l’histoire montre que cela a été le cas qu’on le veuille ou non. Mais à notre époque, l’humanité peut-elle risquer son destin en menant des guerres ? Une autre méthode peut être mise en avant entre les faiblesses de la réflexion et les risques

prétendre : "oui j'ai choisis celui que je suis" ou a l'inverse " non je n'ai pas fait ce choix". ------------------------------------------------- Première partie Choisir correpons en quelque sorte a une notion de liberté ; comme l'affirmait Bergson " choisir est un acte qui nous est rendu possible lorsque nous sommes libre de toutes contraintes liées à ce choix". Nous avons le droit d’etre celui que l’on veut etre Mais pour cela l’individu doit gagner sa liberté ce qui lui permettra par la suite