Bergson Qu Est Ce Que L Artiste C Est Un Homme Qui Voit Mieux Que Les Autres

n'ont pas d'histoire. » 11. BERGSON Henri, Le Rire : « Le rire châtie certains défauts à peu près comme la maladie  châtie certains excès. » 12. BERGSON Henri, Le Rire : « La seule cure contre la vanité, c'est le rire, et la seule  faute  qui  soit risible, c'est la vanité. » 13. BERGSON Henri, Le Rire : « Si franc qu’on le suppose, le rire cache une arrière-pensée d’entente, je dirais presque de complicité avec d’autres rieurs, réels ou imaginaires. » 14. BERGSON Henri, Le Rire : « Les attitudes

conscience, devoir et inconscience¤ Définir homme par ma conscience = idée neuve (XVIIe siècle → siècle du rationalisme)Descartes : premier à affirmer que l’homme a une conscience. Être conscient c’est dire que l’homme est avant tout un individu, il est unique. L’homme est un sujet libre qui peut se détacher du monde, voire s’y opposer. Il ne se réduit pas à ce qu’il est pour le monde, il se pense indépendamment du monde extérieur - les artistes montrent ces idées avant tout le monde

j’étais petit, je rêvais de devenir quelqu’un. Mais j’aurais dû être plus précis. Il y a longtemps que je crois à l’utilité de l’humour pour faire passer des concepts difficiles. Et il y a longtemps que je m’interroge sur la nature de ces blagues et autres histoires drôles qui ont une telle force pédagogique. En 2007, j’avais rassemblé quelques réflexions sur ce thème que mon éditeur avait publiées dans un petit livre rouge particulièrement élégant. Les nombreuses réactions que j’ai reçues depuis ont

Clivage entre intention morale et acte  contresens sur Kant. La question est autre chez Kant : est ce que l’intention peut se résumer au bénéfice que l’on attend de l’acte ? Tout l’intérêt de Kant montre que la conscience morale appartient à chaque homme, même aux criminels : chacun sait où est son devoir  certains l’accomplissent, d’autres non. Le fait d’accomplir fait en effet prendre conscience qu’on est moral. Il faut vraiment chercher des exemples : est ce qu’on apprend à être moral par l’exemple

nous sont reflétées, susceptibles de nous tromper, ou encore des données dissimulées. De prime abord sera abordé le sujet de la conscience en tant que pouvoir fondamental et certain à l’Homme, toutefois relativisé dans la mesure où cette dernière se voit altérée par des données insoupçonnées et erronées, devenant ainsi une source d’illusions. En premier lieu, la conscience apparaît comme une instance indubitable et essentielle de l’Homme, d’abord en tant que pouvoir de connaissance et de

a donc un impact sur notre structure intellectuelle et mentale. Une culture décide toujours de minorer et majorer. Par exemple, notre culture majore la technologie et la rationalité mais minore tout ce qui est paranormal. Qu’est-ce qui fait qu’un homme meurt après avoir mangé un animal sacré ? C’est parce qu’il « croit » que cela donne la mort. Notre comportement est complètement influencé par la culture (« suggestion de l’idée de mort », Sociologie et Anthropologie, Mauss) On a une représentation

fonctionnement ? Existe-t-il un réel absolu ou autant de réalités qu’il y a de consciences pour le percevoir et le façonner ? Les œuvres ne seraient-elles pas la vision de son créateur, c’est-à-dire la vérité, ou la conception du réel toute relative à un homme ? Nous considérerons comme acquis le fait que notre conscience est modulée par des éléments extérieurs, et irréels, quoique matériels et nous poserons l’hypothèse suivante : « oui, nous sommes influencés par l’art ». Nous chercherons cependant à en

est artiste, l’art permet aussi de pouvoir utiliser ses talents pour nous exprimer. Le compositeur du 19ème siècle Arthur Schopenhauer nous parle de cette expressivité de l’art (dans ce cas précis de la musique) dans son livre Le Monde comme volonté et comme représentation : « La musique n’exprime pas telle ou telle joie, telle ou telle affliction, telle ou telle douleur, effroi, enchantement, gaieté ou calme d’esprit. Elle peint la joie même […] et tous ces autres sentiments

reproductible et utilitaire où le concept précède le produit et obéit à des contraintes techniques. En art, le concept de l’œuvre ne préexiste pas à l’œuvre.2. L ‘artiste est inspiré c’est-à-dire dépossédé de sa création au moment de la possession.3. « Pas de recettes pour faire un chef d’œuvre ». Paul Valéry.a. Différence entre artiste scolaire reproduisant ce qu’il a appris ; l’artiste sans génie qui copie l’artiste n’est alors qu’un brillant artisan. b. L’application de règles peut entrainer un

veut qu’elle ait été une mégère, difficile à apprivoiser au point que Victor Hugo se demandera si Socrate était mort «en buvant en un coup la cigüe ou lentement Xanthippe». Mais Socrate ne fut-il pas lui-même la mégère de tous les Athéniens? Cet homme qui prétendait ne rien savoir, avait paradoxalement le défaut des convaincus: il était importun. Il doutait de tout en effet sauf de sa mission de semer le doute pour orienter les esprits vers des vérités supérieures. Comme il n’exigeait pas d’honoraires